1855 Paris, Michel Lévy, 1855, in 12 relié demi-basane marron, dos à nerfs orné à froid, 248 pages.
Reference : 80811
Edition Originale (Vicaire, VI, 806). ...................... Photos sur demande ..........................
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Paroles sans musique Georges Boyer avec une lettre autographe de Auguste Vitu. Vol. relié demi cuir, 160x130, bel état, 204pp. Paris Ollendorff, 1884 joint une lettre autographe de Auguste Vitu à l’entête de l’Étendard, Journal politique en date du 26 aout 1867. à mon cher Langlé, à propose d'une mésentente entre M. Pie et l'auteur de la lettre. ref/187
Paris, Ollendoff, 1884 ; in-16°, demi-chagrin rouge, dos à nerfs, auteur et titre dorés, date dorée en pied, tête rouge, couverture conservée (J. Foulquier relieur); XVIpp.,204pp. Manque le faux-titre, taches rousses à plusieurs feuillets.
Ce recueil contient les paroles de chansons mises en musique par Massenet, Gounod, Coedès, Riupès, Th. Ritter, Manouel Giro, etc... ( S1)
P., Seghers, 1969, in 12 broché, 93 pages ; couverture à rabats (avec des rousseurs).
Edition Originale, tirée à 650 exemplaires numérotés sur bouffant (n°28). PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris Paul Ollendorff, éditeur 1884 204p 1 volume petit IN8 carré broché. Bel envoi de l'auteur à Adolphe Racot. E.O.
Paris, Michel Lévy, Paris, Michel Lévy1855 ; in-12, cartonnage percaline crème. (Reliure de la fin du XIXe siècle.) 2 ff., 248 pp.ÉDITION ORIGINALE. La préface est un manifeste poétique avec des références à Lamartine et à Hugo. Recueil de plusieurs cycles de vers “composés dans une intention ou sous une impression musicale.” A la fin, plusieurs pièces de théâtre en vers et en prose : Les vendanges de Suresne, Les Feux de la St-Jean, Nostradamus ou la Tour St.-Jacques, Hélène à Paros.Ernest Prarond, un ami de jeunesse de Baudelaire, naquit à Abbeville en 1821. Après ses études au pays natal il vint à Paris et fit partie de cette phalange d’artistes et de bohèmes qui fréquentait la pension Bailly : Le Vasseur, L. de Gennevraye, Baudelaire... Il voyagea aux États-Unis, au Canada, en Orient, en Grèce puis s’en retourna dans sa ville natale où il se fixa bourgeoisement. Conseiller général de la Somme, maire d’Abbeville, membre de toutes les sociétés savantes de la région, il mourut en 1909.Son oeuvre est importante et double : une vingtaine de recueils poétiques et de nombreux travaux régionalistes. Sa première publication fut sa collaboration au recueil Vers (1843). Anatole France des sa notice de l’Athologie des Poètes du XIXe siècle (Lemerre, tome II, p. 106) insiste sur la “nouvelle manière de Prarond, savante, compliquée remarquablement originale. Les connaisseurs aimeront ces vers pleins d’aperçus nouveaux, de tours étranges, d’expressions créées, dans lesquels le bizarre même a sa franchise et son naturel, ils goûteront ces fruits de forte saveur sous une écorce parfois étrange et rude.” Voir aussi à son sujet, Van Bever, Poètes du terroir IV pp. 128-132. - Vicaire 806