Paris Editions Spes 1926 1 vol. broché in-12, broché, 314 pp. Très bon état.
Reference : 109544
Vignes Online
M. Henri Vignes
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, Brepols, 2022 Hardback, 442 pages, Size:156 x 234 mm, Language: French. ISBN 9782503595757.
Summary Le Banquet de Platon et le Banquet de Xénophon constituent des sources inattendues et inexploitées sur la rhétorique et sur les liens qu'elle entretient avec le rite socioreligieux du banquet. Ils proposent deux points de vue différents et parfois opposés sur la rhétorique, et ils comportent tous les deux, contrairement à ce qui a été souvent dit, une vision critique des rituels de sociabilité. Platon et Xénophon réagissent, l'un comme l'autre, en fonction des réalités de leur temps et ils suggèrent, chacun à leur manière, que la rhétorique, sous certaines conditions, peut être un mode de convivialité, c'est-à-dire un outil intellectuel, un exercice d'apprentissage de la citoyenneté, un instrument de recherche, voire une étape vers la vérité. Dans les deux cas, la figure tutélaire et fascinante de Gorgias est convoquée, tantôt pour critiquer la rhétorique mortifère des sophistes qui constitue un obstacle au dialogue convivial, tantôt pour promouvoir un exercice constructif de la parole dans l'espace communicationnel et visuel que construit le symposion. TABLE OF CONTENTS SOMMAIRE Préface AVANT-PROPOS PREMIÈRE PARTIE - LE BANQUET DE PLATON : UN CONCOURS D'ÉLOGE INTRODUCTION 1. La critique platonicienne de la rhétorique 2. Platon et le banquet 3. Socrate et Platon au banquet 4. La rhétorique au banquet selon Socrate et Platon 5. Pour une lecture rhétorique du Banquet de Platon I. DIALOGUE NARRATIF ET RÉCIT DE DISCOURS 1. La performance du dialogue ou l'????????? d'Apollodore (172 a 1 - 174 a 2) 2. Socrate et Aristodème en route pour espionner les sophistes (174 a 3 - 174 d 3) 3. L'arrivée chez Agathon : premiers éloges et procès reporté (174 d 4 - 176 a 4) II. LE PROGRAMME RHÉTORIQUE DU BANQUET : une ???????? ??? ????? 1. La décision de limiter la boisson (176 a 4 - e 3) 2. L'élimination de l'????? (176 e 4-9) 3. Le choix du discours d'éloge en l'honneur d'Éros (176 e 7 - 177 e 7) 4. L'instauration d'un banquet rhétorique (177 e 8 - 178 a 4) III. UN CONCERT D'ÉLOGES DE L'AMOUR 1. La rhétorique classique de Phèdre (178 a 5 - 180 b 8) 2. Les distinctions de Pausanias (180 c 1 - 185 e 5) 3. Éryximaque iatrosophiste (185 e 6 - 188 e 5) 4. La rhétorique comique d'Aristophane (189 a 1 - 193 e 2) 5. La rhétorique dramatique et gorgianique d'Agathon (193 e 2 - 197 e 8) 6. Bilan de la première partie du concours rhétorique IV RHÉTORIQUE ET PHILOSOPHIE DE SOCRATE 1. La tête de Gorgias (198 a 3 - c 6) 2. Socrate critique la méthode des orateurs qui l'ont précédé (198 c 7 - 199 b 5) 3. Socrate interroge Agathon (199 b 5 - 201 c 8) 4. La rhétorique philosophique de Diotime (201 d 1 - 212 d 3) V. ALCIBIADE ET LES PARADOXES DE L'ÉLOGE 1. L'arrivée d'Alcibiade (212 d 4 - 215 a 3) 2. L'éloge de Socrate (215 a 4 - 222 b 7) VI. LA FIN DES ÉLOGES ET L'AVÈNEMENT AVORTÉ DU DIALOGUE 1. Les réactions suscitées par le discours d'Alcibiade (222 c 1 - e 8) 2. La suite programmée des éloges (222 e 8 - 223 a 9) 3. Le début et la fin du dialogue (223 b 1 - d 13) CONCLUSION 1. L'emprise de la rhétorique sur le Banquet platonicien 2. Une nouvelle façon de critiquer la rhétorique 3. L'absence relative de dialogue 4. La critique platonicienne du banquet 5. Le rôle de la rhétorique dans la quête philosophique DEUXIÈME PARTIE - LE BANQUET DE XÉNOPHON : ACTES OU DISCOURS ? INTRODUCTION 1. L'autre Banquet 2. Xénophon et la rhétorique 3. Xénophon et le banquet 4. Le Socrate de Xénophon au banquet 5. Xénophon et la rhétorique de la conversation conviviale 6. La rhétorique au banquet de Callias I. UNE DESCRIPTION PROBANTE D'ACTIONS LUDIQUES 1. Une déclaration d'intention rhétorique (I, 1) 2. Les circonstances du banquet de Callias 3. Le déroulement du ??????? chez Callias 4. Le programme d'activités du ????????? 5. Regards et réflexions au banquet 6. La pantomime finale (chapitre IX) II. L'HORIZON SOPHISTIQUE DU BANQUET CHEZ CALLIAS 1. Les connexions sophistiques des convives 2. Une rencontre sous le signe de la sophistique (I, 4-6) 3. Boire comme Gorgias (II, 24-26) 4. Le cas d'Antisthène 5. La conquête de la parole 6. L'instauration d'un concours d'????????? (III, 1-3) 7. Le problème du silence (chapitres VI-VII) III. LES PRATIQUES RHÉTORIQUES DES CONVIVES 1. Le ??????? (chapitre III) 2. La ???????? ????? (chapitre IV) 3. Le concours de beauté (chapitre V) 4. L'???????? ????? de Socrate (chapitre VIII) CONCLUSION 1. Une alternative au Banquet de Platon : des discours en acte 2. L'influence rhétorique de Socrate : des actes de discours 3. Un banquet dialogué 4. La rhétorique comme outil du dialogue convivial 5. Une vision critique et constructive du ????????? ÉPILOGUE Bibliographie Index des auteurs anciens et des principaux passages cités
Iouxte la copie imprimée à Paris, A Arras, De l'Imprimerie de Jean Bourgeois, 1594. In-12 de 263 pp., maroquin vert, dos orné à nerfs, triple filet doré sur les plats, tranches dorées (reliure du XVIIIe siècle).
Rare édition imprimée à Arras, revue, corrigée et augmentée par l'auteur. L'édition originale fut publiée la même année.Louis Dorléans (1542-1629), l'un des plus fougueux partisans de la Ligue, fit paraître des libelles qui tous tendaient à éloigner les français de la soumission envers Henri IV. Lorsque celui-ci eut solennellement prononcé son abjuration, Dorléans publia Le Banquet du comte d'Arete, « ouvrage si odieux, qu'il fut désapprouvé des ligueurs eux-mêmes » (Michaud), dans lequel il s'efforce de prouver que l'abjuration du roi n'est qu'un acte politique, et que son entrée dans Paris entraînerait l'anéantissement de la religion catholique. Cependant la capitale ouvrit ses portes à Henri IV, et Dorléans fut du nombre des ligueurs qui prirent la fuite pour éviter le supplice. Il se retira à Anvers, et obtint au bout de neuf ans d'exil le pardon du roi qui lui permit de revenir à Paris.Fine reliure du XVIIIe siècle attribuée à Plumet ; cerne clair sur le plat inférieur, dos un peu passé.Brunet I, 642.
Lausanne, Kesselring & Ville de Lausanne / Editions Berger, 1991. In-8 à l'italienne, cartonnage couleurs. Flambant neuf.
Se réfère au Banquet des Jordils du 14 juillet 1791, durant lequel des notables lausannois - comme d'autres du Pays de Vaud - lancèrent la «campagne des banquets» pour célébrer la Révolution française et manifester contre le régime bernois. Préface de Yvette Yaggi. * La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier certains livres dans l'immédiat. Si le livre qui vous intéresse est disponible immédiatement, une remise de 10% sera accordée jusqu'à fin janvier - Si ce n'est pas le cas et que vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
London 1844 Grande lithographie d'un banquet pour Daniel O'Connell. Lithographie à la craie d'un graveur et éditeur inconnu. C1844. Bien que cela ne soit pas indiqué sur l'image, il est presque certain que cette lithographie représente le banquet donné en l'honneur de Daniel O'Connell au théâtre de Covent Garden le 13 mars 1844. Cet événement a fait l'objet d'un article dans l'Illustrated London News de l'époque, qui comportait une illustration beaucoup plus petite. Un article du Times indiquait que le dîner avait été organisé "pour montrer", comme l'indiquaient les annonces, "l'admiration des Anglais pour sa défense constante et cohérente des droits et des privilèges des Irlandais, depuis plus de 40 ans". C'est une période fascinante de la politique irlandaise. À la suite des rassemblements massifs organisés en Irlande pour obtenir l'abrogation de la législation répressive, O'Connell a été arrêté et accusé de "créer du mécontentement et de la désaffection" parmi les sujets de la Reine. Le procès s'ouvre en janvier 1844 et O'Connell est bien sûr déclaré coupable en février. La sentence est reportée et O'Connell entame l'équivalent d'une "grande progression" à travers l'Angleterre, jusqu'à Westminster, où il présente un projet de loi au Parlement. En mai (après ce banquet), il est condamné à un an de prison. Le théâtre de Covent Garden a brûlé dans les années 1850. Quelques notes au crayon au verso. Une petite entaille marginale aux coins et une petite déchirure fermée. Un seul trou d'épingle sur le côté. 280 x 410 mm
A large Lithograph of a banquet for Daniel O'Connell. Chalk lithograph by an unknown engraver and publisher. C1844, Although not stated on the image, this almost certainly represents the banquet given in honour of O'Connell at the Covent Garden theatre on March 13th 1844. This was reported on in the Illustrated London News of the time, which bore a much smaller illustration. An article in the Times recorded that the dinner was given "to show," as the announcements expressed it, "the admiration entertained by Englishmen for his constant and consistent advocacy of the rights and privileges of Irishmen, for more than 40 years." This was a fascinating time in Irish Politics. Following the massive rallies and gatherings in Ireland to obtain the repeal of repressive legislation, O'Connell was arrested and charged with "creating discontent and disaffection" among the Queen's subjects. The trial began in January 1844 and O'Connell was of course found guilty in February. Sentence was deferred, and O'Connell began the equivalent of a "grand progress" through England, and to Westminster, where he presented a bill to Parliament. In May (after this banquet) he was sentenced to a year's imprisonment. The Covent Garden theatre burnt down in the 1850's. Some pencil notes to the rear. A little marginal nicking to the corners and small closed tear. Single pin hole to the side. 280 by 410mm (11 by 16Œ inches). .
Première édition de la traduction française de J.-B. Le Febvre de Villebrune de l’œuvre principale d’Athénée « Le livre des Deipnosophistes » ou le Banquet des Savants. Paris, Lamy (de l’imprimerie de Didot jeune), 1789-1791. 5 volumes grand in-4 de: I/ (3) ff., 504 pp., (2) ff.; II/ (2) ff., 537 pp. (chiffrée par erreur 503), (3) pp; III/ (1) f.bl., (2) ff., 565 pp. (mal chiffrées), (4) pp., (1) f.bl.; IV/ (1) f.bl., (2) ff., 561 pp., (4) pp.; V/ (2) ff., 562 pp. Plein maroquin rouge de l’époque, grecque dorée autour des plats, dos à nerfs ornés, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliures de l’époque. 307 x 227 mm.
Première édition de la traduction française de J.-B. Le Febvre de Villebrune de l’œuvre principale d’Athénée «Le livre des Deipnosophistes» ou le Banquet des Savants. Brunet, I, 536; Picot, Livres du Baron de Rothschild, II, 1901. L’œuvre se rattache à la tradition du genre «symposiaque», illustrée magistralement par le Banquet de Platon et continuée par le Banquet de Xénophon. «Si Platon et Xénophon n’avaient saisi qu’un seul moment du festin, celui des libations (potos), Athénée, au contraire, saisit également celui qui le précède, c’est-à-dire le festin proprement dit (deipnon); mais sa présentation manque de la vivacité théâtrale de Platon et du pittoresque réalisme de Xénophon. Le banquet se déroule à Rome, à l’occasion des «Parilia»: les savants qui y prennent part discutent des sujets les plus variés, seule la politique n’est pas abordée, car Athénée et ses amis baignent dans l’atmosphère de la «Pax romana» et sont tous conformistes. En dépit de sa prolixité, l’œuvre est d’une inestimable importance; sans elle, des chapitres entiers d’histoire et de vie helléniques feraient défaut et nous en saurions encore bien moins sur la comédie ancienne et nouvelle. Les «Deipnosophistes» se placent aussi dans la grande tradition de l’érudition du langage qui va de l’œuvre d’Aristarque à celle de Suidas: leur contribution dans le domaine du vocabulaire est en effet très précieuse.» Maria Teresa Chianura. L’œuvre se rattache bien sûr à la gastronomie par le nombre de mets décrits. Bel exemplaire, imprimé sur grand papier vélin, conservé dans ses reliures en maroquin rouge décoré de l’époque.