Revue bimensuelle, numéro 858, 15 Mars 1934, in8 broché.
Reference : 3043
Sommaire : La démocratie et le suffrage universel par René Courtin, Juliette Drouet comédienne, ses débuts à Bruxelles par Maurice Du Bos, Poèmes par Maurice Canu-Tassilly, l'Homeopathie ou la médecine sensible d'abord à la raison par le Dr Henry Duprat, les dangers en puissance de la Caisse des Dépots et Consignations par Gabriel Delore, Comment l'Allemagne prépare le désarmement, la Reichsheer et les Milices par X., Dostoiesvski jugé par Raskolnikof par Nina Gourfinkel, l'Idole de Dagon, roman ( 1) par Emmanuel et Christian Aergerter, etc...
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AU BUREAU DE LA REVUE. 1 JUIL-DEC 1940-46. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 280.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Première partie.Alfred Vallette. « Mercure de France ».Alfred Vallette. Le « Mercure de France » bimensuel.Alfred Vallette. Quelques Mots sur le « Mercure de France »Deuxième partie.Léon Bloy. Lettres de Léon Bloy à sa famille.Francis Jammes. Poèmes.Gustave Kahn.. Poèmes.Rudyard Kipling. Achille au Pied sensible (traduit parSuzanne Vallette)..Frédéric Nietzsche. Sur la « Distinction » (traduit parJ. F. Angelloz).Louis Pergaud.. Sur « De Goupil à Margot » et lePrix Goncourt de 1910 (lettres inédites).Henri de Régnier, de l’Académie française. La double Maîtresse (un chapitreinédit) .Isabelle Rimbaud.. Lettres inédites d'Isabelle Rimbaudà son frère Arthur (juin-juillet 1891 ), présentées parH.deBouil-lane de Lacoste et H. Matarasso.Albert Samain.. Trois Lettres inédites d'Albert Sa-mainFrancis Vielé-Griffin. Lettres inédites du poète FrancisViélé-Griffin,présentées parAntoine Orliac.Troisième partie.G. Jean-Aubry.. Jules Laforgue au travail, avec untexte inédit.André Billy, de l’Académie Goncourt.. Pudeur.Paul Claudel, de l’Académie française VAgneau mystique..René Dollot. Paul Valéry en Italie, avec deslettres inédites.Georges Duhamel, de l’Académie française. Vues sur Rimbaud..René Dumesnil.. Flaubert et le « Mercure de France ».André Fontainas. Hymne de V Avenir, poème..André Gide.. Le Groupement littéraire qu'abritait le « Mercure de France »Paul Léautaud.. Journal littéraire.François Mauriac, de l’Académie française. Ma Rencontre avec le « Mercure » Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
17/01/1931 JOLIE LETTRE DALFRED VALLETTE, LE DIRECTEUR DE LA CÉLÈBRE MAISON DÉDITION DU MERCURE DE FRANCE, QUIL DIRIGEA JUSQUÀ SA MORT EN 1935 : Vallette minimise linfluence quil a exercée sur les lettres françaises, pourtant immense : ...Embrassons-nous donc, mon bon ami Folleville [Vallette fait allusion à la pièce de Labiche : « Embrassons-nous Folleville ! »]. Mais ne croyez pas que sans ma précieuse présence ici-bas (Jarry dirait : notre précieuse...) la terre naurait pas tourné rond. Les poètes, évidemment, je leur ai donné un coup de main. Et cest tout. Chevalier ? Officier ? Caporal ? Une belle Ballade Française nen serait pas moins une belle Ballade Française. Et cest ça qui compte...Dabord revue davant-garde, le Mercure de France devient rapidement une maison dédition incontournable pour les jeunes auteurs. Outre les principaux textes symboliques, en lespace dune quinzaine dannées le fonds du Mercure senrichit des premières œuvres de Gide, Claudel, Colette, Apollinaire... et de celle de Nietzsche en français. En 1889, Vallette avait épousé la romancière Rachilde, qui fit beaucoup pour le rayonnement du Mercure. Femme de lettres excentrique et douée, elle se fait connaître par la publication scandaleuse de Monsieur Vénus qui lui vaudra une condamnation pour outrage aux bonnes mœurs... Alfred Vallette mourut subitement le 28 septembre 1935, à sa table de travail. Georges Duhamel lui succèdera en tant que directeur de la revue et des éditions. Le Mercure de France existe toujours aujourdhui.
S.n., s.l. (Paris) 31 Décembre 1896, 13x20cm, une page et demie.
Lettre autographe signée de Francis Viélé-Griffin (32 lignes à l'encre violette depuis son domicile parisien) adressée à Edouard Ducoté, poète, bibliophile et directeur de la revue l'Ermitage depuis 1895. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, annotations à la plume au verso du quatrième feuillet. Francis Viélé-Griffin remercie son coréligionnaire poète à Edouard Ducoté qui lui a dédié son futur recueil Fables et s'excusede l'intrangiseance du Mercure de France qui ne veut publier que des auteurs et poètes estampillés Mercure de France : "... je ne comprends pas l'exclusivisme du Mercure, il m'a étonné et peiné.." Il lui assure n'avoir aucune influence au sein de la revue et de la maison d'édition dirigées par Alfred Valette car il ne s'occupe d'aucune des formalités administratives : "... je n'ai que peu assisté, jusqu'à présent, aux séances du comité où mon influence, au reste, est nulle." En bon ami, Francis Viélé-Griffin désire tempérer la déception d'Edouard Ducoté de ne se voir pas publier par le Mercure : "Mais n'êtes vous pas aussi bien chez Perrin ? " et l'invite à lui rendre visite bientôt pour : "... causer de vos projets d'art..." Intime de Stéphane Mallarmé, ami d'André Gide, de Paul Valéry, de Francis Jammes, d'Emile Verhaeren, Francis Viélé-Griffin est un poète symboliste américain de langue française. Il devient, avec Gustave Kahn, l'un des principaux théoriciens du vers libre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris MERCURE DE FRANCE 1791 -in-12 broché un journal (original d'époque), broché bleu-gris in-douze Editeur (paperback duodecimo editor)(19 x 11,5 cm), dos muet, couverture imprimée en noir, brochure d'origine non rognée, texte imprimé sur papier velin, ligné et filigrané, sans illustrations (no illustration), pagination (18ff. chiffrées de la page 121 à la page 156 et MERCURE FRANCAIS34 ff. chiffrées de la page 265 à la page 335), Journal du samedi 23 Juillet 1791 (n°30) Paris MERCURE DE FRANCE Editeur,
L'actualité littéraire et artistique française, suivie de l'actualité des grandes capitales européennes, dans sa première condition+ NOMBREUSES INFORMATIONS SUR LA POLITIQUE DU MONDE MAIS SURTOUT REND COMPTE DE FACON SYNTHETIQUE DE TOUS LES RAPPORTS DES DEPUTES A L'ASSEMBLEE EN PLEINE PERIODE REVOLUTIONNAIRE ...... NOUVELLES DU PAYS BASQUE(page 278) .... INTERVENTION DE ROBESPIERRE (page 291) ...... OU L'ON REPARLE DE LA FUITE DU ROI ET DE SON ARRESTATION A VARENNES (pages 301-326) ...... INTERVENTIONS EN VENDEE POUR METTRE FIN AUX TROUBLES(page 326-327) ...... RARE .... bon état de l'ensemble (good condition). bon état
Revue Mercure de France Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1962 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre et rouge et noir grand In-8 1 vol. - 381 pages
1ere édition, 1962 Contents, Chapitres : Pierre Reverdy, né à Narbonne (Aude) le 11 septembre 1889 (le 13 septembre 1889 selon l'état civil) et mort à Solesmes le 17 juin 1960, est un poète français associé au cubisme et aux débuts du surréalisme. Il a eu une influence notable sur la poésie moderne de langue française. - Il arrive à Paris en octobre 1910. À Montmartre, au célèbre Bateau-Lavoir, il rencontre ses premiers amis : Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Louis Aragon, André Breton, Philippe Soupault et Tristan Tzara. Pendant seize ans il vit pour créer des livres. Ses compagnons sont Pablo Picasso, Georges Braque, Henri Matisse. Toutes ces années sont liées de près ou de loin à l'essor du surréalisme, dont il est l'un des inspirateurs. Sa conception de l'image poétique a en particulier une grande influence sur le jeune André Breton et sa théorisation du mouvement surréaliste. Pierre Reverdy est, avec Apollinaire, celui qui accueillit les surréalistes à leur arrivée à Paris pendant la guerre. Aragon raconte : « Il était, quand nous avions vingt ans, Soupault, Breton, Eluard et moi, toute la pureté pour nous du monde. Notre immédiat aîné, le poète exemplaire. » - Le 15 mars 1917 paraît le premier numéro de sa revue Nord-Sud, à laquelle collaborent les poètes du dadaïsme puis du surréalisme. Le titre de la revue lui est venu du nom de la compagnie de métro qui avait ouvert en 1910 la ligne reliant Montmartre à Montparnasse. Il signifiait ainsi sa volonté de « réunir ces deux foyers de la création ». Pierre Reverdy a conçu ce projet à la fin de 1916, alors que la vie artistique est encore anesthésiée par la Grande Guerre, pour montrer les parallélismes entre les théories poétiques de Guillaume Apollinaire, de Max Jacob et de lui-même, marquant ainsi le début d'une époque nouvelle pour la poésie et la réflexion artistique. Reverdy y expose ses théories littéraires, ainsi que de nombreuses réflexions sur le cubisme, notamment sur ses amis Pablo Picasso et Georges Braque. Joan Miró représente la revue dans un tableau qui porte son nom, Nord-Sud (1916-1917), en hommage au poète et aux artistes qu'il admirait. Dans les 14 fascicules - qui s'échelonnent de mars 1917 à la fin de 1918 - viendront se poser les noms de André Breton, Philippe Soupault, Louis Aragon, ou encore Tristan Tzara, alors leaders du mouvement dada. Ces derniers publiaient dans le même temps à la revue SIC, mais selon Adrienne Monnier : « C'est dans Nord-Sud que débutèrent sérieusement André Breton, Louis Aragon et Philippe Soupault (dans Sic ce n'était pas très sérieux) ». Au début des années 1920, il fut l'amant de Coco Chanel à qui il dédicaça de nombreux poèmes. (source : Wikipedia) - Le style d'écriture de Pierre Reverdy a été révolutionnaire. Fervent admirateur de Mallarmé et de son fameux « coup de dés », la poésie de Pierre Reverdy emprunte à ce dernier sa forme dentelée avec un retour systématique à la ligne sur des vers en biseaux. Procédant du papier collé, forme empruntée au cubisme auquel il veut très tôt joindre la forme écrite, il cherche par ce moyen à aller au cur des choses plutôt qu'à leur surface. Le poème sera ainsi plus une évocation de leur réalité consubstantielle par le biais de ce que les images suggèrent qu'une description ou une narration textuelle. L'emploi de la comparaison et de la métaphore s'y veut primordial. Comme le dit lui-même le poète, il s'agit de rapprocher deux mots au sens éloigné l'un de l'autre pour créer une sorte de choc visuel sur la page et intellectuel du même coup. Picasso dira ainsi que Reverdy écrivait à ses yeux comme un peintre. Il n'abandonnera jamais cet idéal d'écriture choisi à l'époque cubiste et ce parti pris aura eu une influence décisive sur tous les grands poètes qui le suivront, au premier chef ceux du surréalisme. couverture propre, à peine jaunie, intérieur frais et propre, papier légèrement jauni, légères traces de pliures sur le bord droit des premières pages sans gravité, cela reste un bon exemplaire du numéro spécial de Mercure de France consacré à Pierre Reverdy - Revue Mercure de France - Tome 342, numéro 1181 - Janvier-avril 1962 - Pierre Reverdy (1889-1960)