‎COURS DE DESSIN ET DE PEINTURE.‎
‎LE PERSONNAGE DANS LA VIE‎

‎ Ecolé A.B.C. de Dessin Ecolé A.B.C. de Dessin de Paris 1964, In-4 broché, 55 pages + nombreuses figures, croquis et photos. Trés bon état.‎

Reference : 99937216


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‎PIERRE YVES GRASSET rédacteur en chef‎

Reference : R240002229

(1973)

‎COURS DE DESSIN PEINTURE n°10 le personnage dans la vie, n°11 la composition, n°12 la création artistique, n°13 la décoration, n°14 la mode, n°15 historique‎

‎ECOLE ABC DE PARIS. 1973. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30+32+30+72+50+46 pages. Nombreuses photos en couleur, dans le texte. Feuillets rangé dans un classeurs vert.. . . . Classification Dewey : 740-Dessin, arts décoratifs et mineurs‎


‎ Classification Dewey : 740-Dessin, arts décoratifs et mineurs‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR149.00 (€149.00 )

‎École ABC de Paris‎

Reference : 019651

(1978)

‎Cours De Dessin - Peinture - Le Personnage Dans La Vie‎

‎ École ABC de Paris 1978 nombreuses photographies, dessins en couleurs et en noir - reliure rigide en percaline brune avec motif et titres en dorure ‎


‎Très Bon État ‎

Phone number : 0032476413494

EUR19.20 (€19.20 )

‎Collectif‎

Reference : R110395766

(1963)

‎Télé 7 jours n° 166 - Mauvais garçon sympathique dans Janique aimée, Michel Barbey veut changer de personnage, dans une prochaine série a la TV vous ferez connaissance avec Danjou détective, Steve Mac Queen veut bruler tous les feux rouges de la vie‎

‎Télé 7 jours. 25 mai 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 86 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte. Johnny Hallyday en couverture du numéro.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎


‎Sommaire : Mauvais garçon sympathique dans Janique aimée, Michel Barbey veut changer de personnage, dans une prochaine série a la TV vous ferez connaissance avec Danjou détective, Steve Mac Queen veut bruler tous les feux rouges de la vie, Franck Pourcel : le twist ne me fait pas peur, on dansera toujours joue contre joue Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR99.00 (€99.00 )

‎Marcel-Lenoir, peintre et fresquiste, ses écrits 1928‎

Reference : 4723

‎Marcel-Lenoir, peintre et fresquiste, ses écrits Paris, cahiers de la douce France, n°2, 1928, in 8°, broché, 108 pp., couverture défraîchie, intérieur bel état par ailleurs. Bien rare Marcel-Lenoir , pseudonyme de Jules Oury , né le 11 mai 1872 à Montauban et mort le 6 septembre 1931 à Montricoux , est un peintre , fresquiste , bijoutier , enlumineur , graveur et dessinateur français . Né dans une famille d'orfèvre, Marcel-Lenoir se rend à Paris en 1889. Il y fréquente l' École des arts décoratifs , et les cours du fresquiste Paul Baudoüin à l' École nationale supérieure des beaux-arts , puis découvre les artistes du Moyen Âge français et italiens au musée de Cluny puis au musée du Louvre . Passionné par le symbolisme , il fréquentera le poète Paul Fort et les milieux Rose-Croix , il découvre dans le même temps les ouvres du Suisse Arnold Böcklin , de l'Anglais Edward Burne-Jones et de Pierre Puvis de Chavannes . Il abandonne le symbolisme vers 1902-1903 pour une inspiration plus proche de la nature : la matière de ses ouvres devient plus empâtée, les teintes plus vives, la perspective se déforme progressivement, la couleur est posée en à-plat avec un effet d'étagement vertical de la composition, audaces formelles imaginées par les Nabis vingt ans auparavant. Puissant coloriste dont les effets de matière évoquent les Fauves notamment d'Europe centrale. En recherche perpétuelle de nouvelles solutions stylistiques, son ouvre est une recherche d'un âge d'or qui ne cesse de parcourir la peinture française depuis la fin du xix e siècle. Ayant atteint la notoriété de son vivant, il fait figure aujourd'hui de ces artistes délaissés, il est vrai que son attitude intransigeante et même provocante jusqu'à l'excès ne favorisera pas sa diffusion. Pratiquant dans sa vie personnelle l'austérité matérielle voire l'indigence avec sincérité, il ne cessa de railler les critiques et les institutions officielles 1 . Personnage excentrique promenant à Montparnasse une silhouette de Christ pour cabaret artistique, il fut d'une ambition au-dessus de ses forces et hanté de grandeur inaccessible 2 . En 1913, il s'installe à Bruniquel , louant une grange, monte une équipe de six maçons pour travailler à ses fresques de grandes dimensions. Il y réalise 27 fresques durant l'année 1916. Il change de technique et la composition de son mortier ce qui donnera à son travail une grande douceur dans les tons. En 1920, Marcel-Lenoir fonde « L'Institut d'Esthétique Contemporaine » dans son atelier du n o 115 de la rue Notre-Dame-des-Champs à Paris et y réalise l'année suivante une exposition. Il transfère cet atelier au n o 86 de la même rue en 1928. Il reçoit, en 1920, la commande du Couronnement de la Vierge pour l'Institut catholique de Toulouse. Il y incorpore une série de portraits des notables de la ville, ainsi que son propre portrait et ceux de sa femme et de son fils. Monseigneur Germain Breton y est représenté en prêtre, en tête de la procession. D'autres personnalités de Toulouse ou de ses connaissances comme Camille Soula , le comte Henri Bégouen , Henri de Lingua de Saint-Blanquat ou Jacques Adrien Crouzel , y figurent. Il meurt le 6 septembre 1931 et repose dans le cimetière de Pechcausen. Il était marié et père de famille. Le musée Marcel-Lenoir au château de Montricoux à Montricoux ( Tarn-et-Garonne ) conserve un important fonds de son ouvre. Merci wikipédia‎


Phone number : 06 82 53 12 00

EUR65.00 (€65.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

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