Broché - 14 x 21 - 285 pp - année 1968 - Editions Calmann-Levy -
Reference : 16702
Bouquinerie70
M. Jean-Pierre Ison
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France
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Le seuil / Cadre rouge 1991 348 pages in8. 1991. Cartonné jaquette. 348 pages. L'école des pères. Que l'oeuvre d'Hervé Bazin soit pour l'essentiel une chronique de l'évolution des moeurs dans la seconde moitié du XXème siècle nul doute. On peut même se demander si son nouveau roman n'achève pas un cycle. Le Matrimoine nous a proposé le portrait d'un homme en mari. Voici brossé celui du même homme en père. Rôle ingrat désormais ? Rôle nouveau en tout cas depuis 1968 notamment pour Abel Bretaudeau bousculé par le changement. Tout va si vite ! Dans les vingt années qui suivent éducateur s'éduquant sur le tas Abel doit se remettre en question s'interroger sur son rôle et ses moyens s'en contenter transiger avec l'école la télé les copains construire vaille que vaille une démocratie familiale. Agitée forcément ! Avec les enfants grandissent leurs problèmes que l'adolescence rend aigus et dont la solution faute de consensus varie de maison en maison. Quelle indépendance quelles études encourager ? Que reste-t-il de valeurs à transmettre ? Comment accueillir les premières amours ? Et quand ils seront partis ces enfants devenus adultes et vivant au loin des vies différentes que pourra-t-il encore Abel que pourra-t-il pour eux ? Bien que L'Ecole des pères ne relève aucunement de l'autobiographie Hervé Bazin qui a sept enfants onze petits-enfants sait ce dont il parle. Il anime à sa façon cet Abel qui d'abord pas très doué apprend la compréhension l'indulgence et raconte sa paternité sur un ton tour à tour amusé vengeur ironique ou tendre transfigurant des situations que nous connaissons tous
Bon Etat rares tâches
Paris, J.-J. Risler, 1838. In-12 de 23-(1) pp., , demi-toile violine, cuverture bleue imprimée conservée (reliure du XIXe siècle).
Nouvelle édition augmentée de l'ouvrage de Jean-Baptiste Pérès publié anonymement pour la première fois en 1827.On sait que l'auteur irrité des démonstrations de l'inexistence de Jésus-Christ, opposa ses paradoxes à ceux de Dupuis, l'auteur de l'Origine de tous les cultes ou Religion universelle, 1794. En suivant la même méthode, il offrit de prouver que Napoléon n'a jamais existé : il n'est qu'un mythe solaire, un mythe d'Apollon.« La première édition est anonyme et a paru en 1827. M. Pérès, se trouvant à la campagne chez un de ses amis, y rencontra un jeune étudiant, partisan effréné de Depuis et de ses systèmes ; M. Pérès chercha à le convaincre de l'inanité des démonstrations de Dupuis, et il finit, par lui offrir de lui prouver en suivant la même méthode que Napoléon n'a jamais existé. L'offre fut acceptée. M. Pérès se mil à l'oeuvre et au bout de quelques jours il lut à son adversaire le charmant petit écrit que vous savez. On s'en amusa beaucoup, et M. Pérès le laissa imprimer à Agen » (Quérard & Bourquelot). Jean-Baptiste Pérès fut successivement professeur de physique et de mathématiques chez les oratoriens de Lyon, avocat à Agen puis conservateur de la bibliothèque de la même ville où il mourut en 1840.Bel exemplaire malgré quelques rousseurs.Blavier, 246 ; Quérard et Bourquelot V, 631.
Édition originale du Discours sur l'Histoire universelle.En tête du volume, long fragment du manuscrit de la Défense de la tradition et des Saints-Pères. Précieux et rare manuscrit de travail de Bossuet. Paris, Sébastien Mabre-Cramoisy, 1681. 1 vol. (190 x 250 mm) de 11 f. (dont les feuillets manuscrits montés sur onglet), [1] f., 561 p. et [3] f. Maroquin janséniste rouge, dos à nerfs, titre doré, doublures et gardes de moire verte, tranches dorées, étui bordé. Édition originale du Discours sur l’Histoire universelle. Exceptionnel exemplaire auquel a été joint un fragment du manuscrit de la Défense de la tradition et des Saints-Pères.
Une association cohérente : dans ces deux textes, Bossuet vise les thèses de Richard Simon ; implicitement dans le Discours et ses nombreuses additions apportées à partir de 1900 ; explicitement dans La Défense de la Tradition... dont la première partie est consacrée à dévoiler les erreurs de Simon exposées dans ses écrits de manière habile pour éviter la censure, tandis que la seconde, auquel ce fragment manuscrit se rattache, est une apologie de saint Augustin et de sa doctrine sur les dogmes du péché originel, de la grâce et de la prédestination. L'édition originale du Discours sur l'histoire universelle. Cette édition est réalisée par Sébastien Mabre-Cramoisy (1637-1687), petit-fils et héritier du grand éditeur parisien Sébastien Cramoisy (1584-1669) dont les textes parus sous sa marque « Aux trois cigognes » relevaient en grande partie de sujets religieux dont il avait fait sa spécialité. Favori et protégé de la Cour, premier directeur de l'imprimerie royale du Louvre, il laissa à sa mort ses titres et le prestige de son enseigne à son fils, formé auprès de lui. L'édition est ornée de deux vignettes gravées d'après Le Pautre par Jolain (l'une en tête, qui représente le Temps, assis et tenant l'écusson avec les armes du Dauphin ; l'autre en fin). La « deuxième édition originale » sera publiée a Paris chez le même éditeur, mais au format in-12 : elle contient quelques infimes corrections de Bossuet. Brunet avertit que « des exemplaires portent l'adresse de Leonard, 1682, ou celle de Roulland, 1691 » et mentionne comme « la derniere publiee du vivant de l'auteur et celle qui a le plus d'autorite »la « troisieme edition originale », « revue par l'auteur », Paris, Roulland, 1700 (ou Michel David, 1703), in-12. Le texte : « Fidèle à la conception traditionnelle qui fait de l'histoire un répertoire d'enseignements à l'usage des Princes », ce texte a été écrit par Bossuet lorsqu'il était précepteur du dauphin Louis de France, fils de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Autriche. Inspiré de La Cité de Dieu de saint Augustin, le Discours... divise en treize chapitres, « l'histoire universelle », c'est-à-dire (à cette époque) celle de l'Europe et du Moyen-Orient, depuis le récit biblique de la Création jusqu'au règne de Charlemagne. Outre son caractère pédagogique, la portée philosophique et les implications politiques du Discours sur l'histoire universelle en font l'un des textes majeurs de l'auteur, dont la postérité retient surtout l'oeuvre (par ailleurs sublime) des Oraisons funèbres. En 1681 pourtant, année de la première parution du Discours..., Bossuet, nommé archevêque de Meaux alors qu'il vient d'achever son préceptorat auprès du dauphin, est devenu l'un des personnages les plus influents de l'Église de France. Les manuscrits et les imprimés relatifs à ce texte sont conservés à la BnF sous les n° 12832-37. Ils comprennent une copie revue et corrigée par Bossuet, et un exemplaire de l'édition originale parue chez Cramoisy, en 1681, la même que celle que nous présentons ici. « Cet exemplaire (au format in-4) porte un grand nombre de notes, de corrections, de suppressions et de divisions écrites de la main de Bossuet pour préparer la 3° édition qu'il donna lui-même en 1700 ». Bossuet révisa jusqu'à sa mort le contenu de ce texte qu'il jugeait fondamental, laissant après la troisième édition nombre de notes manuscrites qui serviront à l'édition définitive de l'abbé Caron. Le fragment manuscrit de la Défense de la Tradition et des Saints Pères : Le manuscrit relié en tête de cet exemplaire du Discours sur l'histoire universelle (1681) est celui d'un fragment de la Défense de la Tradition et des Saints Pères dont la première publication sera posthume (1753). Il se rapporte à six des derniers chapitres de cet ensemble imposant dont l'édition comporte un millier de pages. Le contexte de la Défense de la Tradition... : Bossuet y réfute la thèse du prêtre et érudit Richard Simon (Dieppe 1638 - 1712) sur la doctrine de Saint Augustin (son maître incontesté) dans l'ouvrage publié en 1693 chez Peinier Leers à Rotterdam (pour échapper à la censure) et intitulé Histoire critique des principaux commentateurs du Nouveau Testament... Célèbre pour son art du sermon, Bossuet a également brillé dans celui de la controverse, art ô combien nécessaire en son temps où circulent les thèses de Calvin et de Luther. « Avec sa douceur habituelle, il confondait les systèmes sans blesser personne, et forçait les hérétiques à s'avouer vaincus ; jamais il n'oublia la grande règle de toute discussion religieuse : l'unité, dans ce qui est nécessaire ; la liberté, dans ce qui est douteux ; la charité dans tous les cas. » (Histoire de Bossuet, Ardant et Thibaut, 1868). Cet imposant texte de controverse que Bossuet n'eut pas le temps de faire imprimer et auquel il travailla jusqu'à sa mort, fut publié une première fois dans le deuxième volume de ses OEuvres posthumes (Amsterdam, Aux dépends de la Compagnie, 1653) puis en édition séparée sous le titre Défense de la Tradition et des Saints Pères (Paris, chez Hérissant & Estienne, 1763). Il est conçu en deux parties dont la seconde est la plus importante. La première contient les livres I à IV et la seconde les livres V à XII ; ce dernier livre- où vient se placer notre manuscrit qui comporte 6 des 39 chapitres. Bossuet rédigera un livre XIII, qui ne sera publié que plus tard et ne figure ni dans les OEuvres posthumes (1753) ni dans l'édition séparée (1763). De Défense de la Tradition..., on ne connaît aujourd'hui que le manuscrit quasi complet de ce Livre XIII (partie II) (292 f.) et une copie de travail conservée à la Bnf sous la cote NAF 28227 (13) du fonds Bossuet provenant de la bibliothèque du Grand Séminaire de Meaux, décrite par Bourseaud comme « très incomplète ». Comme notre manuscrit, elle se présente en deux colonnes, mais celle de gauche comporte le texte d'une autre main que celle de Bossuet et seules les notes, corrections ou additions à droite du texte sont autographes, alors que notre fragment est entièrement de la main de Bossuet. En marge inférieure droite, comme sur notre manuscrit autographe, figurent les initiales « LB » du père Vivien de la Borde (1680-1748), l'ami du neveu de Bossuet, évêque de Troyes (1664-1743). Ce dernier qui hérita des papiers de son oncle fut le premier à en entreprendre le classement et le projet de publication avec l'aide de La Borde. « Bossuet n'a publié lui-même qu'une partie de ses écrits. De 1655 à 1704, il en a fait paraître 75 ou 80 ; son neveu en a donné 7 ou 8 de 1709 à 1741 et tous les autres ont été imprimés de 1745 à 1897. » (Bourseaud, Histoire et description des manuscrits, p. XXVII). La dispersion progressive du très volumineux ensemble des manuscrits de Bossuet après la mort de son neveu et celle de La Borde (dont une partie entrera en 1817 dans le fonds de la Bibliothèque royale tandis que d'autres seront vendus à l'amiable par le libraire Lamy) peut expliquer l'existence de ces feuillets fort heureusement conservés grâce à l'initiative du commanditaire de la reliure de notre exemplaire. Notons que dans la collection James de Rothschild réunissant un nombre significatif de manuscrits de l'évêque de Meaux, ceux-là ne concernent en majorité que des lettres. Détail du fragment manuscrit de la Défense de la Tradition et des Saints Pères : 38 pages en 20 feuillets (135 x 195 mm) sur papier vergé, numérotés « 784 B 1 à 784 B 6, 784 D à 784 Z (sauf I, V, W), 784 AA à 784 HH, et 785 A à H » et paraphés en marge inférieure gauche des initiales « LB ». Le texte est réparti en deux colonnes : celle de droite réservée au texte, celle de gauche aux notes, références, additions et corrections. Les passages soulignés par Bossuet sont en italique dans l'édition imprimée. Ce fragment concerne les chapitres XXVII à XXXIV du Livre douzième « La Tradition constante de la doctrine de S. Augustin sur la Prédestination » de la seconde partie : « Erreurs sur la matière du Péché originel & de la Grace ». Il manque cependant le début du chapitre XXVIII « Autres prières d'Origène... » et la fin du chapitre XXXIV. Titres des chapitres tels que notés par Bossuet : - chap. XXVII : « Prières d'Origène : conformité de sa doctrine avec celle de St. Augustin » ; - chap. XXVIII-IX : « Dieu fait ce qu'il veut dans le bon & dans le mauvais : beau passage d'Origène, pour montrer que Dieu tenait en bride les persécuteurs » ; - chap. XXX : « Grande puissance de la Doctrine et de la Grâce de J.C. comment démontrée et expliquée par Origène » ; - chap. XXXI : « Que cette grâce reconnue par Origène est prévenante & quel rapport elle a avec la Prière » ; - chap. XXXII : « Prière de St Grégoire de Naziance rapportée par St Augustin » ; - chap. XXXIII : « Prière de Guillaume abbé de St Arnoult de Metz » ; - chap. XXXIV : « St Augustin prouve que la doctrine précédente que les anciens Docteurs ont reconnu la Prédestination : ce qu'il répond aux passages où ils l'attribuent à la prescience ».
Emael 1906 in8. 1906. Broché. Recueil de textes tirés de l'écriture sainte des pères et des docteurs de l'église de la liturgie des orateurs sacré des inscriptions des catacombes etc. pour servir à la composition de souvenirs pieux pour les morts
Bon Etat de conservation sous papier de soie intérieur globalement propre qq rousseurs
Le livre de poche 1987 155 pages poche. 1987. broché. 155 pages. Les ravages provoqués dans le cœur d'un homme vieillissant qui se débat déjà dans une difficile paternité par une Bérénice soudain apparue. Il ne sait pas s'il la convoite comme on convoite les trop jeunes femmes ou s'il est bouleversé de découvrir en elle l'enfant idéal l'enfant à son image doué de toutes les vertus et de toutes les insolences l'enfant qu'il n'a pas eu et qu'il n'aura jamais et qui serait tellement plus facile à aimer que Lucas son fils... Un homme deux jours durant est déchiré entre passé et présent responsabilités réelles et engagements chimériques entre Lucas et Bérénice. La Fête des Pères est "un tour de paternité" en trente-six heures et neuf personnages. Le condensé d'un interminable malentendu. Un cri d'amour à bouche fermée
Très Bon Etat-hors commerce