Revue trimestrielle, Editions Masson & Cie, Tome 68, 1964, numéro 3-4, format 24x16cm, broché, nombreuses illustrations in et hors-texte, exemplaire en bon état.
Reference : 7123
Sommaire : Recherches sédimentologiques sur la Paléoclimatologie du Wurmien récent en Périgord ( suite) - Le Trou de la Chèvre par Henri Laville, Le Perigordien supérieur à Burins de Noailles du Roc de Gavaudun ( Lot-et-Garonne) par E. Monméjean, F. Bordes et Denise de Sonneville-Bordes, Recherches anthropologiques sur les Alaouites par H. V. Vallois et M.C. Chamla, Analyse typologique et structure raciale du Pays Basque par G. Billy, etc..etc...
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, 1868-1896, in-8, 17 pièces, plusieurs formats réimposés en un volume, Demi-chagrin brun foncé de l'époque, dos à faux nerfs, premières de couverture conservées, Intéressante réunion d'ouvrages, de plaquettes et d'extraits, constituant un excellent aperçu des travaux et de la pensée d'Alexandre-Abel Hovelacque (1843-1896), de la linguistique pure à la linguistique naturaliste, de l'anthropologie physique à l'ethnographie européenne. Les pièces sont reliées dans l'ordre suivant : - Instructions pour l'étude élémentaire de la linguistique européenne. Paris, Maisonneuve, 1871. 131 pp. - Mémoire sur la primordialité et la prononciation du r-vocal sanskrit. Paris, Maisonneuve, 1872. 28-[1] pp. - L'Avesta. Zoroastre et le mazdéisme. Première partie : introduction. Paris, Maisonneuve, 1878. 114-[1] pp. - Observations sur un passage d'Hérodote concernant certaines institutions perses. Paris, Maisonneuve, 1875. 28 pp. - Les deux principes dans l'Avesta. (sl. sn, 1876). 15 pp. (un passage censuré page 10). - Conférence transformiste. L'évolution du langage. Extrait des Bulletins de la Société d'anthropologie. Paris, Typographie A. Hennuyer, 1885. 23 pp. - Ahura Mazdâ. 16 pp. (s.l, s.n, s.d.) - Langues, races, nationalités. Deuxième édition. Paris, Ernst Leroux, 1875. 40 pp. - Les Slaves du sud en Hongrie. Extrait de la Réforme économique. Rouen, Léon Deshays, 1876. 20 pp. - "Notice sur les subdivisions de la langue commune indo-européenne". Paginé 475 à 479. Extrait de la Revue d'anthropologie, tome I, 1872. - Lettre sur l'homme préhistorique du type le plus ancien. Sur la structure de ses restes et sur son origine. Paris, Reinwald, 1875. 16 pp. - La théorie spécieuse de Lautverschiebung. Paris, Maisonneuve, 1868. 18 pp. - "Contribution à l'étude de l'occipital". 6-[1] pp. Extrait de l'Association française pour l'avancement des sciences, Congrès de Lille 1874. - "Communication sur les races inférieures". Paris, Imprimerie Nationale, 1880. Tiré à part, extrait du Compte-rendu sténographique du Congrès international des sciences anthropologiques (16-21 août 1878). - Hovelacque et Georges HERVÉ, "Étude de 36 crânes dauphinois". paris, Félix Alcan, 1894. Paginé 188 à 200. Extrait de la Revue mensuelle de l'École d'anthropologie de Paris (4e année, VI, 15 juin 1894). - "La taille dans un canton de Ligure". Paris, Félix Alcan, 1896. Paginé 51 à 53. Extrait de la Revue mensuelle de l'École d'anthropologie de Paris (6e année, II, 15 février 1896). - "Sur la juxtaposition de caractères divergents à propos de crânes de Birmans". Paris, G. Masson, 1888. Paginé 681 à 683. Extrait de la Revue d'anthropologie (17e année, III). Cet ensemble démontre la manière dont Hovelacque entremêla et utilisa ces disciplines : en rapprochant les données linguistiques et les données anthropologiques, il parvint à la conclusion explicite de l'inégalité des langues et des races. C'est à ce rapprochement que Ferdinand de Saussure s'opposera dans son célèbre Cours de linguistique générale de 1916 (Cf : Piet Desmet. "Abel Hovelacque et l'école de linguistique naturaliste : l'inégalité des langues permet-elle de conclure à l'inégalité des races ?". In: Histoire Épistémologie Langage, tome 29, fascicule 2, 2007. Le naturalisme linguistique et ses désordres, sous la direction de Sylvain Auroux. pp. 41-59). Hovelacque fut initié à la linguistique par Chavée et à l'anthropologie par Broca. Il apprit le sanscrit et l'avestique : on lui doit notamment une étude sur l'Avesta et une grammaire de l'avestique, la première publiée en langue française. Il fonda la Revue de linguistique en collaboration avec Chavée. Auprès de Broca et de son laboratoire d'anthropologie, il fournit de nombreuses études craniométriques et ethnographiques. Il enseigna l'ethnographie linguistique dès la fondation de l'École d'anthropologie. Les théories d'Hovelacque sont Couverture rigide
Bon 17 pièces, plusieurs formats
Table : définition de l’anthropologie - de l'homme considéré dans son ensemble et dans ses rapports avec les animaux - des races humaines - origines de l'homme. 52 figures intercalées dans le texte. Vol relié in8, 180x130, demi cuir, bel état, 560pp. Paris, C. Reinwald, Libraire 1884 Paul Topinard était un anthropologue français du XIXe siècle, né le 4 novembre 1830 à Paris et décédé le 20 décembre 1911 à Dijon. Il est considéré comme l'un des pionniers de l'anthropologie physique en France. Topinard a été formé en médecine et a obtenu son diplôme de docteur en médecine en 1859. Il a ensuite poursuivi une carrière dans l'armée française en tant que médecin militaire. Pendant la guerre franco-prussienne de 1870, il a été fait prisonnier et a passé plusieurs mois dans un camp de prisonniers. Après la guerre, Topinard s'est intéressé à l'étude des races humaines et a contribué à développer l'anthropologie physique en France. Il a publié de nombreux ouvrages sur le sujet, dont son ouvrage le plus célèbre intitulé "Éléments d'anthropologie générale", publié en 1885. Dans cet ouvrage, il a abordé des sujets tels que la classification des races humaines, la craniologie, l'anthropométrie et la génétique. Topinard a également été l'un des fondateurs de la Société d'Anthropologie de Paris en 1859 et en est devenu le président en 1886. Il a joué un rôle important dans l'établissement de l'anthropologie comme discipline scientifique en France et a contribué à la formation de nombreux anthropologues français. L'œuvre de Topinard a eu une influence durable sur le développement de l'anthropologie en France, bien que certaines de ses idées aient été critiquées ou dépassées par les avancées ultérieures dans le domaine. Il est considéré comme l'un des précurseurs de l'anthropologie physique moderne et a contribué à établir les bases de cette discipline. ref/212
Payot , Petite Bibliothèque Payot Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1971 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture éditeur imprimée blanche, illustrée d'une composition marron et rouge avec des petits personnages blanc et rouge In-8 1 vol. - 247 pages
1ere édition, inédit dans cette collection, 1971 Contents, Chapitres : Introduction - Histoire de l'anthropologie sociale appliquée - Le dialogue de l'anthropologue et de l'administrateur - Que peut apporter une théorie scientifique de l'acculturation à l'anthropologie appliquée ? - L'acculturation planifiée dans le contexte socialiste - Défense et illustration du marginalisme - Anthropologie appliquée et ethnologie appliquée - Anthropologie appliquée et structuralisme - Anthropologie appliquée et psychologie sociale - Pause au bord du chemin - L'anthropologie appliquée comme science théorique de la pratique - L'anthropologie appliquée aux relations raciales - La rationalité de l'irrationnel - Bibliographie - Roger Bastide (Nîmes, 1er avril 1898 - Maisons-Laffitte, 10 avril 1974) était sociologue et anthropologue français, spécialiste de sociologie et de la littérature brésilienne. - Agrégé de philosophie en 1924, il intègre la mission d'enseignants européens à la nouvelle université de São Paulo en 1938 pour occuper la chaire de sociologie. Professeur de sociologie à São Paulo de 1938 à 1954, il fait paraître de nombreux articles et études en portugais portant essentiellement sur les religions africaines au Brésil et en Afrique, comme Le Candomblé de Bahia : rite Nagô (1958). En 1958, il est nommé professeur dethnologie et de sociologie religieuse à la Sorbonne et publie Sociologie et psychanalyse. Il dirige la revue LAnnée sociologique, ainsi que le Centre de psychiatrie sociale et le Laboratoire de sociologie de la connaissance (en 1965 à la mort de Gurvitch). Ses derniers travaux traitent des maladies mentales chez les Africains et les Antillais vivant en France et des troubles dadaptation des anciens déportés sur lesquels il a réuni une riche documentation. (source : Wikipedia) couverture legerement jaunie, infime trace de pliure au coin inférieur droit de la couverture, intérieur propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire - format de poche
Paris, Delahaye et Lecrosnier, 1887, in-8, XI-654 pages, Demi-chagrin havane, dos orné. Reliure de l'époque, Quelques figures dans le texte. Première édition. L'ouvrage a été co-écrit par l'anthropologue et linguiste Abel Hovelacque et son ami et compagnon de voyage, le Dr Hervé. Tous deux collaboreront également, sept ans plus tard, aux Recherches ethnologiques sur le Morvan. L'ouvrage comprend quatre parties : Anthropologie zoologique ; anthropologie ethnique ; anthropologie préhistorique ; ethnographie. Alexandre-Abel Hovelacque (1843-1896) fut initié à la linguistique par Chavée et à l'anthropologie par Broca. Il apprit le sanscrit et l'avestique et participa aux discussions de la Société d'anthropologie. Il fonda la Revue de linguistique en collaboration avec Chavée. Auprès de Broca et de son laboratoire d'anthropologie, il fournit de nombreuses études craniométriques et ethnographiques. Il enseigna l'ethnographie linguistique dès la fondation de l'École d'anthropologie. Sa pensée est marquée par le matérialisme scientifique et la linguistique naturaliste. Grande figure de la raciologie républicaine militante, il est l'auteur de plusieurs travaux qui ont contribué à répandre les théories scientifiques de l'inégalité des races. Il fut conseiller municipal de la ville de Paris, qu'il préside à partir de 1887 : cette même année, il fait adopter le projet de création de l'École Estienne. Il s'opposait fermement à l'enseignement religieux, après avoir été lui-même éduqué dans une institution ecclésiastique. Dos légèrement passé, petite tache en marge des derniers feuillets, mais bel exemplaire. Couverture rigide
Bon XI-654 pages.
Plon, 1971, in-8°, 452 pp, 23 illustrations dans le texte et 13 illustrations hors texte, biblio, index, cart. bleu de l'éditeur, titres dorés au dos, sans la jaquette, bon état
Ecrits entre 1945 et 1957, les textes rassemblés dans ce volume et devenus difficilement accessibles jettent les fondations de l'anthropologie structurale à laquelle le nom de l'auteur est lié. L'introduction dissipe un malentendu initial en montrant que l'ethnologie et l'histoire, même dite événementielle, loin de s'opposer, doivent se prêter un appui mutuel ; ce que, depuis, les succès de l'anthropologie historique ont amplement attesté. L'étude des sociétés amérindiennes, objet de la deuxième partie, le confirme. L'analyse structurale de leurs coutumes, et de leurs institutions anticipe des découvertes archéologiques récentes, d'où ressort que les peuples amazoniens ne furent pas les primitifs qu'on croyait voir en eux. Dans une première partie, l'auteur avait aussi fait voir par des exemples concrets comment ses réflexions sur les rapports de l'anthropologie avec la linguistique et la psychologie l'ont conduit à poser les principes de l'analyse structurale des mythes, qui allait occuper une grande place dans ses travaux. Une troisième partie élargit cette perspective pour y inclure l'art. Enfin une quatrième partie, d'esprit plus méthodologique, envisage la place de l'anthropologie dans l'ensemble des sciences sociales et les problèmes posés par son enseignement. A côté des aspects de la réalité sociale si complexes que l'observateur doit se contenter de les décrire, et que l'anthropologie structurale ne songe pas à nier, on constate ainsi qu'il en existe d'autres où la comparaison permet de dégager des relations invariantes. En s'attachant surtout à eux, on espère mieux comprnedre l'homme et introduire dans son étude un peu plus de rigueur. — "Recueil comprenant dix-sept textes (articles, rapports de congrès, etc.). dont deux inédits, groupés sous cinq rubriques : langage et parenté, organisation sociale, magie et religion, art, problèmes de méthode et d'enseignement. Le plus important, celui qui éclaire le plus systématiquement la pensée de l'auteur, étudie « La notion de structure en ethnologie »."(Revue française de science politique, 1958) — "Fort de ses expériences (et c'est ce qui lui permet de s'attaquer à certains purs théoriciens) et par ses articles publiés entre 1944 et 1956, et ici rassemblés, L.-S. nous insuffle sans relâche, que l'ethnologie est une science, aux méthodes d'analyse rigoureuses dont l'objectivité est nuancée par l'apport personnel de l'ethnologue. L'ethnologue d'ailleurs ne cherchera pas tant à percer le comportement de chaque société qu'à voir la façon dont elles diffèrent les unes des autres. Science paradoxale s'il en est, car son cadre théorique doit s'ajuster à des techniques d'observations sur lesquelles il est très en avance. Là est le défi et c'est à l'anthropologie moderne à le relever. L'étude des rapports de l'ethnologie avec l'histoire, la linguistique, la sociologie la psychanalyse, la démographie, etc., et les concepts propres à l'anthropologie sociale permettent à l'auteur de mettre en place sa méthode structurale. Notons sa magistrale étude sur la magie, les réflexions que lui suggèrent les rapports entre ethnologie et marxisme, et la place qu'il accorde à la démographie qualitative. Tout cela sans jamais perdre de vue le rôle primordial des liens de parenté. Car les systèmes de parenté, les règles de mariage et de filiation forment un ensemble coordonné dont le rôle est de maintenir « la permanence d'un groupe social », par l'enchevêtrement des relations consanguines et d'alliance." (Population, 1958)