Saint Etienne, Théolier, 1899, plaquette in 8° de 10 pages.
Reference : 66255
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LES CAHIERS DE BERGERAC. 1981. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - quelques encarts publicitaire en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
SOMMAIRE : ABBAYE DE CHANCELADE- LANGAGE ET PENSEE CHEZ MAINE DE BIRAN - UN PEU D'HISTOIRE LOCALE - LE STOICISME CHEZ MONTAIGNE - DJANGO REINARDT Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
BRIOUDE EDITION DE L' ALMANACH DE BRIOUDE 1965 1 volume in-8 broché de 370 pages , illustrations photographiques hors-texte , 1 des 70 exemplaires sur papier vélin pur fil lafuma , celui-ci est le N° 33 , très bon exemplaire . " Cet ouvrage comporte 174 études d' histoire locale . " Très bon Couverture souple
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Editions Almanach de Brioude, 1965, 370 p., broché, bon état.
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BRIOUDE ALMANACH DE BRIOUDE 1965 Un volume grand in-8 de 370 pages , dans une reliure demi chagrin marron à coins , dos plat richement orné avec titrage doré , couverture conservée , planches d' illustrations hors-texte , très bon exemplaire . Très bon Couverture rigide
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Pau, Imprimerie artistique et commerciale de l'Indépendant, 1930, IV-281 p., in-12 br., E.O., préface de Georges Balencie, petits manques au dos et à la couverture, envoi de l'auteur, bon état
Le sort de Cauterets, « le fleuron le plus beau et le plus précieux » du comté de Bigorre, a été intimement lié à l'histoire du Lavedan et surtout à celle de la Rivière de Saint-Savin. Pendant les huit siècles qui précédèrent la Révolution, le village a vécu sous la dépendance étroite de l'abbaye des bénédictins de Saint-Savin, qui reçut en 945, en donation de Raymond 1er, l'entière vallée de Cauterets, non seulement avec ses riches pâturages mais surtout avec les sources thermales qu'elle renfermait. Tandis que le monastère était reconstruit sur les ruines du palais Émilien, le bourg se groupa autour des sources de l'Est, les seules exploitées à l'époque, sur le flanc même du pic des Bains. Son extension, lente mais continue, l'obligea plus tard, face à des considérations d'ordre matériel, à chercher un autre emplacement. Au cours de XIVe siècle, il descendit dans le vallon et s'installa sur la rive droite du Gave, puis très longtemps après, il enjambera le torrent pour s'étendre sur sa rive gauche. Jeanne de Navarre vint y guérir sa lèpre ; Gaston Phœbus, sa surdité ; Marguerite de Navarre y conduisit plusieurs fois sa fille Jeanne d'Albret, atteinte du « mal des écrouelles ». En attirant de bonne heure la cour de Navarre, malgré la pénibilité des déplacements jusqu'à la station thermale, la reine Marguerite permit à Cauterets de bénéficier d'une solide réputation, fortement renforcée par « l'éloge hyperbolique » qu'elle fit de ses sources. La station était réputée, aussi, pour lutter efficacement contre la stérilité, indication qui fut à l'origine d'une satire à propos des soins prodigués lors des cures par les frétayrés, mot patois signifiant frotteurs. Les eaux pouvant aussi se révéler abortives, il advint que la même année, une des maîtresses d'Henri IV, surnommée la Fosseuse, se rendit à Cauterets dans le dessein de s'y faire avorter, tandis que l'épouse légitime du monarque, Marguerite de Valois, vint chercher un remède contre la stérilité à Bagnères ; les résultats ne furent pas ceux attendus. Mais si pendant longtemps la station dut sa renommée aux personnages illustres qui accoururent nombreux, aux poètes et aux écrivains, comme George Sand, Chateaubriand ou Victor Hugo qui surent chanter sa beauté et ses richesses thermales, à partir du XVIIIe siècle, ce furent les médecins « les prêtres de nos sources », qui surent, en donnant une explication rationnelle des guérisons, assurer la postérité la plus lointaine à Cauterets, dont « l'humanité souffrante » n'oubliera jamais totalement le nom. Voir le sommaire sur photos jointes