‎DECHELETTE (Victor).-‎
‎Quelques Souvenirs de famille.‎

‎ Sans lieu ni nom (Saint-Just-La-Pendue, Imprimerie Chirat), 1952, in 8° broché, 99 pages. ‎

Reference : 43020


‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
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‎Collectif‎

Reference : R110533423

(1896)

‎Les missions catholiques n° 1423 - Syrie, conversion de l'archevêque syrien jacobite de Diarbékir, Quelques souvenirs chrétiens de Beyrouth par le R.P. Michel Jullien, Fondation de la mission de la sainte famille des banziris par le R.P. Moreau, Journal‎

‎Bureaux des Missions Catholiques. 11 septembre 1896. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 433 à 444. Texte en colonnes. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 234-La foi‎


‎Bulletin hebdomadaire de l'oeuvre de la propagation de la foi. sommaire : Syrie, conversion de l'archevêque syrien jacobite de Diarbékir, Quelques souvenirs chrétiens de Beyrouth par le R.P. Michel Jullien, Fondation de la mission de la sainte famille des banziris par le R.P. Moreau, Journal d'un voyage dans le district par Mgr E. Grouard Classification Dewey : 234-La foi‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎RODIERE (Roger)‎

Reference : 593217

(1932)

‎Quelques souvenirs de la famille de Hédouville. Extrait du tome X du Bulletin de la Société historique de Haute-Picardie.‎

‎ Soissons, 1932. Petit et fin in-8 broché, 35 pp., ill. in et hors-texte, dont portraits, armoiries. Ex-libris au tampon sur la page de garde. ‎


‎ Couv. fanée, le reste en bonne cond. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

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Phone number : +33 (0)3 25 71 67 98

EUR20.00 (€20.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎Bulletin de l’Académie Delphinale - Imprimerie Allier Grenoble‎

Reference : 9135

‎Bulletin de l’Académie Delphinale - Tomes 25ème - 25ème - 26ème (1953 - 1954 - 1955) de 1957 Le comte Hector-Philippe d'Agoult. Mission diplomatique en Prusse (1828-1829) (Louis Bassette) - Le testament de Mgr Jean de Caulet, évèque de Grenoble (1693-1771) - Le comte Hector-Philippe d'Agoult. Mission diplomatique en Prusse (1829-1830) - Balzac à Voreppe (Camille Blanchard) - Une tentative de création d'un évêché à Chambéry (1763-1764) (Joannès Chétail) - Les préludes de la création du diocèse de Chambéry - Le conseiller André de Maximy (1631-1681) et ses Livres de raison (Mme Marguerite Croidieu) - Le Palais. Quelques considérations et souvenirs (Romain Douare) - A propos d'un livre récent du Président Berge. Notes sur les premiers seigneurs du Royans (900-1250) (André Doyon) - Stendhal aux Echelles (Cdt E. Gaillard) - Les dernières années d'Humbert II. Le Dominicain, le Patriarche, sa mort (R. P. Jean Girard) - Hector Berlioz à Rome (R. P. Victor Hostachy) - L'esprit chrétien dans l'oeuvre d'Hector Berlioz - Les chevaliers de Malte dauphinois, commandeurs de Compesières, canton de Genève - Nouvelle étude du problème des origines du Dauphin - Un Dauphinois en Italie à la fin du XVIIIe siècle. Le carnet de route de M. d'Herculais (Victor del Litto) - La succession de l'oncle de Stendhal, Romain Gagnon - Un "touriste" peu connu : Adolphe Thiers en Dauphiné - Le législateur Joseph-Vincent Dumolard (1766-1819) et sa famille (Mme Yvonne Magnin) - La maison forte de Montbives (Georges Morel-Journel) - Récit d'un débarquement tenté en 1750 sur la côte d'Irlande (Pierre Mourral) - L'agression du Dauphiné par le prince d'Orange et la vérité sur la bataille d'Anthon (11 juin 1430) (Emile Payet) - A propos d'une récente acquisition de la bibliothèque de Grenoble : une relation anglaise, annotée par Stendhal, sur les moeurs américaines vers 1830 (Pierre Vaillant) - La maison forte de Montbives chez les d'Arces (René Valentin du Cheylard) - ...Hommage à Gaston Letonnelier‎

‎ Un volume - Tomes 25ème - 25ème - 26ème (1953 - 1954 - 1955) de 1957 - 6ème série - broché - 228 pages + 378 pages‎


‎état moyen (Déchirure sur la couv., le long du dos - intérieur propre - complet) ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR25.00 (€25.00 )

‎*** ‎

Reference : 35502367

‎La jeunesse des grands hommes du XIX° siècle - la famille, le collège, les débuts - souvenirs intimes sur quelques Célébrités contemporaines.‎

‎Lille, Maison du Bon livre, Lille, Maison du Bon livres.d. ; In-8, Broché 207 pp.Livre d'enfant. Jeunesse de Lacordaire, Jules simon, Maximilien empereur du Mexique, Byron, Stanley, Ch. Brifaut, Ozanam. Avec des Illustrations. Dos un peu déchiré.‎


Librairie du Manoir de Pron - Montigny sur Canne

Phone number : 03 86 50 05 22

EUR10.00 (€10.00 )
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