Paris Editions de La Différence 2009 1 vol. relié in-4, cartonnage sous jaquette illustrée, 189 pp., nombreuses photographies en noir de Pierre-Louis Pierson. (jaquette très légèrement froissée). Introduction de Marta Weiss, avec un texte d'André Maurois, biographie et commentaires de Marianne Nahon. Très bon état.
Reference : 100939
ISBN : 9782729117573
Vignes Online
M. Henri Vignes
La Font Macaire
87120 Eymoutiers
France
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Paris 1856, 30x24cm, une feuille sous marie-louise.
Encre originale signée et datée de Charles Robert, intitulée "Madame la Comtesse de Castiglione et Napoléon III ou Le bal aux Tuileries le mardi 29 janvier 1856". Cette encre immortalise la rencontre historique de la Comtesse de Castiglione, alors âgée de 19 ans, et l'empereur Napoléon III au cours d'un bal donné par la princesse Mathilde. Investie par Cavour d'une mission diplomatique délicate, la jeune comtesse était arrivée à Paris dans le but deséduire l'Empereur des Français afin de le rendre sympathique à la cause piémontaise, et ainsi le convertir à l'idée d'une Italie unifiée. Elle entretiendra une célèbre liaison avec l'Empereur qui aura pour conséquence le raffermissement des liens entre la France l'Italie qui prendra fin après l'attentat contre Napoléon III perpétré par des carbonari italiens dans la nuit du 5 au 6 avril 1857. Esthétique représentation des débuts de cette Mata Hari italienne, ambassadrice et espionne au sein de la cour impériale. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P., Hôtel Drouot, 1951, in-4, br., 62 pp. (GE17B*)
Catalogue de la vente du 11 juin 1951, à l'Hôtel Drouot. Quatre-vingt quatorze pièces présentées.
Au bureau du journal. 9 decembre 1899. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 370 à 383 - avec couverture et pages publicitaires.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
SOMMAIRE : Gravures: la guerre transvaal, comment on abreuve les chevaux par Bellenger / Articles: la comtesse de Castiglione par E.F. - la révolution au Vénézuéla par X. - le vagabond par P.Warrego - dans le monde des perles par Henri Coupin - les ouvriers Indo-Chinois à l'exposition - l'église Saint-Pierre de Montmartre par Edmond Frank - Gravures: la guerre transvaal, comment on abreuve les chevaux par Bellenger / Articles: la comtesse de Castiglione par E.F. - la révolution au Vénézuéla par X. - le vagabond par P.Warrego - dans le monde des perles par Henri Coupin - les ouvriers Indo-Chinois à l'exposition - l'église Saint-Pierre de Montmartre par Edmond Frank - une soirée à la roche-douvre par Jean Carol. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
1552 Broché - 15,5 x 24 - 230 pp - année 2002 - Editions Pygmalion Gerard Watelet -
Emile-Paul, 1912, in-8°, xii-360 pp, 18 pl. de gravures et 30 pp de fac-similés hors texte, index, reliure demi-basane bleue, dos à 5 nerfs soulignés à froid, auteur et titre dorés, couv. conservées, bon état, envoi a.s. à l'académicien Alfred Mézières
"M. Frédéric Loliée a été assez heureux pour mettre la main sur une correspondance intime, absolument inédite, et sur les lettres des princes qui lui ont permis de reconstituer ce prodigieux roman, cette vie de la célèbre et très mal connue comtesse de Castiglione, surnommée « la Divine » pour sa beauté supra-humaine et qui, après avoir été la voix secrète, aux Tuileries, de la politique italienne, « la favorite », disait-on, de Napoléon III, la conseillère et l'amie des princes de la maison d'Orléans, termina, loin du monde, lasse de tout et de tous, son étrange aventure de rayonnement et de conquête. Il y a toujours eu dans la vie de cette femme étrange et belle, qui a pu dire, en exagérant un peu son rôle : « J'ai fait l'ltalie et sauvé la Papauté », de l'obscurité et du mystère, un mystère que le livre si captivant de M. Loliée n'éclaircit pas tout à fait, et c'est tant mieux : cette ombre qui plane autour d'elle rehausse encore le prestige de cette beauté souveraine, de cette femme faite pour l'amour et qui, ayant été très admirée, ne fut pas beaucoup aimée." (Ph.-Emmanuel Glaser, Le Mouvement Littéraire, 1912)