broché - 14x21- 192pp - BIBLIOTHEQUE MYTERIA FERENCZI - 1949- N°5
Reference : 17511
Bouquinerie70
M. Jean-Pierre Ison
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Imprimerie Laplante. 2016. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages - nombreuses photos et nombreux dessins en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Imprimerie Marseillaise Marseille 1891 Fort in-8 ( 255 X 170 mm ), broché de VIII-694pp.-( 1f ). Couvertures parcheminées imprimées et rempliées. Non rogné. EDITION ORIGINALE imprimée sur vergé. Une planche hors-texte. Menus défauts aux couvertures sinon TRES BON EXEMPLAIRE de ce très rare ouvrage traitant du lieu et des circonstances de la mort en martyr de cette célèbre abbesse, lors dune attaque sarrasine elle et les autres soeurs se mutilèrent le visage pour échapper au déshonneur dun viol, se coupant lèvres et nez. Les Sarrasins, déçus, les assassinèrent. Synopsis:L'abbaye cassianite des bords de l'Huveaune. L'abbesse Eusébie. Martyre de Sainte Eusébie et de ses quarante compagnes. Sainte Eusébie et son culte immémorial. Précis historique de la controverse. En quel lieu Sainte Eusébie a souffert le Martyre : Exposition des objections et questions préjudicielles. Les auteurs contraires à notre opinion. Première question préjudicielle: Divers emplacements que le monastère des religieuses cassianites a occupés du V° au XI° siècle. Seconde question préjudicielle: Noms divers que le monastère a portés du V° au XI°, siècle. Troisième question préjudicielle: Le quartier de Saint-Giniez, du V° au XI° siècle. Discussion des objections. Texte de la charte 40 du XI° siècle. Inscription d'Eugenia. Texte des chartes de 1431 et 1446. Plusieurs objections de Ruffi. Les religieuses n'avaient pas de chapelles avant 814. Les monastères doivent être proches des villes. Texte de saint Jean Chrysostome. Origine du nom « deïs Desnarrados » donné à la chapelle des bords de l'Huveaune. L'abbaye cassianite placée, par les auteurs, aux Catalans et au bassin du Carénage. L'abbaye cassianite placée, par les auteurs, au quartier du Revest. L'abbaye cassianite placée, par les auteurs, à Saint-Cyr ( Var ), à Saint-Loup. Assertions de la Gallia christiana, des Bollandistes, de M. André, de M. Verlaque, etc. Preuves négatives. L'abbaye cassianite n'a pu se trouver au bassin du Carénage. L'abbaye cassianite n'a pu se trouver ni à Paradis, ni au Revest. L'abbaye cassianite n'a pu se trouver ni à Sainte Catherine, ni aux Catalans. Preuves positives. Les auteurs favorables à notre opinion. Le Propre de Marseille. Les leçons de l'office de Sainte Eusébie. La croix de Saint André cachée à l'abbaye cassianite de l'Huveaune. L'église et la maison en ruines sur les bords de l'Huveaune, ou l'abbaye des Prémontrés établie à l'Huveaune en 1204. L'église de Sainte-Marie de Salt aux bords de l'Huveaune. Notre-Dame d'Huveaune, vocable de l'abbaye des Prémontrés. Culte de Saint Cyr établi à l'abbaye des Prémontrés de l'Huveaune. "Leïs Desnarrados". « Ad Casales » et la terre« ad Arabenz ». La tradition. A quelle époque Sainte Eusèbie a souffert le martyre : Objections des Questions préjudicielles. Auteurs qui ont attribué le martyre de Sainte Eusébie à d'autres que les Sarrasins. Auteurs qui ont assigné au martyre de Sainte Eusébie une date autre que celle 738. Les Sarrasins. Première question préjudicielle. Inscription de Sainte Eusébie. Seconde question préjudicielle. Discussion des objections. Les preuves apportées par les auteurs pour attribuer à d'autres que les Sarrasins le martyre de Sainte Eusébie ne sont pas recevables. Les preuves apportées par les auteurs pour placer à une date autre que celle de 738 le martyre de Sainte Eusébie ne sont pas recevables. Les preuves alléguées contre la date de 738 ne sont pas recevables. NOTRE THÉSE : SAINTE EUSÉBIE A ÉTÉ MARTYRISÉE PAR LES SARRASINS EN 738. Preuves négatives : Les Vandales n'ont pas martyrisé Sainte Eusébie. Les Visigoths n'ont pas martyrisé Sainte Eusébie. Les Bourguignons et les Francs n'ont pas martyrisé Sainte Eusébie. Les Lombards et les Saxons n'ont pas martyrisé Sainte Eusébie. Les Normands n'ont pas martyrisé Sainte-Eusébie. Les Hongrois n'ont pas martyrisé Sainte Eusébie. Le martyre de Sainte Eusébie n'a pu avoir lieu aux dates proposées par les auteurs. On peut attribuer aux Sarrasins le martyre de Sainte Eusébie. Preuves positives : La tradition, à Marseille, que les Sarrasins ont martyrisé Sainte Eusébie. Auteurs qui affirment que les Sarrasins ont martyrisé Sainte Eusébie. Absence de documents du VIII° siècle. Le Polyptique de Wadalde. Les Sarrasins ont martyrisé Sainte Eusébie en 738. L'indiction sixième de l'inscription de Sainte Eusébie. Le "Pridie kalendas octobris" de l'inscription de Sainte Eusébie. APPENDICE : Légende des Photogravures renfermées dans cet ouvrage. Légende de la carte du terroir sud-ouest de Marseille aux XII° et XIII°siècles. Charte.
Honfleur 28 février 1859, 13,1x20,5cm, 3 pages sur un feuillet remplié.
Précieuse lettre autographe signée de Charles Baudelaire à Auguste Poulet-Malassis, éditeur des Fleurs du Mal, datée du 28 février 1859 et écrite à Honfleur. 64 lignes à l'encre noire, quelques passages soulignés, présentée sous une chemise en demi-maroquin noir moderne. Baudelaire semble obsédé par «?l'affaire Sainte-Beuve/Babou?». Il s'agit d'une des innombrables querelles qui suivirent le procès des Fleurs du Mal, dans laquelle l'écrivain Hippolyte Babou accuse Sainte-Beuve de ne pas avoir pris la défense de Baudelaire lors du procès. Des passages de cette lettre furent cités par Marcel Proust dans son célèbre Contre Sainte-Beuve, déplorant la lâcheté de Sainte-Beuve dans l'affaire du procès des Fleurs du Mal et l'attachement immérité que Baudelaire portait à l'écrivain. Le poète écrit à son éditeur de Honfleur, où il s'est retiré depuis janvier auprès de sa mère, figure sacrée «?qui hante le cur et l'esprit de son fils?». La lettre est écrite huit jours après un autre rebondissement dans l'affaire du procès des Fleurs du mal. Baudelaire, en proie à des sentiments complexes, se confie à Malassis alors que le 20 janvier, son ami Hippolyte Babou avait attaqué Sainte-Beuve dans un article de La Revue française. Il l'accusait de ne pas avoir défendu Baudelaire lors du procès du recueil?: «?Il glorifiera Fanny [d'Ernest Feydeau], l'honnête homme, et gardera le silence sur Les Fleurs du Mal?» écrivit-il. Car malgré les prières de Baudelaire, Sainte-Beuve n'avait finalement jamais publié d'article défendant Les Fleurs du Mal. à la suite de cette attaque de Babou, Baudelaire reçut une «?lettre épouvantable?» de Sainte-Beuve?: «?Il paraît que le coup [...] avait frappé vivement [Sainte-Beuve]. Je dois lui rendre cette justice qu'il n'a pas cru que je puisse insinuer de telles choses à Babou?». Bien qu'indigné par de telles accusations, Sainte-Beuve n'en tint pas Baudelaire responsable. La virulence dont fait preuve Sainte Beuve étonne Baudelaire, qui déclare à Poulet-Malassis?: «?Décidément, voilà un vieillard passionné avec qui il ne fait pas bon se brouiller [...] Vous ne pouvez pas vous faire une idée de ce que c'est que la lettre de Sainte-Beuve. Il paraît que depuis douze ans il notait tous les signes de malveillance de Babou?». Baudelaire assiste, impuissant, à la querelle entre deux hommes estimés, et témoigne surtout de son attachement à Sainte-Beuve, qui est mis en danger par l'article de Babou?: «?Ou Babou a voulu m'être utile (ce qui implique un certain degré de stupidité), ou il a voulu me faire une niche; ou il a voulu, sans s'inquiéter de mes intérêts, poursuivre une rancune mystérieuse?». Baudelaire vouait en effet une admiration sans bornes à «?l'oncle Beuve?», sénateur, académicien et maître incontesté de la critique, dont l'avis faisait loi dans les cénacles littéraires parisiens. Il guettait depuis des années un encouragement officiel de Sainte-Beuve, qui aurait conforté sa carrière chancelante, entachée par le scandale des Fleurs du Mal. Le poète se trouve donc tiraillé entre sa vénération pour Sainte-Beuve et son amitié de longue date pour Hippolyte Babou - qui, selon la légende, lui aurait suggéré le titre Les Fleurs du Mal. Il confie son désarroi à Poulet-Malassis?: «?Ce qu'il y avait de dangereux pour moi là-dedans, c'est que Babou avait l'air de me défendre contre quelqu'un qui m'a rendu une foule de services?». On peut se demander à quels services Baudelaire pouvait faire référence, sachant que Sainte-Beuve fit en somme assez peu pour sa carrière. Cette lettre fut citée dans le Contre Sainte-Beuve, célèbre et terrible réquisitoire de Marcel Proust publié à titre posthume en 1954. Proust y accuse Sainte-Beuve de méconnaître l'incontestable génie poétique de Baudelaire, et souligne sa lâcheté durant le procès des Fleurs du Mal. En effet, afin de protéger ses fonctions sénatoriales, Sainte-Beuve n'avait rien écrit en faveur de Baudelaire à l'exception d'un «?plan de défense dont l'avocat était autorisé à se servir, mais sans nommer Sainte-Beuve?». Presque deux ans après le verdict, le désastreux procès des Fleurs du Mal continue de hanter Baudelaire, qui vit encore dans l'angoisse de la critique, très sévère à son égard?: «?Voyez donc comme cette affaire Babou peut m'être désagréable, surtout si on la rapproche de cet ignoble article du Figaro, où il était dit?: que je passais ma vie à me moquer des chefs du romantisme, à qui je devais tout d'ailleurs?». Cet article du Figaro, paru le 6 juin 1858, l'accusait ironiquement de n'être qu'un personnage échappé d'un roman de Théophile Gautier évoluant dans la réalité sous le pseudonyme de Charles Baudelaire. Baudelaire entretient également Poulet-Malassis des affaires d'argent qu'il avait vainement tenté d'oublier en rendant visite à sa mère, et lui réclame une avance supplémentaire?: «?je n'ai pas encore eu de nouvelles de vos 1035 francs.?». Sa lettre s'achève sur un long post-scriptum concernant Théophile Gautier, sur lequel Baudelaire écrit un article. Arsène Houssaye, directeur du journal l'Artiste, exigeait une relecture préalable de l'article par Gautier avant de publier?: «?Et les uns veulent communiquer les épreuves à Gautier, et les autres veulent attendre son retour fin avril?! Lui [Théophile Gautier], avant de partir, m'a dit qu'il se reposait de tout sur moi.?» Après Sainte-Beuve, il témoigne à nouveau d'une amitié littéraire marquante de sa vie, et se targue de la confiance que lui accorde Théophile Gautier qui se trouvait alors en Russie. Le soutien de ces grandes figures du Paris littéraire encourage Baudelaire, assailli par la misère et les scandales, à poursuivre son cheminement poétique qui aboutira un an plus tard au recueil Les Paradis artificiels. Exceptionnelle confession de Baudelaire à son éditeur, dans la tourmente suivant le procès de son plus célèbre recueil. Baudelaire réunit dans cette lettre deux de ses plus grandes influences littéraires, Sainte-Beuve et Théophile Gautier, le «?poète impeccable?» à qui il avait dédié ses scandaleuses Fleurs du Mal. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Édition originale des Consolations de Sainte-Beuve, précieux exemplaire dont la dédicace manuscrite de l’auteur à son ami Alexandre Dumas témoigne de la relation unissant ces deux chefs de file du mouvement romantique. Paris, Urbain Canel, Levavasseur, 1830.In-18 de xxxii pp. pour le faux titre, le titre et la dédicace à Victor Hugo, 237 pp. Quelques pâles rousseurs. Relié en plein veau glacé vert de l’époque, encadrement de triple filet doré sur les plats, motif central doré, dos lisse finement orné, roulette dorée sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches marbrées. Reliure de l’époque.148 x 100 mm.
Édition originale du premier recueil de poésies du théoricien du mouvement romantique, dédiée à son ami Victor Hugo. Carteret, II, 288 ; Vicaire, Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, VII, 118 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 629 ; Bulletin Morgand et Fatout, 7826 ; Clouzot 239. Le livre est ainsi dédié à Victor Hugo : « Mon Ami, ce petit livre est à vous ; votre nom s’y trouve à presque toutes les pages ; votre présence ou votre souvenir s’y mêle à toutes mes pensées. Je vous le donne, ou plutôt je vous le rends ; il ne se serait pas fait sans vous » tandis que les Poésies I et V sont adressées à Madame Victor Hugo. Critique littéraire et poète, Sainte-Beuve est intimement lié à Victor Hugo et à sa famille depuis l’article extrêmement élogieux paru dans Le Globe en janvier 1827 qu’il consacre au premier volume des Odes et ballades. Il se montre fasciné par le poète et par l’image du couple idéal formé par Victor et Adèle. Victor Hugo, alors âgé de 27 ans, est déjà un écrivain à succès. Il constitue la figure maîtresse du Cénacle romantique qu'anime le poète Sainte-Beuve, théoricien du mouvement. Le Cénacle romantique tient ses réunions chez Hugo, à Paris, rue Notre-Dame-des-Champs et accueille presque tout ce que le romantisme français compta de gloires. On y rencontre Balzac, Alfred de Vigny, Lamartine, Alfred de Musset, Alexandre Dumas, Mérimée, Louis Boulanger, le peintre Delacroix,... Le Cénacle proprement dit est encore appelé "Cénacle de Joseph Delorme", en l’honneur du célèbre poème de Sainte-Beuve dans lequel ce terme se trouve appliqué au groupe d’amis et d’artistes qui, de 1827 à 1830, furent au cœur de la révolution romantique. Les partisans de la « révolution romantique » font tous partie de ce salon littéraire fondé par Hugo et Sainte-Beuve en 1827. Les relations entre Hugo et Sainte-Beuve éclateront en drame peu après, lorsqu’Hugo apprendra que sa femme entretient une liaison avec son ami. Les autres poésies du recueil sont dédiées aux proches de l’auteur : Emile et Antony Deschamps, Alfred de Vigny, Mérimée, … « Les ‘Consolations’, cette unique saison heureuse de ma vie – ainsi que les appelait Sainte-Beuve dans ‘Mes poisons’ – sont nées sous le signe de l’amitié de l’auteur pour les Hugo : cette amitié fut, à ses débuts du moins, comme un réconfort et une compensation à la longue solitude qui lui avait inspiré la ‘Vie, les poésies et les pensées de Joseph Delorme’. Comme après un long hiver de maladie lui reviennent l’amour de la vie et renaissent les espérances et la foi de l’adolescence. C’est à cette époque que se situe sa conversion au catholicisme. C’est ainsi que les ‘Consolations’ nous montrent un Sainte-Beuve rejoignant la religion ‘par le sentier de l’art et de la poésie’, ou, pour mieux dire, de l’amitié et de l’amour : la lettre-préface dédiée à Victor Hugo l’explicite pleinement [...] Toutes ces poésies témoignent du sentiment que l’auteur nourrissait déjà à l’égard de Mme Hugo, qui le recevait, seule, chaque après-midi. Soumis au charme de ce visage qu’il vénère encore de loin, il semble au poète qu’il faille porter devant Dieu cette amitié même, qu’il faille simplement et innocemment aimer, et cesser, pour un instant au moins, d’être ce rêveur inquiet. Mais la religion ne jaillit pas aussi facilement du cœur et surtout d’un cœur malade de volupté. Les textes religieux mis en épigraphes à chaque poésie (extraits, le plus souvent, de Saint-Augustin et de l’’Imitation’), disent assez clairement comment Sainte-Beuve cherche à fortifier en lui le sentiment religieux. Les ‘Consolations’ reflètent ce compromis entre l’amour et la religion que connut alors la vie de Sainte-Beuve, compromis qui ne pouvait durer et qui lui valut six mois de bonheur. Avec le ‘Livre d’Amour’ et les ‘Pensées d’Août’, publiées en 1837, on assistera au déclin du poète. » (Dictionnaire des Œuvres, II, 43). Très précieux exemplaire offert par l’auteur à son ami Alexandre Dumas, avec cet envoi autographe signé de Sainte-Beuve sur le faux-titre: « A mon excellent ami Alex. Dumas. Ste Beuve ». Cet envoi est d’autant plus intéressant qu’il témoigne des relations qui unissent ces deux chefs de file du mouvement romantiques en 1830, année marquée par l’apogée de la révolution romantique et période pendant laquelle ils fréquentent tous deux assidument le Cénacle de Victor Hugo. Sainte-Beuve, déjà admiratif du jeune Alexandre Dumas, écrit alors de lui dans un article qu’il « couvre d'immenses toiles sans fatiguer jamais son pinceau ni son lecteur ». Émouvant exemplaire de cette originale romantique de Sainte-Beuve dédiée à Victor Hugo, dédicacé par l’auteur à Alexandre Dumas et conservé dans son élégante reliure romantique de l’époque en veau glacé vert. D’après nos recherches, parmi les Institutions publiques françaises, seules la B.n.F. et la Bibliothèque de Troyes possèdent cette originale.
BOUTRY Philippe et JULIA Dominique (dir.) / CENTRE D'ANTHROPOLOGIE RELIGIEUSE EUROPÉENNE - ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES EN SCIENCES SOCIALES (Paris) / MUSÉE D'ART SACRE - MUSÉE DE LA VIE BOURGUIGNONNE (Dijon)
Reference : SPN-377
(1997)
Dijon : Cerf, 1997. 446 pages illustrées en noir et couleur, chronologie, bibliographie, cartes. 23x30.
Sainte Reine et la tradition écrite, la Passio S. Reginae / La basilique Sainte-Reine d'Alésia / La crypte de Flavigny, "un reliquaire" pour Sainte Reine ? / Le culte de sainte Reine du 13e siècle aux débuts de l'âge moderne / L'épanouissement du pèlerinage à Alise-Sainte-Reine au 17e siècle / "Des grands et pieux tableaux qui retracent dans la chapelle de l'hôpital le glorieux martyre de sainte Reine" / La diffusion du culte de sainte Reine dans l'espace germanique et les Pays-Bas / La guerre des livrets : sainte Reine dans la Bibliothèque bleue (17e et 18e siècles) / La dramaturgie de sainte Reine / Les pèlerins de sainte Reine au 18e siècle / Trois visites à Alise-Sainte-Reine aux 17e et 18e siècles / La critique savante / Le renouveau du pèlerinage, 1801-1939 / Les "boîtes" de sainte Reine : témoins su pèlerinage d'Alise, 17e-19e siècles / Le pèlerinage de sainte Reine après 1945 / Quelques mots pour des images.