Paris Nouvelle Revue Française 1928 1 vol. Broché plaquette in-8, brochée, sous couverture imprimée, non coupée, 17 pp. Tiré à part sur pur fil Voiron de ce texte paru dans la Nouvelle Revue Française du 1er février 1928. En bonne condition.
Reference : 111379
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A Lyon, Chez Antoine Jullieron, Imprimeur ordinaire du Clergé de la Ville, 1667 ; in-12. Frontispice-12 ff. (Titre et préface)-598 pp. Maroquin havane, dos à nerfs orné, large dentelle dorée encadrant les plats, roulette dorée sur les coupes et les chasses, tranches dorées. 3 coins légèrement frottés, 1 cahier un peu déboîté. 3 ex-libris manuscrits sur la première garde : "Ex-libris Sr Sébastien", "E. Dumolard", "21 novembre 1848, Hôpital Beaujon".
Edition à la même date que l'originale parue à l'adresse de Migeot à Mons en deux volumes. Elle reprend aussi le même frontispice dessiné par Philippe de Champaigue, mais gravé ici par Claude Burnand. Cette traduction du Nouveau Testament, dite de Mons avait été commencée par Antoine Le Maistre, continué par Antoine Arnauld et Louis-Isaac Le Maistre de Sacy. La préface est attribuée à Pierre Nicole et Claude de Sainte-Marthe. La publication du reste de la Bible se poursuivra jusqu'en 1696, accompagnée de "grandes explications" et de "courtes notes", même si le Nouveau Testament avait été mis à l'index peu après sa parution. (Brunet V, 749).La présente édition a été clairement identifiée comme une contrefaçon lyonnaise de l'imprimeur Antoine Jullieron dans une étude de 1987 : BONNEFON Christine, COME Delphine, DESSERVETTAZ Kari, MANFRIN Frédéric,SILLET Arnauld-Amaury : "Contribution à l'identification de quelques contrefaçons de la fin du XVIIe siècle : l'exemple du Nouveau Testament dit de Mons". Enssib.fr/ bibliothèque numérique. Mémoire de recherche. 2004.
P., Auguste Durand, 1860 ; 2 plaquettes in-8, brochées. 68pp. - 40pp. Couvertures imprimées servant de titres. Mouillure marginale au premier feuillet de la première plaquette.
Réunion de deux plaidoiries prononcées au Tribunal civil de Clermont (Oise) le 26 juillet 1860 par Me Berryer et le 27 juillet suivant pat Me Plocque, recueillies par J. Sabatier. Ces deux avocats étaient les défenseurs de Mgr de Dreux-Brézé dans l'affaire qui l'opposait à Alfred de Montreuil, concernant la succession du Marquis de Villette. Charles-Voltaire de Villette (1792-1859) était le fils de Charles de Villette, protégé de Voltaire, et de Mlle de Varicourt (fille adoptive de Mme Denis, nièce de Voltaire). Il mourut sans descendance en 1859 et voullu par testament léguer ses biens au duc de Bordeau (comte de Chambord), via un fidéiscommis dont Mgr de Dreux-Brézé devait être l'exécuteur testamentaire. "Il y a fidéicommis quand une personne via son testament transmet tout ou partie de son patrimoine à un bénéficiaire, en le chargeant de retransmettre ce ou ces biens à une tierce personne désignée dans l'acte. Le fidéicommis permet théoriquement au testateur de donner ses biens à quelquun qui ne peut légalement le recevoir, mais avec le risque de déclaration dillégalité et au risque que le disposant intermédiaire puisse détourner le bien et par exemple éliminer un héritier d'une succession". Peu avant sa mort M. de Villette aurait institué un parent, Alfred de Montreuil comme exécuteur testamentaire. C'est ce dernier qui conteste les dispositions du testament et remet en cause les dernières volontés de M. de Villette, voullant empécher que la succession ne revienne à l'héritier du trône de France, arguant que ce dernier était frappé d'incapacité par une loi de 1832, et que Mgr de Dreux-Brézé se rendait ainsi coupable d'illégalité. Dans une première longue, brillante et très instructive plaidoirie, Me Berryer expose les faits, les lettres et documents... qui montrent bien les intentions de M. de Villette, et dédouanent Mgr de Dreux-Brézé de vouloir trangresser la loi de 1832. La seconde plaidoirie en faveur de l'évêque de Moulins est menée par Me Plocque avec autant de brio.Dans un premier temps le parti du Marquis de Villette perdra le procès, mais la cour de cassation lui donnera raison en 1862. De nombreux souvenirs attachés à Voltaire faisaient partie de cette succession, dont le coeur de l'écrivain, que les héritiers Villette offrirent en 1864 à Napoléon III. Il se trouve aujourd'hui à la Bibliothèque Nationale, scellé dans le socle d'un des modèles en plâtre de la statue de Houdon "Voltaire assis".
Paris, Tournai, Rome, Société de S. Jean l'Evangéliste/Desclée et Cie, 1923. 12 x 20, vi-1432-360 pages 11 cartes en couleurs, quelques plans, reliure d'édition pleine percaline bordeaux, bon état.
Edition révisée par des Pères de la Cie de Jésus, avec la collaboration de Professeurs de S. Sulpice.
Paris, Les Editions du Cerf/Les Bergers et les Mages, 1976. 15 x 22, 2 volumes, 2262 + 826 pages, cartes en couleurs, reliure d'édition plein cuir sous étui toilé et bordé de cuir, 3 tranches dorées, très bon état (sauf étuis légèrement défraîchis).
Edition de luxe.
Paris, Les Editions du Cerf, 1989-2004. 21 x 21, 2 livres, 124 + 130 pages, quelques figures et cartes, broché, très bon état.
2 livres.