Perrin Perrin 1972, In-8 relié cartonnage éditeur sous jaquette illustrée. 293 pages. Bon état.
Reference : 99925549
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Librairie Gil - Artgil SARL
Catherine et Caroline Gil
24 Bld Denys Puech
12000 Rodez
France
05 65 42 95 21
Conformes aux usages de la librairie ancienne. Les prix sont nets. Frais de port en sus. Emballage gratuit. Les livres sont expédiés après réception du règlement en colis poste ou recommandé. <br />
Paris, Société française d'éditions d'art L.-Henri May, 1900. In-8 de 643 pp., maroquin vert avec formules latines mosaïquées (Veritas e terra orta est), doublure de maroquin lie-de-vin, gardes de velours satiné doublées de papier marbré, entièrement non rogné, couverture, témoins et dos conservés, étui (reliure de l'époque).
Un des 15 exemplaires sur Hollande non mis dans le commerce spécialement tiré pour Madame Waldeck-Rousseau. Seule édition publiée. Jules Cornély avait appartenu à la rédaction du Gaulois jusqu'au jour où, convaincu de l'innocence de Dreyfus, il fut congédié par Arthur Meyer et entra au Figaro en décembre 1897. Ces Notes sont les articles qu'il publia au lendemain de la condamnation de Dreyfus qu'il croyait alors coupable, et ceux qu'il donna au Figaro, après la dénonciation d'Esterhazy par Mathieu Dreyfus. Marie Durvis (1854-1936), belle-fille du docteur Jean-Martin Charcot et demi-soeur de l'explorateur Jean-Baptiste Charcot, veuve d'Henry Liouville, épousa en 1888 Pierre Waldeck-Rousseau, ministre de Gambetta et Jules Ferry - l'initiateur de la grâce d'Alfred Dreyfus en 1899 et de la loi qui, en 1900, amnistia « tous les faits criminels ou délictueux connexes à l'affaire Dreyfus ou ayant été compris dans une poursuite relative à l'un de ces faits ». Dos passé. Lispschutz, 214.
Paris, Tyographie de Plon, 1898-1899. 72 livraisons in-folio, en feuilles.
Tête de collection (72/85). Journal violemment anti-dreyfusard publié quinze jours après le fameux « J'accuse » de Zola.Forain et Caran d'Ache, deux des meilleurs caricaturistes de l'époque, n'avaient pas hésité à se lancer dans la bagarre, estimant que le devoir de l'artiste est de s'unir aux autres pour faire luire la vérité. Psst est un journal sans texte, contenant selon les numéros de trois à quatre images.Exemplaire avec quelques défauts (petits manques marginaux).
Paris, Tyographie de Plon, 1898-1899. 85 livraisons en 2 vol. in-folio brochés, couvertures illustrées, boîte demi-percaline noire.
Un des 75 exemplaires tirés sur papier du Japon. Collection complète.Journal violemment anti-dreyfusard publié quinze jours après le fameux « J'accuse » de Zola. Forain et Caran d'Ache, deux des meilleurs caricaturistes de l'époque, n'avaient pas hésité à se lancer dans la bagarre, estimant que le devoir de l'artiste est de s'unir aux autres pour faire luire la vérité. Psst est un journal sans texte, contenant selon les numéros de trois à quatre images. Bel exemplaire.
Paris, E. Bernard et Cie, 1898. 2 séries en 1 vol. grand in-8, titre et 32 planches, demi-percaline rouge à coins, couvertures conservées (Carayon).
Recueil contenant l'ensemble des caricatures en simili aquarelle croquant l'oeuvre de Zola avec un regard anti-dreyfusard. Les dessins de Lebourgeois furent publiés fin juillet 1898 ; Zola était présenté dans une situation violemment comique. L'Assommoir : un ouvrier vomit sur le coin d'un mur, avenue de la Grande Armée ; Pot-bouille : Zola séduit une cuisinière ; L'Argent : Zola se courbe devant un financier ventru, polytechnicien ; La Débâcle : Zola, en italien, quitte Paris en courant vers Bordeaux ; La Curée : Zola mange l'Assiette au beurre avec un porc et un chien ; Germinal : Zola contemple une femme qui montre son postérieur à un soldat ; Le Rêve : Zola en académicien ; La Confession de Claude : Zola en bateleur de foire tape sur un tambour sur lequel sont inscrit les mots J'accuse… Pour conclure, Lebourgeois présente le romancier comme un aliéné : Rochefort et Drumont accompagnent Zola portant une camisole de force à la porte de l'hôpital psychiatrique Sainte-Anne. Bel exemplaire.
Paris, E. Bernard et Cie, 1898. 2 séries en 1 vol. grand in-8, titre et 32 planches sous chemise demi-percaline verte (chemise de l'éditeur).
Recueil contenant l'ensemble des caricatures en simili aquarelle croquant l'oeuvre de Zola avec un regard anti-dreyfusard. Les dessins de Lebourgeois furent publiés fin juillet 1898 ; Zola était présenté dans une situation violemment comique. L'Assommoir : un ouvrier vomit sur le coin d'un mur, avenue de la Grande Armée ; Pot-bouille : Zola séduit une cuisinière ; L'Argent : Zola se courbe devant un financier ventru, polytechnicien ; La Débâcle : Zola, en italien, quitte Paris en courant vers Bordeaux ; La Curée : Zola mange l'assiette au beurre avec un porc et un chien ; Germinal : Zola contemple une femme qui montre son postérieur à un soldat ; Le Rêve : Zola en académicien ; La Confession de Claude : Zola en bateleur de foire tape sur un tambour sur lequel sont inscrit les mots J'Accuse. Pour conclure, Lebourgeois présente le romancier comme un aliéné : Rochefort et Drumont accompagnent Zola portant une camisole de force à la porte de l'hôpital psychiatrique Sainte-Anne.Bel exemplaire.