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ROCHE (Emile).
On a voté… ! Et maintenant ?
Paris Denoël et Steele 1936 1 vol. broché in-12, broché, 112 pp. Edition originale avec un bel envoi de l'auteur.
Reference : 10181
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M. Henri Vignes
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ON A VOTE...! ET MAINTENANT ?
Paris Denoël et Steele 1936 In-12 Broché Moyen
couverture de papier rouge, dos insolé ; 112pp ; papier légèrement roussi, note sur le titre "fonds Lesaché" au crayon
CAHIERS INTERNATIONAUX N° 62 JANVIER 1955. SOMMAIRE: L ASSEMBLEE A VOTE... ET MAINTENANT ? LES PREMIERES LUTTES DES MINEURS DE CARMAUX PAR ROLANDE TREMPE, L ECHEC DE LA CONFERENCES DE RIO PAR T DE L. LA MAJORITE DIVISEE A BONN PAR AP LENTIN...
IMP CENTRALE DE LA PRESSE.. 1955. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 96 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
On a voté… ! Et maintenant ?
Couverture souple. Broché. 112 pages. Papier bruni. Exemplaire non coupé.
Livre. Editions Denoël et Steele, 1936.
Maintenant N° 4 - Cahiers d'Art et de LittératureSommaire: L'amour de la liberté ( Martin Andersen Nexo ) - Paul Cézanne ( Joseph Lacasse ) - Chant de la mer ( Katherine Mansfield ) - Blaise Cendrars ( Géo Charles ) - Trois poèmes ( Maurice Fombeure ) - Défense de Nietzsche ( J.-B. Canavaggia ) - Gaston Chaissac, tailleur de cuir ( Michel Ragon ) - Poèmes de Biribi ( Georges Darien ) - Don Ramon de la Cruz ( G. Pillement ) - Henri Zochokke, conteur populaire ( Jacques Ferrier ) - Faust au théâtre de marionnettes ( L. Roth ) - Antonin Perbosc ( G.-Henri Lafage ) - Gilland et l'affaire du Vote Universel ( Jean Prugnot ) - ..... - Illustrations de Cézanne, Pissaro, Manet, Delacroix, Greuze, F. Léger, Joël Destarnes, Emile Bernard ....
N° 4 - 1946 - Ed. Grasset - revue illustrée - Broché - 259 pages
bon état intérieur - Couverture présentant des traces d'usure sans manque de papier
[2 lettres autographes signées : ] 1 L.A.S. de 2 pages : "Mon Cher Hauser, Mariéton me communique votre démission de secrétaire général du Félibrige, à mon sujet et à mon profit, ce qui m'ahurit littéralement. J'écris à Mariéton que je ne puis ni ne veux être quoi que ce soit dans le 1er Comité du Félibrige. Je n'en ai pas le temps, avec toutes ces festivités estivales, ni le désir. Mariéton vous communiquera sans doute les raisons profondes que je lui en donne. Ceci dit, je ne m'explique pas que vous vous soyez cru obligé de me céder votre place. Pourquoi grands dieux ! Serait-ce que vous croyiez que votre élection m'a gêné. J'ai voté pour vous comme 2ème secrétaire (Boubet étant le s. général). Soyez sûr que si j'avais eu la moindre pensée je vous eusse combattu ouvertement : c'est ma seule façon [...] Donc n'ayez à mon sujet absolument aucune espèce de scrupule & reprenez votre démission. Je n'aurai accepté, dans le félibrige, que d'être des 7 Conseillers & j'avoue avoir été non blessé, mais peiné, que l'on n'y ait oublié" ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 1 page :"Mon Cher Hauser, Vous venez de donner au Provençal sur Hercule un très émouvant article qui m'a rétrospectivement attristé. Pourquoi ne m'avez-vous pas dit tout cela quand il fut question des bustes de Mariéton ? Je tiens à vous dire que j'ai maintenant le remords d'avoir peut-être fortement affligé cet homme en ne songeant pas à lui & je n'y songeais pas parce que j'ignorais & son talent (que m'affirme puisqu'il est son oeuvre le Paul Arène de Sceaux) & sa misère.
2 L.A.S., s.d. : 1 L.A.S. de 2 pages : "Mon Cher Hauser, Mariéton me communique votre démission de secrétaire général du Félibrige, à mon sujet et à mon profit, ce qui m'ahurit littéralement. J'écris à Mariéton que je ne puis ni ne veux être quoi que ce soit dans le 1er Comité du Félibrige. Je n'en ai pas le temps, avec toutes ces festivités estivales, ni le désir. Mariéton vous communiquera sans doute les raisons profondes que je lui en donne. Ceci dit, je ne m'explique pas que vous vous soyez cru obligé de me céder votre place. Pourquoi grands dieux ! Serait-ce que vous croyiez que votre élection m'a gêné. J'ai voté pour vous comme 2ème secrétaire (Boubet étant le s. général). Soyez sûr que si j'avais eu la moindre pensée je vous eusse combattu ouvertement : c'est ma seule façon [...] Donc n'ayez à mon sujet absolument aucune espèce de scrupule & reprenez votre démission. Je n'aurai accepté, dans le félibrige, que d'être des 7 Conseillers & j'avoue avoir été non blessé, mais peiné, que l'on n'y ait oublié" ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 1 page :"Mon Cher Hauser, Vous venez de donner au Provençal sur Hercule un très émouvant article qui m'a rétrospectivement attristé. Pourquoi ne m'avez-vous pas dit tout cela quand il fut question des bustes de Mariéton ? Je tiens à vous dire que j'ai maintenant le remords d'avoir peut-être fortement affligé cet homme en ne songeant pas à lui & je n'y songeais pas parce que j'ignorais & son talent (que m'affirme puisqu'il est son oeuvre le Paul Arène de Sceaux) & sa misère.
Rédacteur en chef de Comoedia, Gabriel Boissy (1879-1949) fut introduit aux Chorégies d'Orange par Paul Mariéton, qu'il évoque dans chacune de ses deux lettres, adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941).
