1911 Paris, Lemerre, 1911, in 12 broché, 255 pages.
Reference : 73880
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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
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Famille chrétienne. 2003. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 pages agrafées - quelques illustrations en couleurs et en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Faut il se libérer de la culpabilité ? - pardonner à ses ennemis ? - les mille petits pardons du couple - pardonner la trahison du divorce - le pardon de l'homme sans yeux et sans mains - la parabole du Père miséricordieux - dieu ne peut que pardonner - la confession du Curé d'Ars - n'ayez pas peur de vous laisser pardonner - je suis entré dans le confessionnal et j'ai crié ma colèrre - comment se confesser ? - les enfants et la réconciliation - se confesser directement à Dieu ? - mets lui le nez dans son péché - le pardon du fils. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Bayard Presse. 13 septembre 2002. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 100 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : L'Evangile : combien de fois dois-je lui pardonner ?, Rencontre avec Mgr Barbarin, archevêque de Lyon, Rentrée sociale : calme, a peu agitée, Faut-il réformer les Samus ?, Les habits neufs du catéchisme, Pays de la Loire : Cap sur la modernité Classification Dewey : 200-RELIGION
Bureaux de la revue. Janvier 1970. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : Faut-il toujours pardonner la mort d'un jeune S.S. par Simon Wiesenthal, Le cardinal de Paris par Jean Toulat, Visite aux réfugiés palestiniens par Philippe Dagonet, En face des prêtres qui partent par A.M. Carre, L'amour qui agit par Dostoievski Classification Dewey : 200-RELIGION
9 lettres autographes signées rédigées de 1883 à 1888, adressées à son ami Gustave Lévy. Les lettres avaient été montées sur onglet, et deux lettres sont restées contrecollées, sans respect de l'ordre chronologique : [ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]
Photographe, peintre, graveur et illustrateur, Etienne Berne-Bellecour (1838-1910) se spécialisa dans la peinture militaire et notamment de marine. Il évoque dans cette correspondance un tableau de débarquement de marine, probablement le sujet vendu en 2011 chez Artcurial : "Débarquement de troupes de Marine Française dans des chaloupes" daté de 1885 (à moins qu'il ne s'agisse là que d'un travail préparatoire). Prix du lot, non séparable
HASP-307, Malesherbes Publications, Paris 2000
Assez bon