A.P.A.A.R. 1987. In-12 en feuilles de 48 pages non paginées, sous jaquette et cristal imprimés. Très beau recueil d'illustrations en noir & blanc. E.O.
Reference : L12459
la Librairie Les Autodidactes
M. Léon Aichelbaum
53, Rue du Cardinal-Lemoine
75005 Paris
France
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Paris, chez Magimel, Anselin et Pochard, 1816. In-8, rel. de l'ép. demi-basane fauve, dos lisse orné de triples filets dorés, palettes dorées en tête et en queue, titre doré, tr. mouchetées, XI-608 pp., notes sur la milice romaine in fine. Ed. originale. Etiquette ex-libris M. de Riocour.
Suite à cet ouvrage lut par Napoléon à Sainte Hélène, ce dernier répondra au Général Rogniat par des notes critiques dictées au Général de Montholon. Le général Rogniat publiera un second ouvrage en 1823 intitulé: "Réponse aux notes critiques de Napoléon sur l'ouvrage intitulé Considérations sur l'Art de la Guerre." Dos insolé, qq. pâles rousseurs, bel ex. relié. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Reference : 5432
Deux importants volumes contenants 29 theses medicales datant du tout debut XIX em siecle, in 4 carré , reliés demi veau dos lisses, decorés pas de pages de titres ni de tables , les theses s'enchainenet les unes aux autres : pas de pagination continue. A Paris , imprimerie Didot Jeune , pour la majorité , photos sur demande
envoi de J.M. Freteau à Mr Perdreau Envoi de Mr LAENNEC : " A mr PERDREAU comme un temoignage d'estime et d'amitié"
L. Cristin. 1840-1861. In-8. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos à nerfs, Papier jauni. 81 + 69 + 70 + 64 + 114 + 64 pages. Titre et tomaison dorés au dos. Gardes marbrées. Thèses de Barcellos, Couget et Couzinier signées par leurs auteurs en page de titre. Signets conservés. Deux photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine
Auteurs : de Barcellos Joâo Antonio, Couget Jean, Couzinier Jean-Auguste, Vailhé T. Munier Dr, Rodrigues Pierre-Paul // Titres : Quelques considérations sur l'asthme / Considérations cliniques sur le catarrhe bronchique capillaire aigü / Essai sur la péricardite aiguë / Exposition de quelques faits médicaux recueillis à l'hôpital général de Grenoble / Des indications dans le traitement de la pleuro-pneumonie primitive chcez l'adulte / Considérations générales sur la phtisie pulmonaire Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine
STAEL-HOLSTEIN DE LAUNEY Anne-Louise-Germaine (B.nne DE) - BAILLEUL Jacques-Charles.
Reference : (LCPCHIS-0001)
(1818)
(L'exemplaire du Vicomte de Mermet, un témoin qui servit le Roi Louis XVI et l'Empereur Napoléon, avec ses notes manuscrites) STAEL-HOLSTEIN DE LAUNEY Anne-Louise-Germaine (B.nne DE). (Paris, 1766 - Paris, 1817) "CONSIDERATIONS SUR LES PRINCIPAUX EVENEMENTS DE LA REVOLUTION FRANCOISE". 1818, Paris, Delaunay, Bossange et Masson. (avec:) BAILLEUL Jacques-Charles. (Brettelle-du-Grand-Caux, 1762 - Paris, 1843) "EXAMEN CRITIQUE DE L'OUVRAGE POSTHUME DE M.ME LA B.NNE DE STAEL". 1818, Paris, A. Bailleul. 2 Ouvrages en 5 volumes in-8° (3 tomes en 3 volumes − 2 tomes en 2 volumes) (208x134 mm) (dimensions pages 199x122 mm) I: X, 440 pp.; II: (2) ff., 424 pp.; III: (2) ff., 395 pp., (1) f. (errata); I: (2) ff., IV, 396 pp.; II: (2) ff., 484 pp. Reliure uniforme de l'époque en demi-basane havane granitée, à petits coins de vélin. Dos lisse avec décorations dorées et pièces de titre en maroquin orange et de tomaison en maroquin bleu. Tranches jaune pâle. Edition Originale posthume de l'ouvrage de M.me de Staël, publiée par les soins de son fils Auguste de Staël et de son gendre Victor de Broglie, et édition Originale du commentaire de Bailleul, un des girondins les plus modérés et, ensuite, membre de la Convention. Petits manques aux coiffes supérieures des tomes I, II des "Considérations" et du t. I de l' "Examen", petites fentes et usures à quelques mors, aux coupes et à quelques coins; petite déchirure dans la marge inférieure de la p. 7, sans atteinte au texte, et petit manque de papier dans la marge supérieure des 25 derniers ff. du t. I des "Considérations". Rousseurs et brunisseurs à quelques cahiers du vol. II de l' "Examen" seulement ; tout le reste frais et sans aucune rousseur. Séduisants exemplaires en reliure uniforme. "A la fois politique, philosophique, littéraire et critique, son oeuvre est d'une remarquable harmonie et d'une grande liberté de pensée. M.me de Staël, spectatrice d'évènements capitaux, passionnée de politique, en a amplement traité. Dans les Considérations sur la Révolution, elle donne une grande étude idéologique des années 1780 au début de la Révolution". (En Français dans le texte) Provenance: Séduisant exemplaire annoté par son premier possesseur, le Vicomte Julien-Auguste-Joseph Mermet (Quesnoy, 1772 - Paris, 1837). (Une note manuscrite indique cette appartenance) Il entre dans la cavalerie le 10 mai 1788, où il sert jusqu'en 1791 (*). Chef d'escadron au 7e régiment de hussards, Colonel du 10e hussards, puis Général de brigade en 1796. Nommé Chef d'Etat-Major du Général Hoche, il participe ensuite à la campagne d'Italie. Il se signale dans plusieurs batailles et en 1805 il est nommé Général de division, puis Baron de l'Empire. Sa bravoure est récompensée sous la première Restauration avec sa nomination comme Inspecteur général de Cavalerie et avec le titre de Chevalier de Saint-Louis (1814). Sous la seconde Restauration il est fait Vicomte (1817), devient gentilhomme du Roi (1821), Commandeur de l'Ordre de Saint-Louis (1823) et Aide de camp de Charles X (1826). - Mermet avec ses notes manuscrites témoigne de sa présence et de ce qu'il a vu directement dans les rues de Paris pendant les premières journées de la prise de la Bastille et des troubles de la Révolution: "Des que la nouvelle du départ de M. Necker fut répandue à Paris, on barricada les rues, chacun se fit garde national... Une foule innombrable d'hommes de la même opinion s'embrassoient dans les rues comme des frères, et l'armée du peuple de Paris, composée de plus de cent mille hommes, se forma dans un instant comme par miracle". "Cela est vrai, je l'ai vu". (t. I, p. 239) "Je vis le Roi arriver à Paris. J'étais auprès de la portière de sa voiture (*) de temps en temps lui parlant comme tant d'autres avec émotion, avec affection; il nous appelait ses amis... tout le monde le comblait de bénédictions... Voilà ce que j'ai vu, je ne l'oublierai jamais. Qui donc chercha à humilier cet infortuné prince? En vérité M.me de Staël devait parler avec plus de circonspection de ce qu'elle n'avait pas vu". (t. I, p. 240) - Il témoigne de la vérité de certains passages de M.me de Staël sur la période napoléonienne: "Bonaparte... fit occuper la plupart des charges de sa maison par des nobles de l'ancien régime; il flattoit ainsi la nouvelle race en la mélant avec la vieille... il aimoit les flatteries des courtisans d'autrefois... Chaque fois qu'un gentilhomme de l'ancienne cour rappelait l'étiquette du temps jadis... il était accueilli comme s'il avait fait faire des progrès au bonheur de l'espèce humaine". "Tout cela peut fort bien être: Bonaparte était assurément un très grand capitaine, un administrateur laborieux et vigilant, mais il ne savait pas tout...". (t. II, p. 332) "Bonaparte a souvent pris sa cour pour son empire". "Vrai, bien trouvé". (t. II, p. 333) - Avec ses notes, quelques fois piquantes, il modère les points de vue ou les exagérations de M.me de Staël, fille du ministre Necker: "Quand Necker fut nommé ministre, il ne restait que deux cent cinquante mille francs au trésor royal... Les fonds publics remontèrent de trente pour cent dans une matinée. Un tel effet, produit sur le crédit public par la confiance en un homme, n'a point d'exemple dans l'histoire". "Vous plaisantez mon ange. Ils remontèrent bien autrement quand Bonaparte prit les rennes du gouvernement après le 18 Brumaire". (t. I, p. 159) "Enfin M. Necker, avant de quitter sa place, se servit une dernière fois du respect qu'il inspirait...". "Enfin M. Necker, et toujours M. Necker, m'ennuie". (t. I, p. 387) (LCPCHIS-0001) (2.000,00 €) (Tous les livres provenant d'Italie possèdent la licence d'exportation (Attestato di Libera Circolazione) du Ministero dei Beni e Attività Culturali)
(L'exemplaire du Vicomte de Mermet, un témoin qui servit le Roi Louis XVI et l'Empereur Napoléon, avec ses notes manuscrites) (www.cepays-ci.com)
Précieux exemplaire conservé tel que paru, à toutes marges, dans ses brochures d’attente. Basle, Frères Cramer, 1758. 2 tomes en 2 volumes in-4 de: I/ (1) f.bl., viii pp., 594 pp., 3 tableaux dépliants; II/ (1) f.bl., viii pp., 662 pp., (1) f.bl., 13 tableaux dépliants. Conservé dans ses brochures d’attente, non rogné. Etuis. 275 x 210 mm.
Edition originale du grand ouvrage de Forbonnais sur les finances de la France. Barbier, Anonymes, 19; «Ici finit le grand ouvrage de Forbonnais, ‘Recherches et Considérations sur les finances de France’. Ce n’est pas sans regret que nous nous séparons de ce guide si instruit, si sensé, si purement et si simplement patriote, et sans lequel l’histoire financière du dix-septième siècle nous eût été presque impossible.» (H. Martin, Histoire de France, 1859). «François-Louis Veron de Forbonnais, inspecteur général des monnaies et conseiller au parlement de Metz, né au Mans en 1722, mort à Paris le 20 septembre 1800. Forbonnais fut initié dès son adolescence aux affaires commerciales. Son père, fabricant d’étamines au Mans, et dont les relations avec le midi de l’Europe étaient assez étendues, envoya son fils, à peine âgé de dix-neuf ans, voyager pour sa maison en Italie et en Espagne. A son retour, en 1743, Forbonnais alla habiter Nantes, chez un de ses oncles, riche armateur de cette ville. Là il put voir de près les grandes affaires d’exportation prendre des notes sur les habitudes, les besoins du commerce, et se préparer par une pratique utile aux travaux économiques et à l’administration des finances. C’est en effet dans cette direction que Forbonnais porta l’activité de son esprit. En 1752, il présenta au gouvernement des mémoires sur les finances, des plans, des projets: admis à les discuter devant le ministre, il soutint ses opinions avec la raideur d’un homme plus habitué à l’étude qu’aux usages des cours. Bien que le ministre auquel il avait tenu tête fût probe, éclairé, animé des meilleures intentions, Forbonnais fut éconduit. Il n’abandonna toutefois ni ses études ni ses relations à la cour. Les ministres qui, à cette époque, ne croyaient pas tout savoir, lui demandèrent plusieurs mémoires. Il devint inspecteur général des monnaies en 1750, et en 1758 il publia l’ouvrage qui devait être son premier titre au souvenir de la postérité, ses ‘Recherches et considérations sur les finances de la France’… Son grand travail sur les finances de la France, depuis 1595 jusqu’à 1721, résultat de longues et consciencieuses recherches, survit à presque tous les autres. On y remarque une intelligence assez forte pour dominer une telle matière, sans aller se perdre dans les détails. Un style qui est clair, simple, précis et grave jette de l’intérêt et de la lumière sur des faits arides et obscurs par eux-mêmes. On peut consulter les ‘Recherches et considérations sur les finances’ avec toute confiance pour le temps compris dans le plan de l’auteur; il faut se défier davantage des digressions relatives à l’origine et à l’ancienne histoire de certains impôts. Quelques écrivains modernes, qui doivent à Forbonnais une bonne partie de leur réputation, n’ont pas toujours rectifié les erreurs que cet auteur avait commises. Comme publiciste, Forbonnais se place, par la nature de ses idées comme par le temps où il vécut, entre Law et l’école de Quesnay. Il prit part à la réaction contre les modes, les idées, les exemples de l’Angleterre et de la Hollande, et alla chercher dans la tradition française les pensées d’amélioration et de réforme. ‘Cet ouvrage, dit-il dans son introduction, conservera à notre nation l’honneur d’avoir eu la première de bonnes lois en toutes choses, et peut-être la honte de les avoir mal exécutées.’ Les idées économiques les plus justes et les plus vraies abondent dans ses écrits; mais elles n’y ont point encore la forme exacte, scientifique». (C. Coquelin, Dictionnaire de l’économie politique, 1864). L’ouvrage est orné de 16 tableaux dépliants du plus haut intérêt montrant par exemple l’état des dépenses de l’année 1670, les dépenses effectives faites en 1682, etc. Précieux exemplaire conservé tel que paru, à toutes marges, dans ses brochures d’attente.