‎JUNOD (Robert).‎
‎Antoine.‎

‎[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol.‎

‎[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol. P.S. par différentes personnes dont sa tante Françoise Rivarol et sa mère Catherine Avon-Rivarol, 1765, 13p in-4. Intéressante enquête faite par « Louis Broûzet, exempt de la maréchaussée générale du Languedoc à la résidence de Nîmes ». Il reprend donc les témoignages de ce qu'il se passé le 30 janvier 1765 au cabaret du Cheval blanc, des parents d'Antoine de Rivarol (1753-1801), à Bagnols-sur-Cèze. On y trouve différents témoignage et notamment celui d'« Avon Rivarol », la mère de l'écrivain, et « Françoise Rivarol », sa tante. Il y a aussi les interrogatoires des cuisiniers, de la voisine. L'affaire concerne des soldats qui ont maltraité Marion, la servante du cabaret. Beau document. [373] ‎

‎R.P. Hippolyte Helyot, Histoire des ordres monastiques, religieux et militaires, et des congrégation séculières de l'un & de l'autre sexe, qui ont été établies jusqu'à présent. Tome premier contenant les ordres de Saint Antoine, Saint Basile et des autres fondateurs de la vie monastique en Orient avec les ordres militaires qui ont suivi leur règle.‎

‎R.P. Hippolyte Helyot, Histoire des ordres monastiques, religieux et militaires, et des congrégation séculières de l'un & de l'autre sexe, qui ont été établies jusqu'à présent. Tome premier contenant les ordres de Saint Antoine, Saint Basile et des autres fondateurs de la vie monastique en Orient avec les ordres militaires qui ont suivi leur règle. Paris, Jean-Baptiste Coignard, 1721. In-4, [2]-LXXXVIII-[4]-399-[1bl]-[20]p et 102 planches. Second tirage de l'édition originale, complète des 102 planches. Reliure pleine basane d'époque avec nombreux défauts d'usage. Papier en revanche bien conservé. ‎

‎Lettre autographe signée à l'écrivain Robert-Augustin Antoine de Beauterne (1803-1846).‎

‎L.A.S., Paris, 5 octobre 1840, 1p in-8. A l'écrivain Robert-Augustin Antoine de Beauterne (1803-1846). « Monsieur, Je suis bien désolé de ne m'être pas trouvé au ministère quand vous avez pris la peine d'y passer avec Antoni. Je viens de lire avec grande attention la 1re livraison de votre nouvel ouvrage et j'en suis on ne peut plus content sous le double rapport moral et littéraire. Agréez monsieur mes sincères félicitations avec l'expression des sentiments très distingués de votre tout dévoué Emile Deschamps P.S. Auriez-vous la bonté d'envoyer quelqu'un au ministère avec votre quittance de 10 que j'ai hâte d'acquitter. On me trouvera certainement après demain mercredi ou jeudi vers midi ». Beauterne a surtout écrit sur Napoléon ou des ouvrages édifiants pour la jeunesse. Il s'agit probablement ici d'un des ouvrages destinés à la jeunesse. [178b] ‎

‎Pour Antoine Soriano.‎

‎ [Barcelone], Cuadernos del Umbo, 2001. In-12 carré, IXp. Edition originale hors commerce de ce petit poème dédié à Soriano, en français. Il est imprimé sur papier bleu clair et sous couverture noire ajourée pour laisser voir uniquement Antoine Soriano. Le tirage n'est pas annoncé mais il est probablement de 100 ou 150 exemplaires. ‎

‎Documents sur la Coiffure par Antoine‎

‎ 1937 Paris, sans date (1937) 370x270mm, 62 pages non paginées, reliure "Volute" comportant 6 anneaux en bakélite, plats en carton fort recouverts de papier gaufré crème, titre en creux surmontant un petit miroir métallique incrusté. Mise en page et impression par Tolmer.Introduction de Jean Cocteau, présentation d’Yvonne Moustiers, commentaire des images par le célèbre coiffeur Antoine.24 photographies pleine page de coiffures réalisées par Antoine reproduites en héliogravure (21 de Zuber et 3 de Brassaï) ‎

‎Antoine Cierplikowski 1884-1976) ou Antoine était un coiffeur et homme d'affaires, naturalisé Français, appelé Monsieur Antoine par les Français. En décembre 1901, il arrive à Paris. En 1912, Antoine ouvre son célèbre salon de coiffure au 5 de la rue Cambon, à Paris. En 1925, Antoine ouvre un salon de coiffure sur la très chic Cinquième Avenue de New York, au plus fort, son empire s'étend entre Paris, Tokyo, Melbourne et Vancouver. Il commence à ouvrir des salons aux États-Unis (en 1945 il y aura 121 salons Antoine). il coiffe Sarah Bernhardt, Eleonora Duse, Joséphine Baker, Brigitte Bardot, ou encore Édith Piaf.(101916) ‎