P., Stock, 1977, in 8° broché, 345 pages ; illustrations hors-texte.
Reference : 34538
Le Prefet de Police de Mai 1968 parle ! ...................... Photos sur demande ..........................
Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
34 rue Michelet
42000 Saint-Etienne
France
04 77 32 63 69
EDITIONS DE NOYELLES 2015 149 pages in8. 2015. Broché. 149 pages.
french édition - quelques légères marque plis de lecture et/ou de stockage mais du reste en bon état . Expédition soignée sous blister dans une enveloppe à bulles depuis la France
GLM, Stock, 1977, in-8°, 343 pp, 8 pl. de photos hors texte, chronologie, cart. éditeur, jaquette illustrée avec une photo de l'auteur au 2e plat, manque la page de titre, bon état
"On a beaucoup écrit sur mai 1968. Mais alors que le mouvement étudiant a fait l'objet de l'attention de tous, on a oublié l'autre protagoniste principal : la police. C'est cette lacune que vient combler celui qui était certainement le mieux placé pour savoir ce qui se passait du côté des forces de l'ordre, le préfet de police de l'époque. D'inclination libérale, ce grand commis de l'Etat raconte comment il a rapidement arrêté sa position face aux manifestations étudiantes : d'une part, maintenir l'ordre dans Paris, et en particulier protéger un certain nombre de points névralgiques ; d'autre part, tout faire pour éviter la perte d'une seule vie humaine... S'il fallait caractériser ce livre d'un seul mot, il faudrait sans hésiter choisir celui de lucidité. Lucidité du responsable qui a su accepter un désordre limité pour éviter de plus grands drames, lucidité de l'observateur qui a toujours parfaitement analysé le rôle des différentes parties prenantes aux événements, lucidité enfin du narrateur qui ne cache rien, ou si peu. Ajoutons que la langue directe et élégante de l'auteur donne à ce livre un charme particulier." (Revue française de science politique, 1978)
Stock, 1977, in-8°, 343 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, une photo de l'auteur au 2e plat, bon état
"On a beaucoup écrit sur mai 1968. Mais alors que le mouvement étudiant a fait l'objet de l'attention de tous, on a oublié l'autre protagoniste principal : la police. C'est cette lacune que vient combler, neuf ans après, celui qui était certainement le mieux placé pour savoir ce qui se passait du côté des forces de l'ordre, le préfet de police de l'époque. D'inclination libérale, ce grand commis de l'Etat raconte comment il a rapidement arrêté sa position face aux manifestations étudiantes : d'une part, maintenir l'ordre dans Paris, et en particulier protéger un certain nombre de points névralgiques ; d'autre part, tout faire pour éviter la perte d'une seule vie humaine. Dans cette période où la classe politique et le gouvernement ont, pendant un temps, disparu de la scène, le chef de la police parisienne a porté sur ses épaules les responsabilités d'une opération de maintien de l'ordre de longue haleine dont le succès ou l'échec pouvait avoir des conséquences d'une exceptionnelle importance. M. G. ne cache pas que, bien qu'il n'ait eu aucun goût particulier pour les fonctions de police, le sentiment de liberté et de responsabilité qu'il a éprouvé alors représente un moment privilégié dans sa carrière de haut fonctionnaire. S'il fallait caractériser ce livre d'un seul mot, il faudrait sans hésiter choisir celui de lucidité. Lucidité du responsable qui a su accepter un désordre limité pour éviter de plus grands drames, lucidité de l'observateur qui a toujours parfaitement analysé le rôle des différentes parties prenantes aux événements, lucidité enfin du narrateur qui ne cache rien, ou si peu. Ajoutons que la langue directe et élégante de l'auteur donne à ce livre un charme particulier." (Revue française de science politique, 1978)
Paris Stock 1977 1 vol. broché in-8, broché, 343 pp., photos en noir hors-texte. Récit des événements de mai 68 par le préfet de police de l'époque. Envoi autographe signé de l'auteur "A monsieur le conseiller Gilbert Passe, en très amical hommage d'un préfet qui s'efforça de ne jamais oublier que le rétablissement de l'ordre n'est qu'une étape vers le rétablissement de la justice". Très bon état.