Paris, 1928, in-8, 79pp, reliure demi-chagrin, Superbe exemplaire de l'édition originale numérotée sur Papier Lafuma! 79pp
Reference : 68817
Librairie Axel Benadi
M. Axel Benadi
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"Nouveaux contes de la maternelle" est un recueil de contes écrit par Léon Frapié, un écrivain français du XIXe et du début du XXe siècle. Le livre a été publié en 1903. Léon Frapié était un auteur prolifique et reconnu pour ses histoires courtes et pleines d'émotions. Ses contes sont souvent empreints de sensibilité et d'humanité, mettant en scène des personnages touchants issus de milieux modestes et dépeignant la vie quotidienne dans les quartiers populaires de Paris. Dans "Nouveaux contes de la maternelle", Frapié continue de raconter des histoires émouvantes et pleines de tendresse, mettant en scène des enfants et des adultes qui sont confrontés à des situations de la vie réelle. Les thèmes abordés peuvent inclure l'amour filial, l'amitié, la persévérance, la solidarité et les petites joies de la vie. L'écriture de Frapié est souvent caractérisée par un réalisme poétique, et ses contes sont imprégnés d'une profonde humanité qui touche les lecteurs de tous âges. vol. relié demi-cuir, 18x120, bon état intérieur, 288pp. Sommaire en photo. Paris, Flammarion, 1919 ref/262
[AULNOY, Marie-Catherine Le Jumel de Barneville, baronne d’]
Reference : YQV-34
(1700)
2 tomes en 1 volume in-12 (138 × 70 mm) de 1 frontispice et [2]-244 pp. pour le tome I, et 1 frontispice et [2]-210 pp. pour le tome II ; veau fauve moucheté, dos à nerfs, compartiments ornés de fleurons et fers d’angle (reliure de l’époque).
Très rare édition des contes de fées de Madame d’Aulnoy. Elle est ornée de 2 frontispices de Jan van Vianen et de 10 vignettes en tête de chaque conte, le tout gravé sur cuivre. Des ornements gravés sur bois complètent l’illustration. Les recueils de Madame d’Aulnoy, qui imposèrent – avec les Contes de Perrault – la mode du genre féerique et marquèrent la « naissance du conte féminin » (Nadine Jasmin), parurent pour la première fois en 1697-98 à Paris chez Claude Barbin, en quatre volumes, sous le titre de Contes des fées. En 1698, une nouvelle série intitulée Contes nouveaux ou les Fées à la mode fut publiée, aussi en quatre volumes, par Catherine Legras et Nicolas Gosselin. Les exemplaires de ces premières éditions sont aujourd’hui pratiquement introuvables, y compris dans les institutions, où ils sont généralement considérés comme «perdus» ou «non localisés». (VolkerShröder, de Princeton, a récemment retracé et décrit les quelques exemplaires et fragments qui subsistent dans une série de publications de son blog Anecdota.) Des contrefaçons portant une fausse adresse de « Trévoux » virent le jour quelques mois après les éditions originales : illustrées de bois sans rapport avec le texte des Contes, elles sont aussi d’une extrême rareté. Voir la fiche complète sur leste de la Librairie Métamorphoses : https://librairiemetamorphoses.com/boutique/livres/nom/nouveaux-contes-des-fees-par-madame-d/
Paris Charles Gosselin 1832 3 volumes in-8, demi-veau bleu nuit, plats de papier marbré, dos sans nerfs ornés de fers et filets dorés; doublures et gardes de papier crème, têtes lisses, non rognés (reliures de l'époque).Edition originale pour les Nouveaux contes philosophiques et édition originale pour les Contes philosophiques, mais avec le titre à la date de 1832 (au lieu de 1831) sans aucune mention d'édition alors que l'on trouve habituellement Troisième édition. Avec deux frontispices gravés sur acier par Porret d'après Tony Johannot, l'un pour les Contes philosophiques et l'autre en tête des Nouveaux Contes philosophiques. Des bibliothèques de Frédéric de Pourtalès (ex-libris) et du docteur André Chauveau (Paris, 1976, n°35, ex-libris).
1831 Paris, Gosselin, 1831 pour les "Romans et contes...", 1832 pour les "Nouveaux contes...", 4 volumes in 8 de 400 pp. ; (4)-418 pp. ; (4)-396 pp., (4)-425-(1) pp., 4 frontispices sur Chine, élégante reliure d'époque demi-veau glacé vert-olive, dos (légèrement passés) à faux-nerfs ornés de roulettes dorées, motifs romantiques et larges roulette dorées, infimes rousseurs, très bel ex. entièrement non rogné et non lavé.
Édition originale pour les 3e et 4e volumes, 2e édition pour la Peau de chagrin dans les 2 premiers volumes. Le tome III renferme : l'Enfant maudit, l'Elixir de longue vie, les Proscrits, le Chef-d'oeuvre inconnu, le Réquisitionnaire, Etude de femme, les Deux rêves (devenu Sur Catherine de Médicis), Jésus-Christ en Flandre, l'Eglise, Sarrasine, El Verdugo et la Comédie du Diable, et le tome IV : Louis Lambert, Maître Cornélius, Madame Firmiani et l'Auberge rouge, tous en éditions originales. Notre exemplaire comporte un titre de relais avec mention de 3e édition, pour les 3 premiers volumes ; le 4e volume, "Nouveaux contes ..." porte sur le titre une mention de second tirage, et contrairement à ce que dit Clouzot, p. 20, il s'agit bien d'un exemplaire en tout point identique à l'édition originale, le titre seul distinguant les deux tirages de l'éd. orig. Bel ex libris armorié gravé contemporains de l'ouvrage MARYE de MERVAL (Vexin), et timbres humides armoriés WANDREGIS-FONT dans les quatre volumes. Même si ces volumes ne présentent pas les caractéristiques de première émission sur les pages de titre, leur réunion en quatre volumes en belles reliures d'époque avec provenance est extrèmement rare.
Paris, Librairie illustrée, 1888. In-12 (156 x 98 mm), 150 pp., 1 f. n. ch. Demi-maroquin vert janséniste à coins, dos à nerfs, titre et auteur date en doré, non rogné, tête dorée, couvertures conservées, dos passé (Vermorel).
Édition originale. Nouveaux contes cruels est le dernier ouvrage paru du vivant de l'auteur. Il fait suite au recueil Contes cruels paru en 1883, qui demeure l'œuvre la plus célèbre de Villiers de L'Isle-Adam. Placées sous le signe de la cruauté, ces nouvelles sont souvent imprégnées d'éléments fantastiques. Ces Nouveaux Contes cruels, qui furent salués par Huysmans, ajoutent huit récits à cet ensemble. Un écrivain qui a inspiré le symbolisme. Villiers de L'Isle-Adam a joué un grand rôle dans la naissance du symbolisme français; il fut un grand admirateur de Poe et de Baudelaire, un passionné de Wagner et un grand ami de Mallarmé. Idéaliste impénitent, le rêve seul l'enchante et l'exalte, non sans s'accompagner d'une ironie sombre qui reste sa marque. Cette conception du rêve (et une grande part de sa philosophie), il la tient de ses connaissances sur l'oeuvre d'Edgar Poe. En effet, par le rêve, Poe pensait pouvoir retrouver un état d'intégrité et de liberté intuitives. De la bibliothèque de l'écrivain François Heysh, avec son ex-libris illustré. Bon exemplaire en reliure de Vermorel, avec ses couvertures. Clouzot, Guide du bibliophile français. XIXe siècle, p. 277. Vicaire, Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle, VII, col. 1092.