Le Lérot, juin 1979 n° 25. In-8 broché, 120 pages. Non coupé.
Reference : 5976
A la Soupe aux Livres
Mme Roselyne Layan
28 Faubourg Lacapelle
82000 Montauban
France
33 05 63 63 72 68
Conforme aux usages de la librairie ancienne. Les livres sont garantis complets et en bon état sauf mention particulière. L'envoi se fait à réception du réglement (chèque, virement, paypal). Le port (par la poste ou mondial relay) est en sus.Lors de votre commande, les frais d'envoi vous seront indiqués.
Guilde du Livre Lausanne. 1977. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 130 à 143 - pages agrafées - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Une vie extraordinaire - l'un parle l'autre écrit - il a choisi les arbres - le père des rois maudits - catalogue. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LE LEROT REVEUR N° 25. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 120 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]
3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.
S.n., Cannes 28 Avril 1941, 21x27cm, une page et demi.
Lettre autographe datée et signée de Guy Des Cars (38 lignes à l'encre noire depuis l'hôtel Le Gray d'Albion à Cannes) à Léon Daudet concernant la parution de son premier ouvrage "L'officier sans nom". Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, deux annotations aux crayons bleu et rouge probablement de la main de Léon Daudet. Guy Des Cars demande à Léon Daudet, journaliste au quotidien monarchiste et vichyssois l'Action Française, de se fendre d'un article recensant son premier ouvrage"L'officier sans nom": "... peut-être le premier paru en zone libre sur la guerre..." Afin de favoriser la rédaction de la critique tant espérée, Guy Des Cars énumère et brandit ses galons de patriotisme en évoquant ses faits de guerre et en faisant étalage de son nationalisme : "... Depuis longtemps fidèle lecteur de l'Action Française, je serais très désireux que votre journal parle d'un ouvrage Français, écrit par un Français..." Sur les conseils de Jean Ajalbert et Francis Carco, Guy Des Cars se permet de solliciter ce coup de pouce de l'influent journaliste politique, son article devant coincider avec la distribution del'ouvrage : "... à ce moment mon livre sera en vente un peu partout..." Le père de"L'officier sans nom" espère que Léon Daudet ne lui tiendra pas trop rigueur de son impertinente demande et qu'il recevra favorablement : "... j'ose espérer que mon premier "enfant" ne vous décevra pas trop..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
1962 1962. Français écrit Français parle / Larousse 1962
Bon état