1929 Paris, Hachette (Collection "Récits d'Autrefois"), 1929, in 12 broché, 128 pages ; couverture et dos renforcés.
Reference : 74478
...................... Photos sur demande ..........................
Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
34 rue Michelet
42000 Saint-Etienne
France
04 77 32 63 69
État : Très bon état - Année : 2003 - Format : in 8° - Pages : 307pp - Editeur : Editions de Crèmille - Lieu d'édition : Genève - Type : Reliure percaline éditeur - Divers : Tranche supérieure dorée - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/collectif/1821-histoire-de-l-algerie-francaise-de-la-prise-d-alger-a-abd-el-kader?lrb
Les débuts de la conquête de l'Algérie par la France et les difficultés rencontrées expliquent en grandes partie le drame de la fin de l'Algérie française. La forme que prends la pacification a pour conséquences d'assoir l'autorité des chefs traditionnels arabes dans le bled alors que les villes vivent à l'européenne créant ainsi une situation qui ne sera jamais équilibrée. Avec la collaboration de: Jean Watelet; Claude Couband; Michel Honorin. Travail de synthèse de bonne tenue pour ceux qui découvre cette période dans une édition très agréable et bien illustrée.
Phone number : 09 63 58 85 14
Paris, Larose, 1929. In-8, br. non coupé, 570 pp., 30 ill. en sépia hors-texte, 2 cartes dépliantes en noir in fine, bibliogr.
L'auteur, archiviste et historien de l'Algérie, fut administrateur de la Bibliothèque Nationale d'Algerentre 1910 et 1948. Au sommaire : Les créances Bacri. Tergiversations. Vers l'expédition. L'Europe et l'expédition d'Alger. L'expédition d'Alger et l'opinion publique. Les préparatifs : l'Armée navale. Le corps expéditionnaire. Toulon et Palma. Sidi-Ferruch. Les combats. La prise d'Alger. L'occupation. En appendices : Compositions de l'armée navale, du corps expéditionnaire, état des pertes, liste des tués, morts de leurs blessures et de maladie. Couverture défraîchie, déchirure en queue du dos, mouillure au coin inf., tampon sur la couv., intérieur frais au demeurant, - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
P., Henri Jonquières, 1930, in-8°, lxvii-178 pp, préface et notes par H. d'Alméras, 10 gravures hors texte, pièces justificatives, broché, couv. lég. jaunie, bon état (Coll. Jadis et Naguère)
"Il est piquant de constater que le récit de ce boulevardier et de ce vaudevilliste, qui s'était fait nommer secrétaire du maréchal de Bourmont pour suivre la campagne, est la source à laquelle ont puisé, plus ou moins directement, presque tous les historiens qui ont écrit le récit de la conquête d'Alger. Ce directeur de théâtre écrit avec esprit et les détails qu'il donne n'ont pas été contestés par la critique. C'était d'ailleurs un homme de coeur, car il n'hésitait pas, en 1831, à protester contre le traitement scandaleux que la Révolution de Juillet faisait subir au maréchal. Enfin, ce n'était certes pas un sot, celui qui termine ce livre d'Anecdotes... pour servir à l'histoire de la conquête d'Alger en montrant dans cette conquête « l'événement le plus glorieux et le plus fécond de l'histoire moderne ». Son livre méritait bien d'être réédité. Une préface spirituelle évoque la vie de cet historiographe improvisé, auquel sa femme, Mme Dorval, par ses amours orageuses avec Alfred de Vigny, avait déjà assuré une place dans les coulisses de l'histoire littéraire. Aux pièces justificatives publiées par Merle, M. d'Alméras a joint d'intéressantes notes complémentaires extraites de divers ouvrages, dont l'une, qui reproduit intégralement le texte de Merle, montre avec quel sans-gêne celui-ci a été pillé." (G. Lestien, La Quinzaine critique des livres et des revues, 1930) — "Le seul livre sur la prise d'Alger qui ait été écrit, à l'époque de la conquête, par un civil ayant assisté aux événements." (Taillart, 1931) — Merle était le secrétaire particulier du comte de Bourmont, qui commandait l'expédition . "Je ne suis lié ni par la crainte ni par la reconnaissance. N'ayant ni sollicité ni obtenu de faveurs, je dirai franchement ce que j'ai vu".
P., Henri Jonquières, 1930, in-8°, lxvii-178 pp, préface et notes par H. d'Alméras, 10 gravures hors texte, pièces justificatives, broché, couv. rempliée lég. salie, bon état (Coll. Jadis et Naguère). Un des 500 ex. numérotés sur vélin chiffon du Marais
"Il est piquant de constater que le récit de ce boulevardier et de ce vaudevilliste, qui s'était fait nommer secrétaire du maréchal de Bourmont pour suivre la campagne, est la source à laquelle ont puisé, plus ou moins directement, presque tous les historiens qui ont écrit le récit de la conquête d'Alger. Ce directeur de théâtre écrit avec esprit et les détails qu'il donne n'ont pas été contestés par la critique. C'était d'ailleurs un homme de coeur, car il n'hésitait pas, en 1831, à protester contre le traitement scandaleux que la Révolution de Juillet faisait subir au maréchal. Enfin, ce n'était certes pas un sot, celui qui termine ce livre d'Anecdotes... pour servir à l'histoire de la conquête d'Alger en montrant dans cette conquête « l'événement le plus glorieux et le plus fécond de l'histoire moderne ». Son livre méritait bien d'être réédité. Une préface spirituelle évoque la vie de cet historiographe improvisé, auquel sa femme, Mme Dorval, par ses amours orageuses avec Alfred de Vigny, avait déjà assuré une place dans les coulisses de l'histoire littéraire. Aux pièces justificatives publiées par Merle, M. d'Alméras a joint d'intéressantes notes complémentaires extraites de divers ouvrages, dont l'une, qui reproduit intégralement le texte de Merle, montre avec quel sans-gêne celui-ci a été pillé." (G. Lestien, La Quinzaine critique des livres et des revues, 1930) — "Le seul livre sur la prise d'Alger qui ait été écrit, à l'époque de la conquête, par un civil ayant assisté aux événements." (Taillart, 1931) — Merle était le secrétaire particulier du comte de Bourmont, qui commandait l'expédition . "Je ne suis lié ni par la crainte ni par la reconnaissance. N'ayant ni sollicité ni obtenu de faveurs, je dirai franchement ce que j'ai vu".
P., Henri Jonquières, 1930, in-8°, lxvii-178 pp,pp, préface et notes par H. d'Alméras, 10 gravures hors texte, pièces justificatives, reliure demi-basane carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, signet, couv. et dos conservés (rel. moderne), discret C. de bibl., bel exemplaire (Coll. Jadis et Naguère)
"Il est piquant de constater que le récit de ce boulevardier et de ce vaudevilliste, qui s'était fait nommer secrétaire du maréchal de Bourmont pour suivre la campagne, est la source à laquelle ont puisé, plus ou moins directement, presque tous les historiens qui ont écrit le récit de la conquête d'Alger. Ce directeur de théâtre écrit avec esprit et les détails qu'il donne n'ont pas été contestés par la critique. C'était d'ailleurs un homme de coeur, car il n'hésitait pas, en 1831, à protester contre le traitement scandaleux que la Révolution de Juillet faisait subir au maréchal. Enfin, ce n'était certes pas un sot, celui qui termine ce livre d'Anecdotes... pour servir à l'histoire de la conquête d'Alger en montrant dans cette conquête « l'événement le plus glorieux et le plus fécond de l'histoire moderne ». Son livre méritait bien d'être réédité. Une préface spirituelle évoque la vie de cet historiographe improvisé, auquel sa femme, Mme Dorval, par ses amours orageuses avec Alfred de Vigny, avait déjà assuré une place dans les coulisses de l'histoire littéraire. Aux pièces justificatives publiées par Merle, M. d'Alméras a joint d'intéressantes notes complémentaires extraites de divers ouvrages, dont l'une, qui reproduit intégralement le texte de Merle, montre avec quel sans-gêne celui-ci a été pillé." (G. Lestien, La Quinzaine critique des livres et des revues, 1930) — "Le seul livre sur la prise d'Alger qui ait été écrit, à l'époque de la conquête, par un civil ayant assisté aux événements." (Taillart, 1931) — Merle était le secrétaire particulier du comte de Bourmont, qui commandait l'expédition . "Je ne suis lié ni par la crainte ni par la reconnaissance. N'ayant ni sollicité ni obtenu de faveurs, je dirai franchement ce que j'ai vu".