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TIDAFI (Nordine).
Le toujours de la patrie.
Tunis Société Nationale d'Edition et de Diffusion - SNED, coll. "L'aube dissout les monstres" 16 1962 1 vol. broché in-12, broché, 158 pp. Edition originale publiée à Tunis dans la célèbre collection de Pierre Jean Oswald, avec une préface de Henri Kréa. Bon état.
Reference : 110767
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M. Henri Vignes
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5 book(s) with the same title
Le toujours de la patrie -
préface de Henri Kréa - Tunis : Société Nationale d'édition et de diffusion / Paris : Pierre Jean Oswald (Coll. L'aube dissout les monstres), 1962 - un volume broché (12x19 cm), 158 pages - édition originale sur papier courant après 50 exemplaires numérotés - couverture poussiéreuse sinon bon état -
Poésie de la révolution algérienne -
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Strategique N°21 - toujours pret a defendre la patrie -la grande muette au petit ecran- la protection civile dans divers etats europeens- reflexions sur les systemes a l'ere de l'electro informatique (2eme partie)
FONDATION POUR LES ETUDES DE DEFENSE NATIONALE. 1er trimestre 1984. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 214 pages. Quelques rousseurs sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue trimestrielle de recherches et d'etudes strategiques. SOMMAIRE: toujours pret a defendre la patrie -la grande muette au petit ecran- la protection civile dans divers etats europeens- reflexions sur les systemes a l'ere de l'electro informatique (2eme partie) Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
DEFENSE DE L'HOMME 8e ANNEE N° 80 - Louis LECOIN. Le «sport» abrutit toujours.Paul RASSINIER. Le doigt sur la détente.Louis DORIVAL. Mourir pour la patrie !Pierre HUDY. Des semailles à la moisson.LAUMIÈRRE. Sûreté, Assurance, Sécurité.
AU BUREAU DE LA REVUE. JUIN 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Louis LECOIN. Le «sport» abrutit toujours.Paul RASSINIER. Le doigt sur la détente.Louis DORIVAL. Mourir pour la patrie !Pierre HUDY. Des semailles à la moisson.LAUMIÈRRE. Sûreté, Assurance, Sécurité.Louis HOUDEVILLE.. Un anniversaire oublié.Louis CLERC. Sur les vaccinations obligatoires.Caston MÉRICNEUX . Les films.Caston LACARCE. Chez les poètes.S. VERCINE.. Bon sens du Père Malandrin.Jean MACRI. Juin 1936.Louis DEY. Aux quatre coins de.. Jean SOUVENANCE.. A quoi cela nous mènerait-il ?Robert CAILLARD. Sur l’orientation scolaire.Ch.-Aug. BONTEMPS. Moeurs anciennes et survivances.P.-V. BERTHIER. Des faits et des dires.Louis DORLET. Pain gratuit ? Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
TAM MAGAZINE DES ARMEES N° 445 OCTOBRE 1982 - Présentation de l'armée de terre au président de la République - Liban - point de vue sur Langres 82 la Patrie les jeunes y croient toujours - quatre gendarmes et une vedette etc.
TAM. 1982. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 39 pages - quelques illustrations en couleurs et en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Sommaire : Présentation de l'armée de terre au président de la République - Liban - point de vue sur Langres 82 la Patrie les jeunes y croient toujours - quatre gendarmes et une vedette - 5 hommes sur un bateau l'équipage du remorqueur le Châtaignier - une passion voler l'escadron de transport 03/061 Poitou - les yeux de la mer - coup de main du 27e BCA - directissime dans la face ouest des Drus - pour les 16-18 ans la formation alternée - le salon de l'auto 82 - hallydaylire - les jeux du Commonwealth - Martial Valin au service de la France. Classification Dewey : 355.021-Militaria
