Paris, 2008, in-8, 460pp, broché, Très bel exemplaire! 460pp
Reference : 72189
Librairie Axel Benadi
M. Axel Benadi
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Précieux et extraordinaire exemplaire de la première édition de la bible de Frizon censurée par la Sorbonne, dédicacée au roi Louis XIII et reliée à l'époque en maroquin rouge doublé de maroquin rouge pour le Grand Dauphin (1661-1711). Paris, Jean Richer et Pierre Chevalier, 1621 [Suivi de :] – Frizon, Pierre. Moyens pour discerner les bibles françoises catholiques d'avec Les Huguenotes. Paris, Jean Richer, 1621. 2 tomes en 3 volumes in-folio à 2 colonnes de : I/ (6) ff. dont 1 frontispice, 583 pp., 28 gravures dans le texte ; II/ (2) ff., 508 pp., 21 gravures dans le texte; III/ pp. 509 à 863, 1 f. numéroté 864, 3 pp. numérotées 510 à 512, 90 pp., (27) ff., 21 gravures dans le texte, 2 gravures au titre, 1 carte. Ainsi complet. Reliure du dix-septième siècle en maroquin rouge ; double encadrement de trois filets dorés sur les plats avec fleurs-de-lys aux angles, dos à nerfs fleurdelisés, doublures de maroquin rouge à dentelle dorée et cadre central de trois filets dorés avec fleurs-de-lys aux angles, gardes de papier marbré, tranches dorées sur marbrure. Reliure royale réalisée vers l’année 1678 en maroquin doublé de maroquin.
Première édition de cette célèbre Bible française illustrée, dite Bible de Frizon, censurée par La Sorbonne dès sa parution. En 1689, La Caille en faisait aussi l'éloge et Michel de Marolles en signalait les gravures. Cette édition de la Bible est la première qui ait été faite à Paris ; elle est très rare, & l'on n'en connoit presque point d'exemplaires : il en existe deux à Paris ; l'un dans la bibliothèque du Roi, l'autre dans celle des Célestins. L'impression en est fort belle (G. F. de Bure, Bibliographie instructive, 1763, 1, n°31). - Duportal, Catalogue, 412. Cette première édition de cette version de la Bible de Louvain, jugée encore trop protestante par la Sorbonne, constitue la première bible française illustrée de gravures en taille douce. L'ouvrage tient le premier rang parmi les livres illustrés du temps de Louis XIII, avec 70 eaux-fortes originales comportant plus de 900 sujets, auxquels s'ajoutent un frontispice de Michel Lasne, deux vignettes et une carte. À côté d’artistes restés anonymes, la plupart des grands dessinateurs ou graveurs de l'époque ont contribué à l'illustration de l'ouvrage : notamment Claude Mellan, Michel Lasne, Léonard Gaultier, M. Van Lochom, Melchior Tavernier, Jean Zniarnko, M. Faulte, etc. Œuvre majeure de l'édition biblique, l'ouvrage est aussi un chef-d’œuvre de l'illustration française de son temps. « Cette bible de Frizon de 1621 est ornée de plusieurs figures très belles et fort estimées. On l’appelle vulgairement la Bible de Richer, qui est recherchée des curieux » (Histoire de l’Imprimerie, page 244). La première Bible imprimée en français est celle de Jean de Rely, qui est une révision de celle de Des Moulins, imprimée en 1487 sur l'ordre de Charles V. Naturellement cette Bible n'était pas une version littérale, mais une Bible historiée, comme il est écrit au folio 353. Un exemplaire se trouve à la bibliothèque Nationale et un autre à l'Arsenal à Paris. En 1528, Lefèvre d'Étaples finit la traduction entière de la Bible, qui fut imprimée à Anvers. Le travail de Lefèvre était basé sur la Vulgate (rendue fidèlement pour la première fois dans une traduction française). Il n'était pas destiné en lui-même à devenir la Bible populaire du peuple français, mais il préparait la voie pour un tel bienfait. Ce travail devint le modèle que les protestants et catholiques suivirent. En 1535, Pierre Robert Olivetan produisit une nouvelle traduction qui suppléait aux faiblesses de la version de Lefèvre. Natif de Picardie, il fut un des leaders de la Réforme en France. A cause de l'opposition rencontrée en France la première édition de cette Bible fut imprimée à Neuchâtel (en Suisse), les autres le furent à Genève. Malgré la censure, bien des Bibles de Genève entraient en France. Citons un passage du livre "Histoire des protestants en France", p. 68, qui montre le travail de quelques chrétiens de l'époque "étudiants et ministres, porte-balles, porte-paniers, comme le peuple les appelait, parcouraient le pays, un bâton à la main, le panier sur le dos, par le chaud et le froid, dans les chemins écartés, à travers les ravins et les fondrières de campagne. Ils s'en allaient, continue Mr de Félicé, frapper de portes en portes, mal reçus souvent, toujours menacés de mort, et ne sachant le matin où leur tête reposerait le soir". En 1566, René Benoît publia une traduction de la Bible, qui fut censurée par la Sorbonne en 1567 et finit de paraître en 1568. Benoît dut s'humilier devant la Sorbonne et reconnaître que sa traduction était une copie de celle de Genève, qui devait par conséquent être rejetée. Il en fut de même de la révision que Pierre Besse dédia à Henri IV en 1608, de celle de Claude Deville en 1613, et de celle de Pierre Frizon dédié à Louis XIII en 1621. « Le [Pape] PauI IV ordonne que toutes les Bibles en langue vulgaire ne peuvent ni être imprimées ni être gardées sans une permission du Saint-Office. C'était en pratique la prohibition de la lecture des Bibles en langue vulgaire » (Dictionnaire de Théologie Catholique, 15, col. 2738). La quatrième règle de l’Index (des livres interdits) publié par le pape Pie IV déclare : "L'expérience prouve que si l'on permet indistinctement la lecture de la Bible en langue vulgaire, il en arrivera par la témérité des hommes plus de mal que de bien." Le pape Sixte-Quint fait savoir expressément que personne ne peut lire la Bible en langue vulgaire sans une « permission spéciale du Siège apostolique ». Merveilleux exemplaire relié par Luc-Antoine Boyet dont on reconnait les fers caractéristiques (Esmerian, Deuxième partie). Le contraste entre l'altière élégance de la doublure et des plats et la luxuriante richesse des coupes symbolise la primauté de Boyet dans l'art de la reliure française au XVIIe siècle. « Il fut sans doute le premier relieur qui s'attacha et réussit à si bien soigner cette façon du corps d'ouvrage. Il excelle notamment dans le choix du maroquin, la confection de la couture et de l'endossage, les chasses basses. » Précieux et extraordinaire exemplaire royal offert vers l’année 1678 à Louis de France, Dauphin, appelé Monseigneur et surnommé Le Grand Dauphin, fils aîné de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Autriche, né à Fontainebleau le 1er novembre 1661. Chacun des trois volumes comporte en queue du dos et sur la pièce de tomaison la marque reproduite par Olivier-Hermal (Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises, Paris 1934, pl. 2522, fer n° 17), la référence incontestée en la matière, ainsi analysée : « Nous estimons que ce fer (associant une fleur de lys et un dauphin, tous deux surmontés de la couronne des princes de sang) a dû primitivement être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin (à compter de l'année 1678) et qu'ensuite, il fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau. » Cette analyse était confirmée par Jean Toulet, l’ancien conservateur en chef de la réserve de la B.n.F. Quelques clercs contemporains contestent cette attribution et méconnaissent la science héraldique de l'âge classique. Aucun fer héraldique, à notre connaissance, comportant plusieurs emblèmes royaux ne fut créé au XVIIe siècle dans un but simplement ornemental. Ce fer armorié, composé d'une fleur-de-lys couronnée et de l'emblème du dauphin surmonté de la couronne des princes de sang fut « frappé dès 1678 sur des volumes destinés au Grand Dauphin » adolescent et ce n'est qu'ensuite, le dauphin majeur utilisant les armoiries reproduites par Olivier, planche 2522 fers 1 à 9, que ce fer n° 17 « fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau » (Olivier-Hermal). Cette nuance héraldique, certes éloignée de nos préoccupations modernes, a apparemment échappé à la sagacité de certains amateurs contemporains les amenant à rejeter globalement l'appartenance princière de l'ensemble des volumes frappés du fer héraldique n° 17. Imaginer en effet qu'au Siècle de Louis XIV, un tel fer héraldique royal eut pu originellement être poussé sur des livres à titre simplement ornemental est une hérésie héraldique. M. J. - P. - A. Madden fut le premier à consacrer une étude historique à ce fer héraldique. (Voir «Le livre, année 1880 »). Au terme d'une analyse documentée, et qui fait autorité, il concluait que ce fer « se trouvait frappé au dos de nombreux volumes adressés au Dauphin et imprimés de 1678 à 1706, c'est-à-dire de sa dix-septième à sa quarante-cinquième année ». L'on sait qu'un demi siècle plus tard, en 1934, Olivier-Hermal confirmait la destination de ce fer héraldique en la réservant aux premières années de son apparition (à compter de 1678). «Nous avons rencontré ce fer n°17 sur des volumes dont la date de publication est tantôt antérieure, tantôt postérieure à la mort du Grand Dauphin (1711). Nous estimons que ce fer a dû primitivement être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin, et qu'ensuite, il fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau. » (Olivier-Hermal). Jean Toulet, ancien Conservateur en Chef de la Réserve des livres rares à la B.n.F. et autorité incontestée pour la période classique, considère que les très rares volumes de la fin du XVIIe siècle reliés en maroquin d'époque doublé de maroquin ornés d'une simple fleur-de-lys étaient bien évidemment destinés aux princes de sang royal. Les somptueuses reliures recouvrant cette bible censurée par la Sorbonne, décorées avec une extrême élégance, sont l'œuvre de l'atelier de Luc-Antoine Boyet. Boyet travaillait alors pour le Grand Dauphin et « la pratique du bon goût aristocratique, à la fin du XVIIe siècle, voulait que l'on minimise le plus possible la marque d'appartenance et la dimension des armoiries ornant les reliures. » Louis de France appelé Monseigneur, dit le Grand Dauphin, reçut en naissant la croix et le cordon de l'ordre du Saint-Esprit ; il eut pour gouverneur le duc de Montausier et pour précepteur Bossuet. Il épousa le 7 mars 1680, à Châlons-sur-Marne, Marie-Anne-Christine-Victoire de Bavière, décédée en 1690, qui lui donna trois fils. Reçu chevalier du Saint-Esprit le 1er janvier 1682, il fit quelque temps campagne en Allemagne et en Flandre (1688-1694), mais fut constamment tenu à l'écart des affaires par Louis XIV. Le Grand Dauphin épousa secrètement vers 1695 Marie-Émilie Joly de Choin. Il mourut le 14 avril 1711, de la petite vérole, au château de Meudon. Cet exemplaire prestigieux fut catalogué et reproduit en couleur il y a 20 ans par Pierre Bérès au prix de 450 000 FF (70 000 €) « Livres et Manuscrits significatifs et choisis, N°25 ». Pierre Berès cataloguait alors 275 000 FF l’édition originale de 1544 de « Délie » de Maurice Scève, 300 000 FF les Œuvres de Rabelais de 1556 et 675 000 FF (≈ 100 000 €) le fameux exemplaire en vélin de l’époque de l’édition originale de 1555 des Œuvres de Louise Labé Lionnaize. Ce volume cote aujourd’hui plus de 650 000 €, un exemplaire passé à New York en reliure moderne venant d’être vendu 450 000 € à un bibliophile européen.
1 vol. in-8 reliure de l'époque pleine basane marbrée, dos à 5 nerfs, Mandement de M. l'Evêque de Boulogne, pour le Carême; De l'Imprimerie de Guerbart, Paris, 1792, 44 pp. [ par Jean-René, Evêque de Boulogne ] - Exhortation aux vrais catholiques pour le Dimanche de la Passion, Chez Crapart, Paris, s.d. 16 pp. - Exhortation aux vrais catholiques pour le second Dimanche de Carême, De l'Imprimerie de Crapart, s.d. (février 1792), 16 pp. - Exhortation aux Vrais Catholiques pour passer saintement le Carême, et se disposer à la Pâque, Chez Crapart, Paris, 1792, 15 pp. - L'Ange Tutélaire de la France, visitant ce Royaume, et instruisant les catholiques fidèles. Par l'auteur de Gros-Jean qui remontre à son Curé, Chez Lallemand, Paris, 1792, 63 pp. - Avis de M. l'Archevêque d'Auch, à plusieurs Catholiques de son Diocèse, & principalement à quelques habitans des campagnes, s.n. (29 mars 1792, par L. Ap.) - Le Catéchisme d'un Curé intrus, ou l'Intrus a quia, De l'Imprimerie de Guerbart, Paris, 1792, 24 pp. - Autre Suite du Catéchisme de l'Intrus, 19 pp. - Suite du Catéchisme de l'Intrus, 12 pp. - Instruction Pastorale de M. l'Evêque de Boulogne, Sur l'obligation de s'attacher aux Pateurs légitimes ; adoptée pour le Diocèse de Bordeaux, De l'Imprimerie de Guerbart, Paris, 1791, 23 pp. (par Jean-René Evêque de Boulogne) - Les Intrus jugés au Tribunal de la Religion, par l'Auteur du Catéchisme nouveau & raisonné. A l'usage des Intrus qui ont le bonheur d'avoir des remord, Chez Pichard, Paris, 1791, 32 pp. - Lettre de M. l'Evêque de Blois, 1792, 16 pp. (par AL, Ev. de Blois) - Instruction Pastorale de Monseigneur l'Archevêque de Bordeaux, Chez Senneville, De l'Imprimerie de Crapart, 1792, 16 pp. - Les Vrais Principes de l'Eglise, de la Morale et de la Raison sur la Constitution Civile du Clergé, s.l.n.d (1792), 282 pp. et 1 f. - Histoire de mon Ier Serment, et Consultation sur le Second, à M. Avoine se disant Evêque du département de Seine et Oise, Chez Caillot et Courcier, Devaux, Dufresne, Pichard, Lallemand, Paris, 1792, 78 pp. (par Jul. delaunay, pasteur errant autour de son troupeau, et confesseur de la foi de Jésus-Christ) - Le Schisme démontré, ou Les Nouveaux Schismatiques, Chez Lallemand, Paris, 1792, 105 pp. et 1 f.
Extraordinaire réunion de 16 pièces diverses, par des pasteurs catholiques fidèles à Rome, exhortant les catholiques et brossant un tableau réaliste et dramatique de la situation spirituelle. On extraira ce passage de "L'Ange Tutélaire de la France" (l'Ange discute avec son guide dans le Paris de 1792) : "Quoi ! l'Eglise Sainte-Geneviève s'appelle le Panthéon Français ! Est-ce que nous sommes au milieu de Rome payenne ? Ce mot veut dire Temple de tous les Dieux Français". Etat moyen (reliure abîmée avec divers petits accrocs et mq., qq. mouill. à certaines pièces, deux petits travaux de vers en marge intérieure de deux pièces n'affectant pas le texte).
Cerf Histoire Religieuse De France 13 Mars 2008 . Fort volume, broché, 14 x 23.5, 582 pages, complet du cd in fine, index des personnes. bel exemplaire.
À l'exemple des catholiques allemands et italiens réunis dans les " Katholikentage " et dans l'" Opera dei congressi ", des Français, formés à l'action caritative par la Société de Saint-Vincent-de-Paul, se retrouvent, après 1870, au sein des Comités catholiques pour coordonner les oeuvres catholiques et la défense religieuse. L'action de ces notables, quelque peu oubliée, voire méprisée par la suite, méritait d'être remise en lumière. Bien qu'ayant connu des échecs sur le terrain politique, sous " la République des républicains ", elle a porté des fruits durables. Ces hommes ont participé à l'essor des pèlerinages, des congrès eucharistiques et de l'adoration du Saint-Sacrement. Ils ont participé à la fondation de nombreuses écoles libres, du primaire à l'université, en passant par l'enseignement spécialisé ; ils ont animé des patronages ; ils ont défendu l'Église dans les journaux. Mais c'est surtout dans le domaine social que leur charité s'est faite inventive. Aucune des oeuvres ouvrières de l'époque ne leur est demeurée étrangère ; ils ont cherché comment, via les syndicats mixtes, adapter à leur siècle les corporations médiévales ; ils ont lancé les syndicats agricoles et les caisses rurales ainsi que des banques populaires mutualistes ; tout en participant aux oeuvres charitables de l'époque (y compris les logements et les jardins ouvriers), certains ont voulu aller plus loin et aider les ouvriers à prendre en main leur formation sociale. Après avoir retracé l'histoire des Comités catholiques, ce livre brosse un portrait type de ces catholiques engagés, autour de cinq grandes figures (Charles Chesnelong, Émile Keller, Anatole de Caulaincourt, Charles Thellier de Poncheville, Charles de Nicolay), avant de présenter un panorama de l'ensemble des oeuvres catholiques, grâce auxquelles, après les années d'affrontement, l'Église catholique est apparue dans la société française, poussée moins par la recherche de domination que par la charité. -- Following the example of German and Italian Catholics united in the 'Katholikentage' and the 'Opera dei congressi', French Catholics trained for charitable work by the Société de Saint-Vincent-de-Paul formed Catholic Committees after 1870, for the coordination of Catholic charitable works and the defence of their religion. Their action, which was later disdained and is now somewhat forgotten, deserves to be re-assessed. Although these Catholic Committees had encountered failures in the political arena under 'the Republic of republicans', they nevertheless obtained lasting results. They participated in popularizing pilgrimages, Eucharistic congresses and the adoration of the Blessed Sacrament. The contributed to the foundation of many free schools, from primary level to university, not forgetting specialized teaching; they animated youth fellowship; they defended the Church in their newspapers. But it was especially in the social domain that their charity showed creativity. They were involved with all of the working class initiatives of their epoch; they strove to adapt medieval corporations to their century via mixed unions; they inaugurated unions in agricultural areas and set up rural funds as well as mutual benefit banks, participating all the while in charitable works (including accommodation and allotments for working class families). Some wanted to go further and help workers organize their own social training. After retracing the history of Catholic Committees, this book sketches a typical portrait of the militant Catholic around five great figures (Charles Chesnelong, Émile Keller, Anatole de Caulaincourt, Charles Thellier de Poncheville, Charles de Nicolay). It then presents a panorama of Catholic charitable works in their ensemble. Thanks to these activities, the Catholic Church, after the years of confrontation, appeared in the eyes of French society as an institution driven more by charity than the search for domination. Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Maison Mame. Avril 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 163 pages.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Sommaire : Luther tel que le voient les catholiques par E. Iserloh, Quelle fut la véritable intention de Luther ? par E. Wolf, Que peut avoir a dire Calvin aux catholiques aujourd'hui ? par J. Bosc, Calvin dans le jugement des catholiques d'aujourd'hui par A. Ganoczy Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Lyon, Bureaux des Missions Catholiques, 1883, fort volume in 4° relié demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de filets dorés, 643 pages ; nombreuses gravures sur bois ; avec la table des matières.
Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
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