Lyon et P., Vitte (Collection Les Grands Catholiques par lAnecdote, le Détail et lImage), 1911, in 8° broché, 228 pages ; illustrations hors-texte ; couverture fanée.
Reference : 24146
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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
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Imprimerie Fournié. 1961. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 361 à 456 - pages agrafées .. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Lettre du Maître Général de l'Ordre des Prêcheurs - le P.Lacordaire frère prêcheur - les étapes d'une vocation - le P.Lacordaire et la tradition des prêcheurs - lettre du P.Lacordaire - la restauration dominicaine - les premiers compagnons - les fondations - Lacordaire et les moniales dominicaines - le P.Lacordaire et les religieuses dominicaines - lettre du P.Lacordaire au tiers-monde - hommages à Lacordaire. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
œuvre importante du théologien et prédicateur dominicain français Henri-Dominique Lacordaire (1802-1861). Henri-Dominique Lacordaire était une figure majeure du catholicisme français au XIXe siècle, connu pour son rôle dans la restauration de l'Ordre dominicain en France et pour ses prédications éloquentes. Ses "Lettres à un jeune homme sur la vérité chrétienne" constituent une série de lettres dans lesquelles il aborde des questions fondamentales de la foi chrétienne. Dans ces lettres, Lacordaire discute de sujets tels que la nature de Dieu, la foi, la vie chrétienne, et il répond aux questions que les jeunes chrétiens pourraient avoir sur leur foi. L'œuvre cherche à transmettre et à expliquer les enseignements de la foi catholique de manière accessible et convaincante. Lacordaire était également connu pour ses conférences du Carême à Notre-Dame de Paris, où il attirait un large public par ses prédications éloquemment articulées et passionnées. Son engagement en faveur de la liberté religieuse et de la réconciliation entre l'Église et l'État a laissé une marque importante dans l'histoire religieuse et politique de la France au XIXe siècle. 1. Du culte de Jésus-Christ comme fondement de la vie chrétienne; 2. Du culte de Jésus-Christ dans les Écritures; 3. Du culte de Jésus-Christ dans l'Église vol in8, relié plein veau époque, 180x140, très bel état int., 451pp sans date, vers 1880 ref/224
Henri Perreyve (1831-1865), était un prêtre catholique ordonné en 1858. Proche de Lacordaire et de Gratry, membre de la société de Saint-Vincent de Paul, il est hostile à l'Empereur lors du coup d'état de Napoléon III et s'oriente avec d'autres vers un Catholicisme libéral et social. Docteur en théologie, Professeur à la Sorbonne, il fait aussi de fréquents voyages à Rome. Légataire des manuscrits de Lacordaire, il publie les Lettres du R.P. Lacordaire à des jeunes gens en 1862. On lui doit quelques ouvrages et sa correspondance sera publiée en 1872. La correspondance entre 1850 et 1865 est présentée d'une façon chronologique année par année et les destinataires sont entre autres Lacordaire, Gratry, Adolphe Perraud, le comte de Montalembert fort vol in-8, 185x120, relié demi cuir à coins, frottements, dos à nerfs, 471 pages très bel exemplaire ! Paris Chapeliez 1893 ref/47
Anonyme Un Moine à l'Académie [sur l'élection de Henri Lacordaire] Paris, Dentu, 1861, 32 p., 25x16 cm, broché. Rarissime édition originale de cette plaquette anonyme anticléricale publiée à l'occasion de l'élection du religieux Henri Lacordaire (1802-1861) au fauteuil 18 de l'Académie Française, en remplacement d'Alexis de Tocqueville. Le 2 février 1860, Lacordaire, restaurateur de l'ordre des Prêcheurs (dominicains) en France et précurseur du catholicisme libéral, fut élu par 21 voix membre de l'Académie française. Encouragé par les opposants au régime impérial, parrainé par Montalembert et Berryer, reçu par Guizot, il accepta alors de ne pas évoquer la politique italienne controversée de Napoléon III. La réception de Lacordaire à l'Académie fut un véritable événement politique et mondain. Malgré les opinions politiques du nouvel académicien, elle eut lieu en la présence de l'impératrice Eugénie et de la princesse Mathilde. Lacordaire ne siégea qu'une fois à l'Académie, et mourut le 21 novembre 1861 à Sorèze, où il fut inhumé. L'auteur anonyme de cette plaquette satirique et polémique n'y va pas de main morte concernant le vent en provenance du Vatican qui souffle sur l'Académie Française. Bel exemplaire.
recueillies et publiées par M.L'Abbé Henri Perreyve, augmentée de lettres inédites, et des approbations de NN.SS les Archevêques et Évêques Henri Perreyve (1831-1865), était un prêtre catholique ordonné en 1858. Proche de Lacordaire et de Gratry, membre de la société de Saint-Vincent de Paul, il est hostile à l'Empereur lors du coup d'état de Napoléon III et s'oriente avec d'autres vers un Catholicisme libéral et social. Docteur en théologie, Professeur à la Sorbonne, il fait aussi de fréquents voyages à Rome. Légataire des manuscrits de Lacordaire, il publie les Lettres du R.P. Lacordaire à des jeunes gens en 1862. On lui doit quelques ouvrages et sa correspondance sera publiée en 1872. La correspondance entre 1850 et 1865 est présentée d'une façon chronologique année par année et les destinataires sont entre autres Lacordaire, Gratry, Adolphe Perraud, le comte de Montalembert fort vol in-8, 185x120, relié demi cuir à coins, frottements, dos à nerfs, 471 pages. Paris Chapeliez 1893 ref/150