1975 Paris, Le Seuil, 1975, in 8° broché, 286 pages.
Reference : 80873
...................... Photos sur demande ..........................
Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
34 rue Michelet
42000 Saint-Etienne
France
04 77 32 63 69
Knaur TB 2023 368 pages 12 7x18 9x3 1cm. 2023. pocket_book. 368 pages.
Etat correct
Viviane hamy / Contemporains 2001 219 pages in8. 2001. broche. 219 pages. La rencontre que nous propose François Vallejo intervient de manière abrupte : la R5 de madame Angeloso a été percutée par le train qui transportait le dalaï-Lama à travers l'Europe. La seule victime est la passagère de la voiture. Cette R5 c'était la maison de madame Angeloso depuis le Premier mai 1986 jour où elle avait tout abandonné pour partir sur les routes et ne plus reparaître. On apprend la nouvelle par les journaux en même temps que les trois narrateurs : Angelino Angeloso fils de madame M. Coquemar ancien client de l'hôtel que madame tenait à Dunkerque quinze années auparavant et Danuta petite cousine que madame était allée cherchée en Pologne devenue femme de chambre. Et ces trois personnes d'évoquer la figure épique et grandiose de cette femme qu'ils ont côtoyée aimée détestée... Mais nous donnent-ils la clé pour comprendre l'énorme madame Angeloso leur portraits croisés nous donnent-ils la solution du mystère Angelosien
French édition -Ancien livre de bibliothèque recyclé - qui présente des tampons étiquettes marques de manipulations et/ou de lecture sur la couverture et/ou les pourtours mais reste en état CORRECT -Expédition soignée avec suivi postal dans
Madame de Maintenon, d. i. Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon:
Reference : 4310DB
(1778)
16 Bände. Maestricht, Dufour & Roux, 1778. 8°. Lederbände der Zeit mit Rückenvergoldung.
Spätere Ausgabe der 1752 erstmals erschienen Briefe der Madame de Maintenon (1635–1719) unter dem Originaltitel «Lettres de Madame de Maintenon». – Mit Exlibris. Die Vorsätze leimschattig. Die Einbände berieben.
13,4 x 14,8 1873 "à Madame Davezac de Castera, souvenir du meilleur accueil ! Camille. Horace, 4e acte. "Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce foudre, Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en poudre, Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause et mourir de plaisir !". Signature : "Agar, de la Comédie-Française, 1873." En 1873, Madame Agar est une des actrices les plus en vogue du théâtre parisien. Mais ses prises de position lors de la Commune l'ont éloignée de la Comédie-Française, où elle joua le rôle, entre autres, de Camille, dans Horace, la pièce de Corneille. La famille d'Avezac, originaire des Hautes-Pyrénées, s'était installée à Dax dans les Landes au XIXe siècle. Madame d'Avezac de Castera (1845-1919) est l'épouse d'Amand d'Avezac de Castera (1835-1906). Elle est née Léonie de Corta, fille de Charles de Corta, député des Landes et sénateur sous le Second-Empire. Elle est la mère du compositeur René de Castera (1873-1955). PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Du Rocher éditions 1996 311 pages 1996. 311 pages. A l'ombre des hautes tours de l'église Saint-Sulpice règne Madame. Tailleur strict chemisier blanc broche ornée de petits brillants... on la dirait presque sortie de la messe de onze heures. Comme une mère supérieure elle veille sur ses ouailles... Une éducation au couvent des Oiseaux ça aide pour tenir une des maisons les plus curieuses de Paris. Surtout quand Monseigneur vient spécialement y entendre une confession d'un genre particulier ou y recevoir un juste châtiment. Madame Blandine mène l'Abbaye comme on appelle son établissement dans le milieu avec la poigne de fer d'une abbesse hors pair. Et elle a écrit Madame Blandine après la fermeture des maisons en 1946 quand elle a pris sa retraite sur la Côte. Elle a tout raconté à sa manière chaste de pensionnaire modèle. Des cahiers entiers de souvenirs qu'elle a laissés à un commissaire de la Mondaine... son premier amour avec un jeune abbé qui mourra pendant la Grande guerre en lui laissant un fils destiné à une brillante carrière... au Vatican : le caïd qui l'aime un peu et l'initie au métier ; la tenancière de la maison de rendez-vous qui en fait sa préférée et son héritière ; sa vocation de grande taulière ; son amour avec un officier allemand ce qui n'est pas facile en pleine guerre surtout quand on devient résistante ! Bref un destin de femme exceptionnel bien que marginal à une époque où il semblait impossible savoureusement transposé par l'incomparable conteur qu'est Alphonse Boudard