Broché - 14 x 22.5 - 381 pp - année 2004 - Editions Perrin - illustrations -
Reference : 16901
ISBN : 2262022542
Bouquinerie70
M. Jean-Pierre Ison
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France
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L'Espion Dévalisé ou Correspondance Secrète et Originale entre l'Empereur Joseph II et le Général d'Alton, depuis décembre 1787 jusqu'à présent. Correspondance Secrète et Originale de l'Empereur Joseph II avec le Général d'Alton ; 1 vol. in-8 br. sous couv. d'attente, sans nom, A Louvain, 1790, 71 pp.
Etat très satisfaisant (mouill. en premiers et derniers feuillets, bon état par ailleurs). Peu courant.Le général Richard d'Alton était un irlandais engagé à l'âge de 18 ans dans l'armée autrichienne. En poste aux Pays-Bas autrichiens, il eut à affronter le soulevement des belges à partir de 1789.
Reference : alb47f80bc92f223f6a
The Trade Agreement between Catherine II and Joseph II. In French. In Russian (ask us if in doubt)/Torgovoe soglashenie mezhdu Ekaterinoy II i Iosifom II. Na frantsuzskom yazyke. The Trade Agreement between Catherine II and Joseph II. In French. 1785. SKUalb47f80bc92f223f6a.
Librairie Académique Perrin 1993 20x13x3cm. 1993. Relié. 381 pages. Bon Etat
Payot, 1935, in-8°, 323 pp, traduit de l'anglais, une carte, broché, couv. illustrée, qqs rares annotations crayon, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
"La plupart des biographes, même les mieux intentionnés, y compris Padover, ont puisé largement dans une collection de lettres de l'empereur publiée « à Constantinople » en 1790 qui s'est révélée fausse en presque totalité, et d'où sont tirées les formules-chocs prêtées à Joseph (« Je veux faire de la philosophie la législatrice de mes Etats »). (...) Né en mars 1741, premier enfant mâle dans une famille affaiblie par une succession féminine, Joseph fut initié au gouvernement dès 1760 ; en 1764, il fut élu roi des Romains. En 1765, à la mort de son père l'empereur François de Lorraine, il devint empereur et sa mère Marie-Thérèse l'associa comme co-régent au gouvernement des États des Habsbourg. Mais ne nous méprenons pas : Marie-Thérèse était la seule souveraine et pouvait donc agir en toute indépendance alors que Joseph II ne pouvait rien faire sans l'avis de sa mère. D'où la difficulté de sa situation dans un combat à armes inégales. Les rapports de la mère et du fils ont suscité les interprétations les plus diverses. Joseph II qui ne voulait pas être une potiche (son père, co-régent lui aussi, s'était contenté de ce rôle), supportait mal la tutelle d'une mère dominatrice et aimante, usant trop souvent de la corde sensible pour faire fléchir un fils provocateur et radical. Les quinze années de la co-régence donnent l'impression d'un psychodrame permanent, avec des périodes d'idylle, avec des temps de crise où chacun menace, Marie-Thérèse d'abdiquer, Joseph de se cantonner dans sa fonction d'empereur, le chancelier Kaunitz, troisième personnage du triumvirat, comptant les points ou tâchant d'arbitrer..." (Claude Michaud, Annales ESC, 1988)
J. Andriveau-Goujon, Géographe -Editeur, Rue Du Bac, N°6, Près Le Pont-Royal Paris 1825 Quatorze cartes (sur vingt-cinq feuilles que comptait la "carte marchande" de Ferraris datée de 1777), numérotées d'un chiffre romain dans le coin supérieur gauche, entoilées et dépliantes, gravées par L.A. Dupuis, sous deux emboîtages de l'époque aux titres dorés et à ouverture horizontale par le haut, portant chacune un onglet et l'étiquette gravée de l'éditeur "J. Andriveau-Goujon, Géographe-Editeur, rue du bac, n°6, près le Pont Royal". Les cartes sont les suivantes : Carte I : Explication de la nouvelle carte chorographique des Pays-Bas autrichiens, surmontée de l'aigle impérial, 60 x 49, en 12 sections (4x3). Carte II. Bruges , mention manuscrite sur l'étiquette "Ostende - Middelbourg" , 94 x 60, 21 sections. Carte III. Berg, mention manuscrite sur l'étiquette "Anvers - Breda", 94 x 60, 21 sections. Carte IV. Ruremonde, mention manuscrite sur l'étiquette "Ruremonde, Venlo", 94 x 60, 21 sections. Carte V. Gueldres, mention manuscrite sur l'étiquette "Linn, Duisbourg, Wesel", 67 x 60, 15 sections. Carte VI. Ipres (sic), mention manuscrite sur l'étiquette "Bergen, Ipres", 49 x 60, 12 sections. Carte VII. Gand, mention manuscrite sur l'étiquette "Gand - Bruges", 94 x 60, 21 sections. Carte VIII. Bruxelles, mention manuscrite sur l'étiquette "Tirlemont - Louvain", 94 x 60, 21 sections. Carte IX. Mastricht (sic), mention manuscrite sur l'étiquette "Aix-la-Chapelle - Tongres", 94 x 60, 21 sections. Carte X. Juliers, mention manuscrite sur l'étiquette "Cologne - Dusseldorf", 67,5 x 60, 15 sections. Carte XII. Mons, mention manuscrite sur l'étiquette "Tournay - Mons", 94 x 60, 21 sections. Carte - Planche XVI. Présentée le 10 décembre 1777 à sa majesté Joseph II, Empereur des Romains, dessinée par Eisen, gravée par Patas, 94 x 60, 21 sections. Carte XVII. Valenciennes, mention manuscrite sur l'étiquette "Valenciennes - Maubeuge", 49 x 60, 15 sections, décors d'angelots par Cochin fils et Nicollet. Carte générale des Provinces belgiques Autrichiennes établie d'après les tables astronomique de M. de Cassini (1777), gravée par L.A. Dupuis, géographe de son altesse Royale le duc de Lorrainne (sic), cartouche et avertissement dans la partie gauche, 95 x 60, 21 sections. Carte de Ferraris, ici incomplète, réalisée sur ordre de l'empereur Joseph II et de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche sous la direction du comte Joseph de Ferraris (Lunéville, 1726 - Vienne, 1814), lieutenant-général et directeur de l'école de mathématiques du corps d'artillerie des Pays-Bas. Elle a été la première représentation des Pays-Bas autrichiens gravée à l' échelle 1:86400, celle de la carte de France Cassini, et dont la cartographie se fit en majeure partie par arpentage et à vue. Elle incluait les principautés de Liège et de Stavelot. Notre exemplaire est incomplet, mais il a l'avantage de comporter la belle et rare planche XVI, qui manque en général. Notons également que l'éditeur Jean Andriveau-Goujon, qui est le gendre de Jean Goujon, éditeur et vendeur de carte sous la Révolution et l'Empire, semble actif à partir de 1825. Pour mémoire le "Pont royal" a repris son nom dès 1814. Notre exemplaire correspondrait à un tirage réalisé sous la Restauration, sachant que les cuivres de la carte marchande avaient été confisqués par les Français lors de la Révolution à des fins militaires, qui en tirèrent de nombreux exemplaires et ne les restituèrent qu'en 1816. L'intérieur des deux emboîtages comporte la mention manuscrite "LeClerc Desessarts", qui laisse supposer une provenance, en tous cas des emboitages, du général et baron d'Empire Leclerc Desessarts (ou des Essarts) (1770-1820). Cartes en très bon état, solides emboîtages avec quelques frottements. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST