P., Alcan, 1892, fort in 8° relié demi percaline vert sapin, XV-544 pages ; cachets.
Reference : 37190
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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
34 rue Michelet
42000 Saint-Etienne
France
04 77 32 63 69
Paris, ancienne librairie Germer Baillière et Cie, Félix Alcan, éditeur 1892. Exemplaire broché, couverturerefaite d'éditeur, fort in-8, XVI + 544 pages sur papier teinté avec avant-propos, introduction, conclusion et table analytique des matières.
La crise actuelle du droit criminel ; le crime et l'atavisme ; le crime et l'hérédité ; le crime et l'anomalie morale , le crime et la folie ; le crime et la dégénérescence ; le crime et le tempérament, le sexe, la race, le crime, le climat et la nourriture ..; l'origine de la justice pénale ; la responsabilité morale et la peine, le déterminisme et la peine, l'anthropologie criminelle et la peine ..
DAR AL NAHDA AL ARABIYA. 2012. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 500 pages, en arabe. 2 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 492.7-Arabe
Classification Dewey : 492.7-Arabe
, Paris, Félix Alcan 1911, in-8, br., non coupé, (broch. fatiguée, couverture fanée avec petits accrocs), int. frais, XXXVI-548-34p.
Phone number : 01 43 29 46 77
LES CAHIERS RATIONALISTES. 1934. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 203 à 240.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)