Garnier Paris, Garnier?,1873, In-8 broché de 411 pages. Bel exemplaire sans rousseurs. Nouvelle édition précédée d'une appréciation tirée des Causeries du lundi par M. Sainte-Beuve. Bon état
Reference : 999310
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Librairie Gil - Artgil SARL
Catherine et Caroline Gil
24 Bld Denys Puech
12000 Rodez
France
05 65 42 95 21
Conformes aux usages de la librairie ancienne. Les prix sont nets. Frais de port en sus. Emballage gratuit. Les livres sont expédiés après réception du règlement en colis poste ou recommandé. <br />
Garnier 1859 in12. 1859. reliure demi-basane. 411 pages. Bon Etat intérieur propre
Garnier frères 1859 In-18 demi-chagrin brun 18 cm sur 12, dos à nerfs orné de fleurons dorés. XX-411 pages. Bon exemplaire
Excellente édition collective qui rassemble les cinq pièces successives, parues de 1773 à 1774, et dans lesquelles Beaumarchais se défend contre l’accusation de corruption lancée contre lui par le conseiller Goëzman. Ce personnage était le juge de l’affaire qui opposait le dramaturge au comte de la Blache, héritier du fameux financier Pâris-Duverney, pour une dette contestée de 15000 livres. Bon état d’occasion
in-8 broché - 1974 - 431p - Ed. Nagel
bon état
P., Garnier Frères, 1859, in-12, xx-411 pp, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, tranches pennées (rel. de l'époque), bon état
Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succés de tous ses ouvrages. (Michaud).
Nouvelle édition collationnée avec le plus grand soin sur les éditions originales et précédée d'une appréciation tirée des causeries du lundi par Sainte-Beuve. Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succès de tous ses ouvrages. (Michaud) volume in8, 180x100, relié demi cuir, frottements, bel état intérieur, frais, 451pp. Paris, Garnier frères, 1878 ref/207