P., Editions Universitaires (Collection "Classiques du XXème siècle"), 1956, in 12 broché, 127 pages ; frontispice.
Reference : 38409
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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
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France
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Messidor. 1971. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 265 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Jean Perrot : Dostoïevski ""aristocrate"" grand-russe - Jacques Madaule : Le dédoublement de Versilov - Marie-Louise Coudert : Points de repère - Vladimir Pozner : Dostoïevski et le roman d'aventures - Sophie Ollivier : L'argent chez Dostoïevski - Bernadette Morand : La maison des morts - Nelly Stephane : L'homme marqué - Istvan Fodor : Dostoïevski et André Gide - Maria Rev : Dostoïevski et ses contemporains russes - Boris Kouznetsov : La question de Dostoïevski et la réponse d'Einstein - Bernadette Morand : Le nouveau monde de Dostoïevski - Jean Pérus : ""Dostoïevski"" par L. Grossmann... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Desclée de Brouwer 1955 in12. 1955. Broché. et des textes de Dostoïevski Frossard Maritain Graham Greene Giorgio La Pira Louis Martin-Chauffier S. Fumet Walter de la Mare Pierre Emmanuel. Traduit de l'anglais par Maurice Beerblock
sous rhodoïd (accrocs en haut du dos de la jaquette) rousseurs sur tranche intérieur propre
# AUTEUR: Dostoïevski Fédor # ÉDITEUR: Calmann-Lévy Paris # ANNÉE ÉDITION: 1949 # ENVOI, BEAUX PAPIERS: Vélin Alma filigrané du Marais # COUVERTURE: Souple illustrée à rabats # DÉTAILS: In 8° broché XXVIII + 324pp.+ 1ff. 1er tirage septembre 1949. N° 59 des 100 exemplaires sur Vélin Alma filigrané du Marais, après 15 exemplaires hors commerce. Très bon état. Volume I seul. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
Introduction - Notes - Commentaires de Dominique Arban. Première traduction intégrale et conforme au texte russe. ”On écrit jamais rien dans une lettre. C'est pourquoi je ne peux souffrir Mme de Sévigné. Elle écrivait trop bien.” Ainsi s'exprime le jeune Fédor Dostoïevski dans une lettre à son frère. Mais c'est la chance de la postérité qu'il ait dû, toute sa vie, communiquer par le papier et par la plume avec ceux qu'il aimait.” (introduction)
[DOSTOÏEVSKI] - CATTEAU (Jacques) & ROLLAND (Jacques), textes rassemblés par.
Reference : 4964
Lagrasse, Editions Verdier, 1983, 1 vol. in-8° carré broché sous couverture à rabats, de 252 pp.Ex-dono sous forme de poème de 4 lignes au stylo en page de garde, passages soulignés au crayon sinon bon exemplaire.
Au sommaire : L'univers de l'écrivain - La vision de l'homme et de la Société - Questions philosophiques et religieuses - Dostoïevski inédit : Carnets de travail 1860 - 1881, extraits.
Paris, Librairie Plon, (1923). Un vol. au format in-12 (188 x 118 mm) de 309 pp.
Edition originale ; imprimée sur ''papier de fil''. L'exemplaire a conservé de larges témoins. ''Edition originale, sauf pour Dostoïevsky d'après sa correspondance'''. (in Naville). ''Aucune figure n'a pareillement obsédé André Gide et, dans la mesure où il sait que l'auteur des Frères Karamazov exerce sur maints jeunes gens «une domination indiscrète», il cherche à s'en saisir pour étendre encore son influence, faire reconnaître son intonation concertée à travers les voix déconcertantes du puissant romancier. Quoi de plus significatif que le mystérieux attrait exercé sur Gide par les œuvres puissantes où le génie créateur semble vivre dans une atmosphère de multiplication, d'exagération et de débordement. Et si l'on cherche la raison qui, chez Gide, a conduit l'écrivain, à la rencontre de Dostoïevsky, devant que l'homme ne l'inclinât vers ses propres secrets, c'est, à coup sûr, parce que les livres du grand Russe sont «les plus pantelants de vie qu'il connaisse», qu'il y goûte le plaisir d'être au milieu d'événements, au milieu d'hommes à qui il arrive quelque chose, lui à qui il n'arrive rien. Gide, romancier, ou s'efforçant à l'être, a d'abord été ébloui par la force, le pullulement de ces «colossales figures», encore qu'il n'ait su retenir que les plus bizarres et les plus perverses d'entre elles. Une œuvre où vit tout un peuple de personnages et qui n'est composé que d'actions, voilà ce que cet esprit critique, chétif, indigent de nature et sans générosité créatrice, voudrait réaliser. Ce qui le fascine chez un Daniel de Foë, un Dickens, un Fielding, comme chez un Dostoïevsky, il semble que ce soit cette sorte de «stupidité» qui ne fait qu'un avec leur pouvoir créateur, cette intimité aveugle où ils vivent avec leurs imaginations. Il aime ces œuvres longues, jusque pour leurs longueurs; il les aime à ce point qu'il a tenté de les égaler et nous eûmes les Caves du Vatican, ce roman d'aventures qui a tourné en «sotie» [...]''. (Henris Massis). Naville, Bibliographie des écrits de André Gide, 131. Coupe au dos. Infime manque angulaire affectant le premier plat ; lequel présente par ailleurs un éclat légèrement altéré. Du reste, bonne condition.