‎Bousquet (Joe)‎
‎Lettres à Poisson d'Or‎

‎Les lettres françaises n° 1174 - Préface aux Lettres a Poisson d'or de Joë Bousquet par Jean Paulhan, Les secrets de l'interview, De la nouvelle au modernisme soviétique par Jean Gaugeard, Les robinsons italiens par André Wurmser, Vers un Stendhal complet‎

‎Bureau du journal. 16-22 mars 1967. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 36 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

‎Sommaire : Préface aux Lettres a Poisson d'or de Joë Bousquet par Jean Paulhan, Les secrets de l'interview, De la nouvelle au modernisme soviétique par Jean Gaugeard, Les robinsons italiens par André Wurmser, Vers un Stendhal complet par Hubert Juin Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

‎Joë Bousquet. Lettres a poisson d'or‎

‎En 1937, Joë Bousquet rencontre Poisson d'Or dans un salon. Elle fête ses vingt et un ans. Lui en a quarante. Une balle, pendant la guerre, l'a laissé paralysé. Il lui écrit. En avril 1950, Poisson d'Or se marie. À l'automne suivant, Joë Bousquet meurt. Durant douze ans, cet homme aura écrit à son étoile un immense chant d'amour et une leçon d'existence qui sont de toute beauté. Joë Bousquet, né à Narbonne, (Aude), le 19 mars 1897 et mort à Carcassonne, (Aude), le 28 septembre 1950, était un poète français. Blessé au printemps 1918, à 21 ans, atteint à la colonne vertébrale par une balle allemande. Paralysé à hauteur des pectoraux, il perd l'usage de ses membres inférieurs et reste alité toute sa vie à Carcassonne, au 53 rue de Verdun, dans une chambre dont les volets sont fermés en permanence (la Maison des Mémoires , conservée en l'état où se trouve une exposition permanente sur son oeuvre). Avec ses amis François-Paul Alibert, Ferdinand Alquié, Claude-Louis Estève et René Nelli, il fonde en 1928 la revue "Chantiers". Dans les années quarante, la revue Les Cahiers du Sud le charge d'un "Cabinet de lectures" dont il s'occupe avec Francine Bloch, premier chroniqueur principal de la revue. Il est en relation épistolaire avec de nombreux écrivains et artistes dont Paul Éluard, Max Ernst et Jean Paulhan. Il écrit constamment son prénom « Joe », sans tréma. De ce point de vue, la forme imprimée « Joë », avec tréma, qui est devenue usuelle du vivant de l'auteur, n'en est pas moins fautive. Joe Bousquet laisse donc une oeuvre poétique considérable. vol broché, usures d'usage, très bel état, 18x13, 232pages. Paris, Gallimard, 1967 ref/271‎

‎"Lettres à poisson d'or - ""L'imaginaire"" n°198"‎

‎Gallimard. 2006. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 230 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

‎Préface de Jean Paulhan. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

‎LETTRES À POISSON D'OR.‎

‎ 1967 Paris, NRF Gallimard, 1967. Édition originale, exemplaire du tirage courant après 26 exemplaires de tête. In-12 broché de 231 pp., avec un portrait de l'auteur par Hans Bellmer en frontispice. Couverture à rabats. Dos passé et légèrement creusé, bande annonce recollée. Intérieur en très bon état. Bien complet de la bande annonce rouge imprimée en noir et blanc. ‎

‎Lettres à Poisson d'Or -‎

‎ Préface de Jean Paulhan. Paris : Gallimard, 1967. Un volume broché (11,8x18,5 cm), 230 pages. Reproduction en frontispice du portrait de Joë Bousquet par Hans Bellmer. Edition originale sur papier courant (après 26 exemplaires numérotés ) en service de presse. Couverture légèrement jaunie sous papier cristal sinon bon état. ‎