Tours, Editions Alfred Mame et Fils, 1896, format in4 ( 355x255mm ), broché, couverture rempliée, (2)pp-288 pages imprimées sur un papier couché de bonne qualité, nombreuses illustrations de l'auteur , en noir et quelques planches couleurs hors-texte, couverture très légèrement usagée et une petite mouillure claire en pied de quelques pages, sans atteinte au texte, sinon l'exemplaire est dans un état très correct.
Reference : 10084
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Chez l'auteur 1990 in8. 1990. Broché. Bon Etat
Albin michel / Spiritualités 2002 in8. 2002. Broché. 430 pages. Nourri dès son plus jeune âge de la foi musulmane et de la pensée française Mohammed Talbi se situe au croisement de deux traditions : l'islam tout d'abord dont il demeure un fidèle à la fois lucide et fervent ; la raison moderne occidentale ensuite avec tout ce qu'elle implique de rigueur méthodologique et d'ouverture au monde. Interrogé par la philosophe Gwendoline Jarczyk le grand historien tunisien nous fait partager son enthousiasme et son incomparable savoir sur la civilisation de Cordoue et celle de Bagdad sur les figures d'Averroès et des grands mystiques soufis sur les possibilités d'un dialogue fécond entre l'islam et le christianisme. Il aborde aussi les discordances théologiques entre les deux religions et affirme avec conviction les positions musulmanes concernant Jésus les évangiles et les dogmes chrétiens. Engagé en tant que croyant dans le dialogue interreligieux Mohammed Talbi l'est aussi dans son pays en tant que penseur et défenseur de la liberté. Il analyse sans complaisance l'échec de la démocratie dans le monde arabe et dénonce avec énergie l'écrasement de la Tunisie sous la botte du dictateur Ben Ali. Ses paroles cinglantes portées par le prestige et l'acuité du grand intellectuel qu'il est nous donnent là une admirable leçon d'humanité et de courage Bon Etat intérieur propre
Reference : 7150
21 tirages originaux (17 tirages gélatino-bromure d'argent montés sur toile, et 4 au citrate, tous légendés), datés 1907 (9 photos), 1909 (5), 1910 (1), 1911 (4) et 1913 (2). On joint également 15 photographies, dont 3 tirages albuminés d'égyptologie vers 1913.
Photographies originales représentant une part des oeuvres d'art grecques (marbre, bronze, céramique) du 1er siècle avant J.-C. trouvées dans l'épave dite de Mahdia (Tunisie) lors des fouilles qui eurent lieu de 1907 à 1913 à l'initiative d'Alfred Merlin, pionnier de l'archéologie navale moderne. * //fr.wikipedia(dot)org/wiki/Épave_de_Mahdia * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
LIBRAIRIE HACHETTE & Cie. 1886. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 135 à 292. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Sommaire : Chapitre II : Tunisie - Maurétanie, Atlas, Montagnes et bassins fluviaux de la Maurétanie, Populations de la Maurétanie, Histoire, Population de la Tunisie, Littoral, Golfes, Montagnes de la Tunisie, Plateaux de la Tunisie, Fleuves, Lacs de la Tunisie, Cours de la Medjerda, Sebkha du littoral, Lac Kelbia, Salines du littoral, Seuil de Gabès, Chott de la Tunisie méridionale, Seuil de Gabès, Iles de la Tunisie, Ile de Djerba, Petite Syrte, Littoral, Climat de la Tunisie, Populations de la Tunisie, Mahométans et juifs de Tunis Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
P., Editions du Centre, 1954, in-8°, 192 pp, préface de Daniel Mayer, 16 pl. de documents hors texte, une carte de la Tunisie et un fac-similé, broché, bon état
"L'occupation de la Tunisie a eu lieu au moment où l'Afrique du Nord tout entière paraissait libérée par les Alliés. L'histoire des Juifs tunisiens est à tout prendre moins tragique que celle de leurs congénères d'Europe, même si les problèmes posés par l'existence de la communauté juive de Tunisie et la façon dont Vichy et les nazis les ont résolus sont de même nature que les solutions données en France, en Grèce ou en Pologne. Dans sa préface, Jacques Sabille insiste sur les classes sociales au sein de la communauté juive tunisienne, les différences entre l'élite juive européanisée et la masse indigente du ghetto de Hara, ces contrastes ayant leurs répercussions sur les réactions de la communauté juive pendant l'occupation. L'antisémitisme a toujours presenté en Tunisie un caractère moins nocif qu'en Algérie, mais, à partir de 1938, l'antisémitisme est cultivé par l'ltalie (la population juive de Tunisie compte environ 3.000 Juifs italiens), en raison de ses visées sur la Tunisie et du loyalisme des Juifs tunisiens français. De juin 1940 à novembre 1942, le pouvoir effectif est exercé en Tunisie par l'amiral Esteva, qui, d'après Jacques Sabille et les textes qu'il présente, aurait essayé d'appliquer de façon tres libérale le statut des Juifs proclamé par decret beylical en 1940. Après le débarquement au Maroc et en Algérie, dans la nuit du 8 novembre 1942, malgré la présence toute proche des libérateurs, la Tunisie demeure six mois sous la botte nazie et les nazis appliquent à la communauté juive de Tunis les méthodes de persécution établies par Heydrich. Ils imposent, notamment, la création d'un "Judenrat" et instaurent le travail obligatoire. Le camp le plus terrible fut « l'enfer de Bizerte », où les bombardements firent de multiples victimes. D'autres camps existaient en secteur italien, notamment à Enfidaville. Comme dans le ghetto de Varsovie, on assiste à la différence de traitements de l'élite fortunée qui se soustrait au travail obligatoire, aux rancœurs qui en résultent dans le prolétariat juif, mais on assiste aussi à une résistance efficace de l'élite intellectuelle juive pour soustraire l'ensemble de la communauté aux mesures vexatoires : travail, rafles, réquisitions de biens et d'argent à verser « aux victimes aryennes des bombardements anglo-américains ». En conclusion, Jacques Sabille, après avoir exposé le résultat efficace de la résistance et du sabotage dans les camps de travail, dresse le bilan de l'attitude de la population de Tunis à l'égard des Juifs : attitude volontiers conciliante des hauts fonctionnaires de la Résidence et de dignitaires tunisiens intervenant personnellement pour éviter la déportation aux malheureux, haine des affiliés du P.P.F. et du S.O.L., qui persécutèrent les Juifs de Tunisie avec un zèle au moins égal à celui des Allemands. En annexe, Jacques Sabille présente des documents sur la législation raciale, sur l'action du président de la communauté israélite, sur les agissements du président de la Légion française des Combattants, etc... Ces documents complètent utilement cet ouvrage, qui présente un aspect peu connu de la persécution raciale." (Olga Wormser, Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, 1956)