Journal quotidien à parution irrégulière, numéro 153 du Samedi 4 Décembre 1926, format 595x440mm, 4 pages imprimées, traces de pliures sinon bon exemplaire.
Reference : 11663
Notes d'une Frondeuse - L'Immanente Justice par Séverine, Res Sacra...Agricola par Saint-Maurice, Après une Vente par Hellé, Les Illétrés au Régiment par André Aymard, Les Causes du Suicide par Renée-F. Léveillée, AU Sénat par Robert-F. Le Guyon, Nos Frères Inférieurs - Les Chats, etc..etc..
Librairie Franck Launai
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Tours, Mame, 1852, in-8°, 396 pp, 4 gravures sur acier sous serpentes en hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 4 nerfs guillochés et caissons dorés ornés de fleurons, encadrements à froid sur les plats, tranches dorées (rel. de l'époque), qqs rousseurs éparses, bon état
Essai historique sur la Fronde couvrant la période qui va de la mort de Louis XIII à 1653 : Anne d'Autriche régente, Mazarin chef du conseil, Ruine des importants ; Administration de Mazarin, Paix de Westphalie ; Lutte entre la cour et le parlement ; Assemblée de la chambre Saint-Louis, Délibération du parlement ; Les barricades ; Nouveaux démêlés entre la cour et le parlement, Déclaration du 24 octobre ; Guerre de la fronde, Paix de Ruel ; Conduite imprudente de Condé, Arrestation des princes ; Insurrection nobiliaire, Guerre de la princesse de Condé ; Exil de Mazarin, Condé et le coadjuteur ; Guerre civile, retour de Mazarin ; Troubles dans Paris, Fin de la fronde. — Par Louis-Phocion Todière, né en 1804, il obtient l'agrégation d'histoire en 1845, historien, professeur d'histoire dans des lycées, dont celui de Dijon, il est l'auteur de nombreux livres d'histoire et manuels.
1859 P., Didier & Cie, 1859, 1 vol. in-8° (220 x 135) relié 1/2 chagrin bleu, dos à 4 faux-nerfs richement orné, auteur et titre dorés, plats de papier marbré bleu et noir, reliure du temps, de (2) ff. (faux-titre et titre) - VII - 488 pp.Très bel exemplaire.
Edition originale.Au sommaire : Renouvellement de la guerre civile - Condé en Guienne - La Fronde à Paris - Triomphe de Mazarin - La Fronde à Bordeaux - Fin de la Fronde à Bordeaux - Importants appendices.
Picard, 1964, gr. in-8°, xii-592 pp, biblio, index, broché, couv. lég. salie, bon état
"La charge de trésorier de France, sous l'Ancien régime, était l'un des rouages essentiels de l'administration financière. Elle n'avait pourtant fait l'objet, avant la publication de la thèse de M. Jean-Paul Charmeil, d'aucun travail d'ensemble. Les historiens ne s'étaient jusqu'alors intéressés au sujet que de façon fragmentaire, en étudiant les bureaux des finances, c'est-à- dire les organismes collégiaux, composés de trésoriers, qui administraient les finances dans les généralités. Le livre de M. Charmeil vient donc combler une lacune. L'auteur a centré son étude sur l'époque de la Fronde, particulièrement importante dans l'histoire des trésoriers de France. Ceux-ci, en effet, dont les pouvoirs et l'influence avaient été considérables au XVe siècle, après la guerre de Cent ans, avaient vu leur rôle s'amenuiser singulièrement au XVIe et au début du XVIIe siècle, sous l'action de divers facteurs : vénalité et multiplication (donc dévaluation) des offices, établissement des intendants, difficultés croissantes du recouvrement des impôts et, en conséquence, affermage d'une partie d'entre eux. Tout cela explique qu'ils se soient joints, dès mai 1648, aux autres corps d'officiers en rébellion contre le gouvernement, et qu'ils aient pris une part active à la « Fronde parlementaire ». Les trésoriers de France étaient « en rapport avec tout ce qui représentait le mérite, l'influence et la fortune » (p. 148), et les quelques pages dans lesquelles l'auteur nous le montre – avec exemples à l'appui – ne sont pas les moins suggestives du livre. Il est particulièrement frappant de constater, par exemple, que les trésoriers de France furent à l'origine de la plupart des dynasties de grands commis de l'Ancien régime, et que presque tous les grands écrivains du XVIIe siècle – Corneille, Pascal, Bossuet, la marquise de Sévigné, Racine, La Bruyère, etc. – étaient trésoriers de France ou proches parents de trésoriers de France..." (Bernard Barbiche, Bibliothèque de l'École des chartes, 1965)
3 pp. et demie in 8°, 1 p. et demie in 12.
– Chatelneuf par Champagnole, s.d. : « Je ne puis ni lire ni écrire, un état d’accablement complet, mais tout à fait délicieux. Allez le 16 chez Félicia Mallet. Elle sera probablement rentrée. Vous êtes annoncée et très vivement recommandée. Elle m’a demandé « si vous accepteriez sa collaboration ». J’ai répondu pour vous que vous en seriez charmée. Je désire que vous réussissiez… Mme Gagneur va vous répondre, chère petite amie. » – St Laurent s / Mer, Calvados : « de tout ce que vous écrivez sur moi, ce matin dans la Fronde. C’est beaucoup trop ?... Mais en ce cas c’est le trop qui fait le plus de plaisir. Je suis très contente de la place que vous prenez chez nous. Je rentrerai prochainement à Paris, cela me fera plaisir de vous revoir…. Avez-vous vu Félicia ? Je n’ai passé que 48 h. à Paris elle est venue me voir, mais j’avais du monde et n’ai pu m’informer de votre pantomime. » – Chère petite jolie madame, c’est pour le Vaudeville que j’ai demandé deux fauteuils pour lundi à votre aimable mari. Le lui rappeler. J’ai écrit pour lui à Felicia. Elle est prévenue de sa visite. Lundi. 3 heures… Je passerai vous prendre lundi… à 4 heures pour aller chez Mme Gagneur. » Manoël de Grandfort, nom de plume de Marie-Antoinette Barsalou (1829-1904), écrivit également dans la Fronde, de même que sa fille Jeanne Marnière sa petite-fille Emy Fournier. Intéressantes lettres qui mêlent à ces noms ceux de la grande mime Félicia Mallet et de la romancière Marie-Louise Gagneur.
3 pp. et demie in 8°, 1 p. et demie in 12.
– Chatelneuf par Champagnole, s.d. : « Je ne puis ni lire ni écrire, un état d’accablement complet, mais tout à fait délicieux. Allez le 16 chez Félicia Mallet. Elle sera probablement rentrée. Vous êtes annoncée et très vivement recommandée. Elle m’a demandé « si vous accepteriez sa collaboration ». J’ai répondu pour vous que vous en seriez charmée. Je désire que vous réussissiez… Mme Gagneur va vous répondre, chère petite amie. » – St Laurent s / Mer, Calvados : « de tout ce que vous écrivez sur moi , ce matin dans la Fronde. C’est beaucoup trop ?... Mais en ce cas c’est le trop qui fait le plus de plaisir. Je suis très contente de la place que vous prenez chez nous. Je rentrerai prochainement à Paris, cela me fera plaisir de vous revoir…. Avez-vous vu Félicia ? Je n’ai passé que 48 h. à Paris elle est venue me voir, mais j’avais du monde et n’ai pu m’informer de votre pantomime. » – Chère petite jolie madame, c’est pour le Vaudeville que j’ai demandé deux fauteuils pour lundi à votre aimable mari. Le lui rappeler. J’ai écrit pour lui à Felicia. Elle est prévenue de sa visite. Lundi. 3 heures… Je passerai vous prendre lundi… à 4 heures pour aller chez Mme Gagneur. » Manoël de Grandfort, nom de plume de Marie-Antoinette Barsalou, collabora également à la Fronde, de mêmle que sa fuille Jeanne Marnière et la fille de celle-ci Emy Fournier. Intéressantes lettres qui mêlent à ces noms cxeux de la grande mime Félicia Mallet et de la romancière Marie-Louise Gagneur.