P., Dunod, 1936, in 12 broché, 437 pages.
Reference : 49730
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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
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Paris, Librairie Plon, E. Plon, Nourrit et Cie, imprimeurs-éditeurs, rue Garancière, 10 Relié "Trois volumes in-8 (17 x 25 cm), reliure demi-chagrin à coins, dos à 5 nerfs, cet ensemble de trois volumes de la série ""Correspondance diplomatique de Talleyrand"" (avec introduction et notes par G. Pallain) comprend : ""La Mission de Talleyrand à Londres, en 1792"" (1889, 479 pp.), ""Ambassade de Talleyrand à Londres, 1830-1834 (Première partie)"" (1891, 443 pp.), et ""Le Ministère de Talleyrand sous le Directoire"" (1891, 465 pp.), envoi de Pallain dans chaque volume ; dos un peu insolés, des épidermures et frottements sur le cuir, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
5 volumes grand in-8 (225 x 147 mm), demi-veau acajou, dos à 5 nerfs filetés or, ornés de compartiments garnis de filets dorés et d'un fer à l'aigle impérial couronné aux foudres répété entre-nerfs, pièce de titre de maroquin havane (reliure moderne), 5 portraits frontispice, 2 fac-similés (lun sur double page). Paris, Calmann Lévy, 1891-1892.
Edition originale sur grand papier Hollande illustrée de 5 portraits frontispice de Talleyrand à diverses périodes de sa vie de deux fac-similés de documentsCes Mémoires, fondamentaux pour l'histoire de la période, sont présentés par le duc de Broglie, d'après la copie authentique préparée par Mme de Dino, duchesse de Courlande, héritière des biens et du nom de Talleyrand. Leur histoire éditoriale, marquée par de nombreuses péripéties, reflète la complexité et le caractère singulier de leur auteur.Selon Tulard: "Talleyrand avait légué ses papiers à la duchesse de Dino. Un délai de trente ans avait été jugé nécessaire par le prince avant toute publication. A la mort de la duchesse, en 1862, les papiers de Talleyrand revinrent à Adolphe de Bacourt, ancien ministre de Bade, conformément au vu de Talleyrand. Bacourt mourut en 1865 avant d'avoir pu trier tous les papiers et achever l'appareil critique qu'il jugeait nécessaire. Il fixa un nouveau délai de vingt ans avant toute publication. Les Mémoires ne parurent qu'en 1891 lorsque M. Andral, leur nouveau responsable, en confia la publication au duc de Broglie".(Bertier, 945. Fierro, 945. Tulard, 1396). Ex-libris armorié gravé de la bibliothèque du Comte de Rohan-Chabot, à La Motte-Tilly.Exceptionnel exemplaire, un des 50 imprimés sur grand papier de Hollande, très bien relié, parfaitement conservé sans rousseurs ni piqûres.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Calmann-Lévy 17 x 24 Paris 1891 Cinq volumes in-8, 1891-1892, reliure moderne demi-chagrin bleu-nuit, dos à quatre nerfs ornés de quatre filets dorés, fleuron doré au centre, titre et tomaison dorés, date "1891" dorée en pied, plats et gardes marbrés. couvertures conservées mais usées.Tome I: portrait en frontispice sous serpente, XXXII-[10, dont 2 facsimilés, l'un sur double page]-457-[3] pp., suivies et relié à la suite, le tiré à part de l'article de Jules Flammermont "Un dernier mot sur l'authenticité des mémoires de Talleyrand - Encore un texte falsifié par M. de Bacourt", Paris, Etienne Charavay, 1893, 20 p., extrait de la "Révolution française, avril 1893". Tome 2: portrait en frontispice sous serpente, 567-(3) pp., suivies et reliés à la suite, deux tirés à part d'articles d'Emile Dard "Une lettre inédite de la comtesse Tyskievitch à Talleyrand" (11 pp.) et "Lettres inédites de Dalberg à Talleyrand" (22 pp.), extraits de la "Revue d'histoire diplomatique", respectivement datés de 1934 et de 1937. Tome 3: portrait en frontispice sous serpente, 469-(3) pp. Tome 4: portrait en frontispice sous serpente, 499-(5) pp. Tome 5: portrait en frontispice sous serpente, 1892, XVIII-650-(2) pp., index alphabétique. Edition originale des célèbres mémoires de Talleyrand (1754-1838). La polémique sur leur authenticité est connue : l'article du chartiste Flammermont en donne un écho. Ils apportent un éclairage essentiel pour comprendre les rapports entre Talleyrand et Napoléon. Ils ont l'avantage surtout de couvrir une longue période de l'histoire diplomatique de la France et de ses relations avec l'Europe de 1797 à 1834, du Directoire à la Restauration. Belle reliure, articles reliés à la suite intéressants, ensemble frais hormis quelques rousseurs, notices de libraires collées sur la page de garde du premier tome. Très bon exemplaire. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST.
1936 Dunod collection les constructeurs. broché, 440p. trés bon état.
Exemplaire n°358/370 sur alpha. Table : le jeune Charles Maurice - l'abbé de Périgord - l'Alcibiade mitré - trempé dans les eaux du Styx - Talleyrand et le Directoire - Talleyrand et l'empereur - Talleyrand et l'empire - Talleyrand et la Restauration - le libérateur du territoire - Talleyrand cocher de l'Europe - la révolution de 1830 et l'indépendance de l' Balgique - Ré qué Diou (devise des Talleyrand).
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Paris, Imprimerie de A. Guyot et Scribe, 1865, in-4, [2] ff. n. ch., 148 pp., un f. n. ch. de table, broché sous couverture d'attente de papier bleu. Manquent le dos et la première couverture.
Une des pièces du plus célèbre crêpage de chignon nobiliaire du XIXe siècle : Adalbert de Talleyrand-Périgord (1835-1915), fils cadet de Louis de Talleyrand-Périgord, et donc arrière-petit-neveu de Charles-Maurice, avait obtenu en 1864 de l'empereur Napoléon III la faveur de prendre le nom de Montmorency - devenant ainsi sixième duc de Montmorency - à la suite de la mort de son oncle maternel Raoul de Montmorency (1790-1862). Aucun membre de la famille de Montmorency n'ayant été consulté ou seulement informé, l'affaire fit grand bruit à la cour impériale, et provoqua de nombreux procès, car les derniers des Montmorency s'opposèrent fermement à ce qu'ils considèraient comme un abus de pouvoir de la part de l'Empereur. Finalement, les tribunaux jugèrent subtilement que Napoléon III n'avait pas accordé le nom de Montmorency à Adalbert de Talleyrand-Périgord, mais juste le titre de duc de Montmorency. Malgré l'interdiction de porter le nom et les armes des Montmorency, Adalbert puis son fils, Louis (1867-1951), continueront à les utiliser, et d'autant plus après la disparition de la dernière Montmorency en 1922. Seulement trois exemplaires au CCF (BnF, Blois et Toulon). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT