P., Louis Michaud, sans date (1908). In-8 broché, 318 pp.. Dédicace del'auteur. Joint une lettre de J. Rictus de 3 pp.
Reference : 13138
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Paris. Louis Michaud. (1906). 1 volume in-12, demi-basane noire, dos à nerfs, premier plat de couverture conservé.318 pp., (1) f.
Edition originale du seul roman de l’auteur.Exemplaire enrichi d’une photographie d’un portrait en pied de Rictus jeune par Brindeau et de deux lettres autographes de l’auteur, le tout monté sur onglet.Dans la lettre du 17 avril 1930 il se désiste d’un article promis pour le premier numéro d’un journal, avançant le nombre de travaux littéraires en cours et ses soucis domestiques. La seconde lettre, datée du 16 mai 1906 et adressé à Thérèse Gérard est plus importante et concerne le lancement de Fil-de-Fer : « Fil-de-Fer paraît au plus tard vendredi. Tu l’auras reçu samedi sans doute. Dès mon lancement et mon service de presse terminés je vous porte le flaconnet. Fil-de-Fer s’annonce comme un succès ». Le reste de la lettre concerne des demandes d’invitation pour l’Exposition coloniale de 1907.Ce roman largement autobiographique avait eu une certaine presse et même intéressé l’Académie Goncourt sans cependant de suite favorable. Il ne sera pas réédité.L’exemplaire présente par ailleurs 3 corrections orthographiques de la main de Jehan-Rictus aux pp. 12, 13 et 297. Envoi découpé au faux-titre : on lit encore « Jehan Rictus Xbre 1906 ».Page de faux-titre doublée. Large déchirure verticale sur la lettre de 1906.
1906 Paris, Louis Michaud, sans date (1906); in-16 de 319pp.; demi-chagrin ivoire, dos lisse orné en long de fleurons dotés titre doré sur étiquette de maroquin rouge en tête et petit fleuron doré en pied sur étiquette de maroquin rouge, couverture illustrée du portrait de "Fil-de-fer" conservée. Exemplaire de l'édition originale sur papier ordinaire. Envoi autographe signée de l'auteur, daté de mai 1906, sur le faux-titre, le nom du dédicataire a été gratté.
Rictus a mis en exergue, une des phrases de son roman, sur l'adolescence :"On l'appelait "Fil-de-fer" à cause de sa taille qui n'en finissait pas et de sa maigreur qui était terrible". Petites rousseurs à la couverture, le chagrin ivoire a un peu jauni au dos jauni, traces de poussière sur les mors. Exemplaire bien relié en bon état.(Reu-Bur)
Fribourg, Chez l'éditeur, L.-J. Schmid, 1839. In-4 broché de [2]- 66 [et] [8] pages, couverture jaune d'éditeur, non rogné. Le Compte rendu, de format in-folio, est donc ici plié deux fois.
Illustré de 8 lithographies hors-texte, 3 planches dépliantes. Parmis les ponts réalisés en fil de fer, celui de Fribourg était à l'époque un des prmeier et un des plus grand d'Europe. Jolie publication, pas courante.
Bureau de la revue. 17 mars 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 169 à 184. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 624-Génie civil
Sommaire : Métallurgie : le forgage mécanique des grosses chaines, Physique industrielle : le séchage des pommes de terre par Ch. Dantin, Métallurgie : la galvanisation, l'étamage et le plombage du fer et en particulier du fil de fer, Electricité : les lignes téléphoniques et les réseaux de distribution d'énergie électrique Classification Dewey : 624-Génie civil
In 8 broché couverture papier bleu d’attente.Faux-titre, titre,VIII,Avis 2feuillets,103 pages.1 page de table.5 planches dépliantes.Louvet graveur.Chez Bachelier Libraire 1824.grandes marges.Très rare édition originale Seguin traite des origines des ponts suspendus, des cordes verticales des parapets,et amarres inférieures du pont,des planchers.Bibliotheca Mechanica,293.
Né à Annonay le 20 avril 1786,il était le fils aîné de Marc-François SEGUIN,négociant en draps,dont la famille était originaire de Tain (Dauphiné).Sa mère,née Thérèse-Augustine de Montgolfier,était une nièce de Joseph et Etienne,"les Frères Montgolfier",qui venaient de se rendre célèbres en 1783 par la découverte des aérostats, prélude à la Conquête de l’Air.Marc eut quatre frères,Camille,Jules,Paul,et Charles,qui furent, plus tard,les collaborateurs efficaces de Seguin aîné Des ponts existaient déjà,suspendus à des chaînes et à des barres(Angleterre);ils étaient chers et fragiles.Marc Déguin eut l’idée,à l’issue de travaux réalisés à une échelle réduite(en 1823, sur la Cance,puis sur la Galaure),de les remplacer par des fils de fer, réunis en écheveaux;et l’autorisation fut accordée aux frères SEGUIN,par les pouvoirs publics,le 22 janvier 1824, de construire la célèbre passerelle,suspendue sur le Rhône, entre Tain (Drôme)et Tournon (Ardèche);elle fut réalisée entre avril 1824 et le 25 août 1825,date se son inauguration!Ce fut le prélude à la construction de près de 90 ponts semblables,soit par les cinq frères,soit par les utilisateurs du système