Paris, 1966, in-8, , Reliure éditeur, jaquette illustrée, Très bel exemplaire!
Reference : 89208
Librairie Axel Benadi
M. Axel Benadi
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Découvertes Gallimard Découvertes Gallimard 1989, In-12 broché, 192 pages. Très bon état
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Arthaud Arthaud 1947, In-8 broché, couverture à rabat, 131 pages. 73 héliogravures. Couverture illustrée par DUCULTIT. Parfait état.
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Editions Charles Corlet 1984 Editions Charles Corlet 1984, In-8 broché de 211 pages. Illustrations. Bon état.
Circuits. Parcours. Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris Savaéte 1897, grand Paris Savaéte 1897, grand In-8 broché, XIX+ 385 pages. Rousseurs sur la couverture. , intérieur en trés bon état. Bon exemplaire.
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Avranches Tribouillard 1825 -in-12 broché un volume, broché in-douze (paperback in-12) (11 x 18,2 cm), recouvert d'une fausse couverture d'attente d'époque couleur vieux-rose, titre manuscrit au dos à l'encre brune, dos fendu avec léger manque de papier, toutes tranches non rognées, les cahiers restent solidement cousus, imprimé sur beau papier vergé chiffon, orné d'un frontispice gravé sur bois en noir représentant le Mont Saint-Michel au dos de la page de titre, IV + 175 pages, 1823 Avranches Tribouillard Editeur,
La notice sur le Mont-St-Michel occupe les pages 1 à 104. La notice sur Tombelaine occupe les pages 105 à 116. La notice sur Avranches occupe les pages 117 à 175 (fin). Le mont Saint-Michel est situé dans le « pays » de l'Avranchin. C'est un îlot rocheux à lest de lembouchure du Couesnon, lequel se jette dans la Manche. À l'origine, il était connu sous l'appellation de mont Tombe. Il devait y avoir deux oratoires, l'un dédié à saint Symphorien, l'autre à saint Étienne, édifiés par des ermites aux VIe et VIIe siècles, ainsi que le rapporte la Revelatio ecclesiae sancti Michaelis archangeli in Monte Tumba. À la suite de cette première christianisation du mont Tombe, est érigé un oratoire en lhonneur de larchange saint Michel en 708 (709 pour la dédicace), comme l'indiquent les Annales du Mont-Saint-Michel rédigées au début du XIIe siècle. Aubert, évêque d'Avranches, installe sur le site une communauté de douze chanoines pour servir le sanctuaire et accueillir les pèlerins. C'est à cette époque que le mont accueillit, à l'est du rocher, les premiers villageois qui fuyaient les raids vikings. À partir de l'an 710 et pendant tout le Moyen Âge, le mont fut couramment surnommé par les clercs « mont Saint-Michel au péril de la mer » (Mons Sancti Michaeli in periculo mari). En 867, le traité de Compiègne attribue le Cotentin, ainsi que l'Avranchin (bien que ça ne soit pas clairement stipulé), au roi de Bretagne, Salomon. L'Avranchin, tout comme le Cotentin, ne faisaient donc pas partie du territoire normand concédé au chef viking Rollon en 911. Le mont Saint-Michel restait breton, bien que toujours attaché au diocèse d'Avranches, lui-même dans l'antique province ecclésiastique de Rouen, dont la ville principale était aussi devenue capitale de la nouvelle Normandie. Il l'était encore en 933 lorsque Guillaume Ier de Normandie, "dit Guillaume Longue Épée", obtint du roi de France un agrandissement notable de son territoire, avec le Cotentin et l'Avranchin, jusqu'alors contrôlés par les Bretons. Richard Ier de Normandie, fils de Guillaume Longue Épée, eut à cur de poursuivre luvre de réforme monastique de son père et il ordonna aux chanoines à qui le Mont avait été confié de renoncer à leur vie dissolue ou de quitter les lieux. Tous partirent sauf un, Durand, qui se réforma par amour pour l'archange. C'est ainsi que s'y établirent en 966 des bénédictins issus de différentes abbayes telles, sans doute, Saint-Taurin d'Évreux et Saint-Wandrille. Les pèlerinages sont attestés depuis le IXe siècle.........Note : Frontispice gravé sur bois en face de la p. 1......RARE EXEMPLAIRE.......en bon état (good condition). bon état