Paris, 1999, in-8, 159pp, broché, Très bel exemplaire! 159pp
Reference : 89781
Librairie Axel Benadi
M. Axel Benadi
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Paris, chez les Principaux Libraires, sans date, 1850. 2 parties en 2 vol. grand in-8, chagrin rouge, dos orné à nerfs, multiple encadrement doré sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Remise en vente d'une partie du Diable à Paris avec un nouveau titre daté 1850 Le Tiroir du diable - Paris et les Parisiens. Nobreuses gravures de Gavarni et de Bertall.Textes de Balzac, Karr, Sand, Sue, Musset, Stendhal, Nodier, Feuillet, et autres.Bel exemplaire en pleine reliure de l'époque.Vicaire, III, col. 243 ; P. Lacombe, Bibliographie parisienne, 920.
Paris, Anglolême, , 1915-1918. 51 livraisons in-folio de 4 pp., demi-chagrin noir (reliure de l'époque).
51 livraisons (sur 53) de cette très rare feuille destinée au chasseurs alpins, fondée par le colonel Brissaud-Desmaillet.Le Cor de Chasse étant l'insigne des chasseurs et, d'après une légende, les Allemands désignant les alpins sous le nom de Diables bleus, on choisit pour ce journal le titre de Le Diable au Cor, qui permettait maints jeux de mots et fut pour une large part dans le succès de l'entreprise. Le colonel Brissaud-Desmaillet était un jeune chef, gai, brave, fort aimé de ses subordonnés. « Un soldat magnifique », nous dit le lieutenant, Léon Vibert, qui fut le rédacteur en chef du Diable au Cor. Il savait insuffler à ses officiers et à ses hommes l'enthousiasme et susciter tous les dévouements. Le colonel Brissaud-Desmaillet pensa avec raison que pour faire un bon journal, le mieux était de s'adresser à des professionnels. Il y en avait précisément deux dans sa brigade : les lieutenants G. Vidai et L. Vibert. Il s'adressa à eux, leur exposa son but, et le dimanche 2 mai 1915, le premier numéro du Diable au Cor parut. Les premiers fonds avaient été fournis par le colonel et les officiers de la brigade.Les livraisons 43 et 53 (dernière livraison publiée le 31 décembre 1918) manquent.Feuilles bleu-horizon 1914-1918, p. 243.
A Paris, chez Musier / Fournier, 1779. 4 tomes reliés en 2 vol. au format in-16 (143 x 88 mm) de 1 frontispice gravé n.fol., xxii pp., 1 f. n.fol. et 201 pp. ; 1 f. n.fol., iii - 150 pp., 1 f. n.fol. et 1 f. bl. ; iii pp., 1 frontispice gravé n.fol. et 152 pp. ; iv - 147 pp., 2 ff. n.fol. et 1 f. bl. Reliures uniformes de l'époque de plein veau marbré blond, plats jansénistes, dos lisses ornés de doubles filets d'encadrement dorés, doubles filets dorés, larges fleurons dorés, semis de pointillés et de petits fleurons dorés, pièces de titre de maroquin miel, titre doré, tomaison dorée sur fond havane, palette dorée en queue, filet doré sur les coupes, tranches rouges.
Ensemble complet de ses 4 tomes ; ici reliés en un volume. L'ouvrage recèle 13 (sur 13) délicates figures gravées (non signées). ''Ce roman célèbre contient des chapitres sur les Ombres, la Mort et les Songes''. (in Dorbon-Aîné). ''Délivré par un jeune étudiant d’Alcala d’un sort que lui avait jeté un redoutable magicien, le démon Asmodée, surnommé le Diable boiteux, remercie son bienfaiteur en le régalant d’un spectacle hors du commun : il l’invite à pénétrer dans l’intimité des existences humaines : intimité des folies et des passions, des vanités et des impostures''. (BnF, Les Essentiels littérature). Dorbon-Aîné, Bibliotheca esoterica, 2670 (pour une édition antérieure). Reliures présentant de petits défauts angulaires. Dos à l'éclat légèrement altéré. Papier parfois légèrement oxydé. Rares et discrètes rousseurs dans le texte. Infime cerne en marge d'une dizaine de feuillets. Du reste, très belle condition.
Paris, Editions Stock / Delamain et Boutelleau, (1949). Un vol. au format pt in-8 (201 x 143 mm) de xxiii - 160 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Un des exemplaires numérotés du tirage sur vélin chiffon du Marais. Il s'ouvre sur un joli frontispice gravé par Mario Prassinos et recèle en outre de jolis bandeaux figuratifs par Livia Dubreuil. ''Le Diable amoureux met en fait en scène... une jolie diablesse : Biondetta. Alvare, le narrateur de l’histoire, un jeune noble espagnol, en garnison en Italie, va par jeu et curiosité invoquer Béelzébuth, le démon, dans une grotte des ruines de Portici, près de Naples. Une hideuse tête de chameau va alors apparaître. Que veux-tu lui demande-t-elle? S’ensuit une série de métamorphoses au terme desquelles apparaît Biondetta, une femme magnifique et désirable. Mais qui est-elle? Un simple avatar du diable? Une pauvre sylphide incarnée par amour pour Alvare, comme elle le prétend plus tard? Où est la réalité? Où est l’illusion?'' (Céline Roumégoux). Discrètes piqûres sur les plats. Du reste, très belle condition.
Paris, Veuve Barbin, 1707. In-12, 1 frontispice et [12]-318-[6] pages, plein veau brun du temps, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre bordeaux, coupes décorées, tranches mouchetées rouge. Un coin, un mors à peine frottés. Signature ancienne proprement masquée avec un papier collé ancien sur la page de garde (idem à la fin, en plus d'un tampon "Ducheray de Cattenom"). Bel exemplaire.
Illustré du frontispice gravé par Magdeleine Horthemels. Edition originale portant la mention de seconde édition, avec le frontispice de la première. Un des texte les plus difficiles à trouver en originale, sans mention. "C’est avec le Diable boiteux que Lesage s’annonce comme romancier de premier ordre. Le succès du roman, qui fut considérable, acheva enfin de distinguer le nom de Lesage de la foule des écrivains. Cette dernière œuvre donna cours à plusieurs anecdotes. Deux seigneurs se disputèrent le dernier exemplaire de la seconde édition en mettant l’épée à la main dans la boutique du libraire Barbin. Boileau s’indignait d’une telle vogue et menaçait, dit-on, de chasser son laquais pour avoir introduit chez lui le Diable boiteux, tandis qu’au théâtre, les portiers étouffés pouvaient attester la gloire de l’auteur. " Wiki.