1866 AlBANEL 1866 Pierre Lelièvre dit Parisien. LES ATELIERS DE PARIS . Paris, Albanel, 1866,308pp. Plats frottés, un numéro sur une page, cachet.
Reference : M164215
Nord - Sud
Michel Magne
3 Rue du Souvenir
56700 Kervignac
France
06 98 91 56 56
conformes aux conditions de la profession. Port du. Expédition à reception du règlement<br />.
1968 in8. 1968. Broché.
Bon Etat. Ex-Libris
1 vol. in-folio reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs, Rédaction et Administration, Paris, 1905, XI-520 pp. et 25 planches hors texte [ Contient notamment les 25 planches doubles suivantes : ] Compresseurs d'Air Pokorny et Wittekind ; Grue roulante de 2500 kg à 11m500 à portée variable construite par les ateliers Thomson Houston ; Machine à Vapeur de 660 x 1220 exposée à Saint Louis par The Murray iron Works ; Viaduc sur la Seine à Paris en Amont du Pont d'Austerlitz pour le Chemin de fer Métropolitain ; Machine à Tailler les Engrenages, construite par les Ateliers de Constructions Mécaniques, ci-devant Ducommun ; Machine Universelle à percer et à fileter, système Langbein ; Pont Roulant à Palan électrique de 1500kg et Treuil à noix de 5000 kgs construits par les Ateliers Thomson Houston ; Machine horizontale à fraise construite par M. H. Ernault ; Locomotive avec Chaudière à Tubes d'Eau (Système Robert) de la Cie Paris-Lyon-Méditerranée (réseau algérien) ; Machine à rectifier verticale, construite par M. Frédéric Schmaltz ; Machine à Tailler les limes et les rapes Système G. Peiseler ; Appariels électriques de Manutention pour les Aciéries construits par la Compagnie Internationale d'Electricité ; Locomotive Compound à grande vitesse ett à essieux couplés à Bogie de la Compagnie PLM ; Machine marine à triple expansion et à 4 cylindres construite par MM. Humphrys, tennant et Cie ; Moteur Diesel de 500 Chevaux à 3 Cylindres exposé à Liège par les Ateliers Carel Frères ; Pont Roulant électrique de 10 tonnes et 14m23 de portée exposé à Liège par les Ateliers J. J. Gilain ; Chauffage par la Vapeur des Trains sur le réseau P.L.M. ; Installation de Transporteurs Système Ad. Bleichert aux Hauts-Fourneaux de la Moselle ; Moteur à gaz pauvre de 300 Chevaux Système Rowden ; Machine horizontale Compound tandem à Pistons-Valves Système Van den Kerchove ; Turbo-Alternateur à Courant Triphasé système rateau de 400 KW exposé à Liège par Sautter, Harlé et Cie ; Fraiseuse-Raboteuse pour Aciers à Coupe Rapide Construite par Sir Armstrong Whitworth & Cie ; Nouvelle locomotive Compound à Marchandises à 4 cylindres et 2 à Bogies moteurs de la Compagnie du Chemin de fer du Nord ; Machine à Vapeur verticale à triple expansion Construite par les Union Iron Works ; Appareil Roulant et Pivotant pour Construction de Jetées
Etat très satisfaisant (rel. frottée avec petits mq. de papiers aux plats en coupes, premiers ff. remontés)
In-8, broché sous couverture illustrée en couleur,xxi-158 pp. - pl. Avant-propos, par Jacques Chaban-Delmas - Préface, par Louis Réau - Catalogu, par Gilberte Martin-Méry : Paris. - Ateliers du Nord - Ateliers de l'Est : Alsace et Lorraine. - Bourgogne. - Champagne. - Franche-Comté - Ateliers de l'Ouest : Bretagne ...
Avec 61 planches en noir et blanc en hors texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
total de 4 brochures in-4, Rappel des Titres : Lettres Patentes du Roi, sur le décret de l'Assemblée Nationale du 31 Août 1790, concernant les Ateliers de secours à former, soit dans la Ville de Paris & sa Banlieue, soit dans différens Départemens, données à Saint Cloud le 10 Septembre 1790, De l'Imprimerie de P. C. D. Desjardins, Beauvais, 1790, 4 pp. [ On joint : ] Décret de la Convention Nationale du 23 Mai 1793, Qui met à la disposition du Département de Paris, à titre d'avance et de prêt, la somme de 636, 472 livres 10 sous, pour acquitter les billets de parchemin et de ceux de la maison de Secours, de l'Imprimerie de P. J. B. Guimbert, Chatelleraud, 1793, 4 pp.
On joint 2 autres brochures : le décret de l'Assemblée Nationale du 23 Juin 1791 : "L'Assemblée Nationale éprouvant la pleine satisfaction de l'ordre & de la tranquillité qui ont régné dans le ville de Paris, invite les Citoyens de cette ville à persister dans des sentimens si conformes patriotisme qui les a toujours animés ; enjoint au Département de Paris, à la Municipalité, & au Commandant de la Garde Nationale, de prendre toutes les précautions nécessaires à la sûreté de la personne du Roi & de sa famille", et le décret de la Convention Nationale du 6 Février 1793 "Qui met à la disposition du Ministre de l'intérieur six millions, pour être répartis entre les 85 Départemens, et être employés en Travaux reconnus les plus utiles"
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".