1874 Paris, Firmin-Didot, 1874, grand in 8° broché, 406 pages ; portrait de Jules Janin en frontispice ; couverture verte imprimée (légèrement frottée avec infimes manques).
Reference : 82378
Edition Originale (Vicaire, IV, 562). ...................... Photos sur demande ..........................
Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
34 rue Michelet
42000 Saint-Etienne
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Couverture souple et imprimée. Adhésif sur le dos. Usure marquée de la couverture. Frontispice en noir et blanc figurant un portrait de l'auteur. Pages non-ébarbées. Bon état du contenu malgré des rousseurs sur les premières pages.
Paris. Firmin-Didot frères. 1874. 407 pp. In-8. Broché. Etat correct. 1 volume. Ouvrage dans nous nous penchons sur deux des villes les plus importantes du XVIIe siècle français : Paris et Versailles. La première était la capitale historique tandis que la seconde était la cité du Roi Soleil sur laquelle la Cour et ses nobles avaient les yeux rivés. Du temps de la rédaction du présent livre, cette gloire de Versailles était passée tandis que Paris redevenait dominante. Ce qui n'empêche pas l'auteur de tenter de nous représenter cette époque et les événements ayant suivi par ses écrits.
LIBRAIRIE DE FIRMIN DIDOT FRERES FILS ET CIE. 1874. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos fané, Intérieur acceptable. 406 pages - illustration en monochrome sous serpente en frontispice - pages non coupées - étiquette collée sur le 1er plat - plats tâchés - coiffe en tête abîmée - adhésif transparent sur le dos - mouillures en coins en tête en début d'ouvrage.. . . . Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
Avec un portrait de l'auteur . Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
Firmin didot 1874 in8. 1874. Reliure demi-basane. 406 pages. Bon Etat portrait de l'auteur en frontispice
Paris P.-G. Simon 1780 in-4 dérelié
7 pp.Par privilège, l'Hôpital-Général de Paris (qui était une institution d'assistance et non hospitalière au sens moderne) bénéficiait à la fois de l'exemption des droits d'entrée sur les denrées nécessaires à son fonctionnement, et percevait une partie des droits d'octroi prélevés par le Trésor royal