Prisma, coll. "Orion" 1950 1 vol. relié in-8, cartonnage de l'éditeur, 136 pp., photos en noir hors-texte. Cartonnage sali, avec un frottement en pied du plat supérieur. Intérieur bon.
Reference : 63323
Vignes Online
M. Henri Vignes
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DOSSIERS DE L'ARCHEOLOGIE. 2000. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 85 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Sommaire : Le monde singulier des momies - la quête éperdue de l'éternité - sarcophages cercueils et parures de cartonnage - aspects techniques de la momification - les momies égyptiennes devant la science - Hérodote décrit la momification - les momies d'animaux - la momie de Martres d'Artrières - les momies américains - les momies témoins de la culture et de la biologie des populations anciennes - les Incas et leurs momies . Classification Dewey : 930.1-Archéologie
<span data-mce-fragment="1">2022 marque à la fois le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par J.F. Champollion et le centenaire de la découverte du tombeau de Toutankhamon. Le Museum de Toulouse et les éditions MUSEO ont choisi de mettre en lumière la thématique riche et passionnante des « Momies » qui, loin de concerner seulement les pratiques des Egyptiens de l'Antiquité, regroupe finalement dans un vaste spectre cultures du monde, croyances en un au-delà, pratiques symboliques et techniques. Qu'il s'agisse de momies artificielles, témoins de rites funéraires anciens et contemporains ou encore de momies naturellement formées dans un contexte environnemental ou climatique particuliers, cet ouvrage de la collection ExpoVerso (OKA Amazonie, Île de Pâques) se propose d'interroger le lecteur sur notre rapport à la mort, à la conservation des corps et au désir universel d'éternité.</span> Toulouse, 2022 Museo éditions, Muséum de Toulouse. 142 p., cartonnage sous jaquette. 17,8 x 25,2
Neuf
ARCHEOLOGIA. 2008. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Sommaire : Toumaï un inattendu silence - dossier spécial sous les bandelettes des momies : la momie aux amulettes une exposition inédite, comprendre la momification dans l'Egypte des pharaons, l'approche scientifique des momies, découverte dans les musées suisses tour d'horizon d'un projet interdisciplinaire, trois expériences européennes - Rome dans la maison d'Auguste - Normandie trésors du gothique - ars medicina la renaissance de la médecine. Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Imprimerie Impériale, Paris 1809-1829, 53,5x71cm, une feuille.
Gravure originale à l'eau-forte, une des 72 planches rehaussées en couleurs à la bobine, extraite de l'édition dite «Impériale» de la Description de l'Égypte ou Recueil des observations et recherches faites en Égypte pendant l'expédition française, publié par les ordres de Sa Majesté l'Empereur Napoléon le Grand. Réalisée entre février 1802 et 1829 sur ordre de Napoléon Bonaparte et publiée à partir de 1809 [en réalité 1810], elle fut tirée à 1000 exemplaires sur Vergé filigrané «Égypte ancienne et moderne» et offerte aux institutions. Légères et marginales rousseurs sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état de fraîcheur et de conservation. MEMNONIUM DE THEBES : Planche issue d'un ensemble de gravures documentant les hypogées de la vallée des Rois (Bybân el Molouk) à Thèbes. Certaines d'entre elles sont en couleur pour rendre les tons vifs des sarcophages et des mystérieuses peintures murales, dont le secret n'avait pas encore été percé par Jean-François Champollion. Les dessinateurs de l'Institut, dont l'illustre Geoffroy Saint-Hilaire, envoyés par Napoléon pour parcourir la Haute-Egypte à partir de 1799, décrivent avec finesse les momies royales et le matériel qui accompagnait les défunts dans leur voyage dans l'au-delà: urnes, mobilier, armes, idoles, et momies de nombreux mammifères et oiseaux. Volume ANTIQUITES, II : Ces gravures fournissent à Jean-François Champollion une documentation épigraphique fondamentale pour le déchiffrage des hiéroglyphes et inspirent une lignée d'archéologues comme Mariette, Maspero et Carter qui donnent un nouveau visage à l'Egypte ancienne. Elles suscitent un engouement tel qu'elles donnent naissance au phénomène de l'égyptomanie et à l'orientalisme de Delacroix, Fromentin, Marilhat, Decamps mais aussi Théophile Gautier... Financiers, politiciens, marchands, et fouilleurs de tous ordres se presseront sur les rives du Nil en quête de bonnes affaires à la suite de cette redécouverte de l'Egypte. A l'origine de l'égyptologie, ces planches connaîtront une postérité immense. LA DESCRIPTION DE L'EGYPTE, édition IMPERIALE (1809-1829) : La Description de l'Egypte est un des chefs d'uvre de l'édition française et le point de départ d'une nouvelle science: l'égyptologie. Titanesque exposé de l'Egypte au temps des conquêtes de Bonaparte entre 1798 et 1799, elle est répartie en 23 volumes dont 13 volumes de gravures rassemblant près de 1000 planches en noir et 72 en couleur. Les 6 volumes de planches intitulées Antiquités sont consacrés aux splendeurs de l'Egypte pharaonique. L'Histoire naturelle est répartie en 3 volumes de gravures. Un volume est consacré aux Cartes géographiques et topographiques tandis que les 3 volumes : Etat Moderne dressent un portrait saisissant de l'Egypte copte et islamique telle qu'elle était vue par les armées d'Orient de Bonaparte. La «campagne d'Egypte», désastre militaire, dévoile à travers les gravures de la Description de l'Egypte la réussite scientifique qu'elle est devenue, grâce aux quelques 167 savants membres de la Commission des sciences et des arts de l'Institut d'Egypte qui suivaient l'armée de Napoléon. L'Institut a réuni en Egypte le mathématicien Monge, le chimiste Berthollet, le naturaliste Geoffroy Saint-Hilaire, ainsi que de nombreux artistes, ingénieurs, architectes, médecins... Ils eurent la charge de redécouvrir l'Egypte moderne et antique, d'en montrer les richesses naturelles, et le savoir-faire de ses habitants. L'édition originale, dite «Impériale», de la Description de l'Egypte fut réalisée sur quatre formats de grande taille, deux d'entre eux spécialement créés pour elle et baptisés formats «Moyen-Egypte» et «Grand-Egypte». On construisit une presse spécifique pour son impression, qui s'étala sur vingt ans, entre 1809 et 1829. L'édition Impériale s'avéra si populaire qu'une deuxième édition en 37 volumes entièrement en noir et sans le filigrane «Egypte ancienne et moderne», dite édition «Panckoucke», fut publiée à partir de 1821 par l'imprimerie C.-L.-F. Panckoucke (Paris). La réalisation de ce monument d'érudition doit beaucoup au baron Dominique Vivant Denon, illustrateur, diplomate, collectionneur et par la suite directeur du musée Napoléon du Louvre qui accompagna Napoléon en Egypte avec de nombreux autres savants mais décida seul de s'aventurer dans le Sud du pays, alors que les autres scientifiques conviés restaient confinés dans la région du Caire. Les fabuleux croquis rapportés par Denon lors de sa romanesque chevauchée donnèrent l'idée à Bonaparte d'y envoyer les autres membres de l'Institut et ainsi dresser un portrait fidèle et complet du territoire. A la suite de Denon, ce sont donc les plus grands scientifiques et artistes français qui s'aventurèrent le long du Nil jusqu'en Nubie. Parmi eux, le peintre au muséum d'histoire naturelle H.J. Redouté (frère de Pierre-Joseph Redouté, auteur des Roses), le minéralogiste Dolomieu, le dessinateur Joly, et les ingénieurs Fourier et Costaz, chargés de l'étude scientifique des vestiges antiques de Haute-Egypte. Sans doute pour la première fois réunie dans une telle expédition, l'élite scientifique et artistique française, composée de plus de 160 «savants» dont près de 50 artistes, étudie méthodiquement l'Egypte pendant trois ans. Ils réalisent alors, sous l'égide et à la gloire de Napoléon, la plus vaste analyse historique, géographique, scientifique, économique et ethnologique jamais réalisée sur un pays. Mais ce sont peut-être les gravures qui constituèrent le défi technique majeur de cette Description de l'Egypte, comme en témoigne Yves Laissus, commissaire de l'exposition organisée en 2009 par la RMN et le Musée de l'Arméeaux Invalides: «L'illustration, 836 planches dont une soixantaine en couleurs, gravées à l'eau forte et au burin dans des formats jusqu'alors inusités (le plus grand couvre près d'un mètre carré), a nécessité la construction de nouvelles formes et cuves pour la fabrication du papier, justifié l'invention, par Nicolas Conté, d'une machine destinée à alléger la besogne des graveurs, et exigé la réalisation de nouvelles presses capables d'imprimer ces images immenses. Certaines d'entre elles ont demandé deux années de travail. Près de 200 graveurs ont reproduit sur le cuivre les uvres de 62 dessinateurs dont 46 ont participé à l'expédition.» Rare et superbe gravure originale d'une exceptionnelle facture et qualité graphique, témoignage d'une des plus ambitieuses aventures éditoriales françaises. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Didot, Paris 1803, 40,5x54cm, une feuille.
Gravure originale in folio non rognée, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de dessins ainsi décrits par l'auteur:Momie d'ibis. Les pots dans lesquels ces oiseaux sont fermés, et qui leur servent de sarcophages, sont de terre rouge et commune, de 14 à 18 pouces de hauteur (voyez la forme de ce pot, lettre A) ; on les trouve en grand nombre à Saccara, dans des chambres souterraines ; ces chambres sont si saines, que ces pots semblent encore neufs en en sortant, et qu'on douteroit de leur antiquité si la méthode de l'embaumement n'étoit perdue, et si l'oiseau dont on trouve le squelette n'eût disparu du sol de l'Egvpte : on dit que de temps à autre on en voit encore quelques individus dans le lac de Menzaleh, entre Damiette et Peluse ; cependant, malgré mes questions obstinées à tous les chasseurs du pays et à tous ceux qui s'occupent d'histoire naturelle, je n'ai trouvé personne qui m'ait assuré en avoir vu.Je fis avec le cit. Jeoffroy l'ouverture de deux de ces pots et des momies qu'ils contenoient : un léger effort fit céder la soudure du couvercle, qui n'est qu'une espece de chaux ; nous trouvâmes l'emmaillottement de l'oiseau ballottant dans le diametre du pot, ce qui est cause sans doute que presque toutes les momies de cette espece, envoyées en Europe, y arrivent réduites en poussiere par les secousses de la route. Leur premier aspect est celui de la momie d'un enfant qui vient de naître (voyez les figures B, C, D, E) ; une toile assez fine, bistrée, et qui semble avoir été imbibée d'un fluide aromatique, après avoir été croisée à la partie inférieure, en couvre tout un côté (voyez lettre B) ; sous cette enveloppe un fil double serre horizontalement et transversalement la momie dans toutes les parties (voyez figure C) ; sous ce fil la seconde enveloppe est comme la premiere, formée du même lange, ensuite on trouve de petites bandelettes d'un pouce et demi de diametre, qui, comme le fil, serrent l'oiseau dans tous les sens (voyez F, G, H) , qui sont les deux côtés de la momie dans cet état ; ces bandelettes enlevées, on trouve encore un troisieme lange, sous lequel sont de petits tampons de toile adaptés à la partie inférieure, et placés là pour soutenir la forme de la momie, et lui donner plus de consistance ; tout cela ôté, la momie prend la figure d'une nymphe de chenille prête à devenir un papillon (voyez figure I) ; cette derniere enveloppe, beaucoup plus grossiere que la premiere, trempée dans un baume plus compact, en a reçu une couleur plus brune et d'une consistance plus forte ; on commence alors à découvrir quelque forme de l'oiseau : nous ouvrîmes cette enveloppe ; mais, comme si la matiere eût été employée trop chaude, ou qu'elle eût eu quelque qualité corrosive, elle avoit carbonisé tout ce qu'elle avoit pénétré , et les os tomboient en poussiere à mesure que nous les découvrions ou que nous voulions les détacher de l'adhérence qu'ils avoient à la toile ou à la matiere embaumante. Le désir de rendre notre opération complete nous fit ouvrir mon second pot ; nous y trouvâmes une momie plus grande, plus compacte et plus pesante : la seule différence que nous trouvâmes dans les enveloppes de cette seconde fut qu'au lieu d'un lange pour derniere couverte, c'étoient des bandes de deux couleurs, alternativement posées et recouvertes par des fils enveloppant symétriquement le petit maillot (voyez figure C). J'ai trouvé encore deux autres différences depuis (voyez figures D et E) : dans celle figure B il y avoit une espece de petite cocarde, qui nous parut d'abord un jeu de l'embaumeur ; c'étoit un petit morceau de bandelette plié et attaché au maillot par le gluten de la matiere: j'ai été dans le cas de voir depuis que c'étoient, ainsi que les figures n° 12 et 13, de petits fragments de plumes, retrouvés peut-être après l'opération faite, et scrupuleusement enveloppés , et adaptés à la masse principale, pour que rien ne fût séparé. Ce soin scrupuleux peut faire voir combien les Égyptiens attachoient d'idées religieuses à ces embaumements, et m'a expliqué dans la suite ce que c'étoit que de petites momies que j'ai trouvées depuis en dépouillant des embaumements d'humains ; on en peut voir une figure de grandeur naturelle, et l'explication, n° 5 et 7, planche C. Toutes les autres enveloppes de notre seconde momie étoient les mêmes que celles de la premiere ; la derniere n'étoit point adhérente, et nous trouvâmes dessous le plus beau petit squelette possible (voyez lettre J), pas une fracture des os même les plus délicats (voyez les os gravés de grandeur naturelle dans la partie supérieure de la même planche) ; les pennes et les barbes étoient conservées ; on pouvoit juger, malgré la teinte altérée par l'impression de la liqueur balsamique , que la partie supérieure en avoit été blanche, et les extrémités roux-brun ; la queue courte avec des pennes de peu de consistance.Par cette double opération nous fûmes dans le cas de nous rendre compte du procédé employé dans cette espece d'embaumement : le voici en sens inverse de ce que je viens de le présenter, et tel qu'il devoit s'effectuer. Celui qui opéroit ôtoit toutes les parties intérieures de l'oiseau, les faisoit bouillir dans le baume, et les replacoit; ensuite il prenoit l'oiseau, en plioit les ailes contre le corps , ce qui donnoit la grandeur totale de la momie ; il replioit les jambes en les relevant des deux côtés du sternum, lui rabattoit la tête entre les deux cuisses, de maniere à ce que l'extrémité du bec arrivât à l'extrémité de la queue, et, tenant d'une main par la partie inférieure l'oiseau ainsi troussé, il adaptoit le premier linceul très imbibé de matiere balsamique et glutineuse, et achevoit de l'envelopper par la partie inférieure, en y ajoutant deux petits tampons, pour donner plus de consistance à cette partie, où il ne se trouvoit que la queue, les pennes des ailes, et le bec ; ensuite venoit le grand linceul, de cinq pouces de large et trois pieds de long, d'une toile plus fine, et trempée dans une liqueur plus fluide ; il l'appliquoit d'abord du haut en bas ; il tournoit sans ordre du fil autour pour le fixer ; ensuite il le tordoit au-dessous, puis adaptoit sur le linceul les bandelettes de deux à trois pouces de large, dont les extrémités étaient toujours fixées par le gluten de la matiere noire et épaisse ; ensuite reprenant le linceul, il recouvroit les bandelettes, et les fils, comme je l'ai déja énoncé. Discrètes rousseurs marginales, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-111). Une bonne vingtaine de graveurs ont également collaboré à la création des eaux-fortes dont Baltard, Galien, Réville et d'autres. Dominique Vivant, baron Denon, dit Vivant Denon, né à Givry le 4 janvier 1747 et mort à Paris le 27 avril 1825, est un graveur, écrivain, diplomate et administrateur français. A l'invitation de Bonaparte, il se joint à l'expédition d'Egypte en embarquant dès le 14 mai 1798 sur la frégate " La Junon ". Protégé par les troupes françaises, il a l'opportunité de parcourir le pays dans tous les sens, afin de rassembler le matériau qui servit de base à son travail artistique et littéraire le plus important. Il accompagne en particulier le général Desaix en Haute Egypte, dont il rapporte de très nombreux croquis, lavis à l'encre et autres dessins à la plume, à la pierre noire, ou à la sanguine. Il dessine sans relâche, le plus souvent sur son genou, debout ou même à cheval, et parfois jusque sous le feu de l'ennemi. A l'issue d'un voyage de 13 mois durant lesquels il dessine plusieurs milliers de croquis, Vivant Denon rentre en France avec Bonaparte, et devient le premier artiste à publier le récit de cette expédition. Les 141 planches qui accompagnent son Journal retracent l'ensemble de son voyage, depuis les côtes de la Corse jusqu'aux monuments pharaoniques de la Haute Egypte. Bonaparte le nomme ensuite directeur général du musée central de la République, qui devient le musée Napoléon, puis le musée royal du Louvre et administrateur des arts. En 1805, Vivant Denon relance le projet de la colonne Vendôme, qui avait été suspendu en 1803. Il organise ensuite des expéditions dans toute l'Europe impériale pour amasser les objets d'art, qui sont pillés pour être emportés au Louvre. En 1814, Louis XVIII le confirme à la tête du Louvre, dont une aile porte encore son nom aujourd'hui. Il est considéré comme un grand précurseur de la muséologie, de l'histoire de l'art et de l'égyptologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -