Hachette Hachette 1914, In-8 broché, 286 pages. Bon état.
Reference : 99910894
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Charles François Dumouriez, La Vie du Général Dumouriez, Tome I - II - III (complet), Hamburg, chez B. G. Hoffmann, 1795, 476 - 368 - 386 p. Reliure demi basane havane, dos lisse, tranches rouges. Reliure de l'époque (cf. photos, état d'usage). Édition originale. 8 premières pages du tome 1 un peu tachées/mouillées, mais sinon bel état de l'ensemble. Charles-François Dumouriez-Dupérier est né à Cambrai le 26 janvier 1739 au 24 de la rue du Petit Séminaire. Fils de militaire, il étudie au Collège Louis le Grand à Paris. Il effectue ses premières armes lors de la Guerre de Sept ans et accède au grade de capitaine. La paix revenue en 1763, il est vite chargé de diverses missions plus diplomatiques que militaires en Espagne, en Corse et en Suède. Ces missions plus ou moins bien négociées lui valent un séjour de six mois à la Bastille. Maréchal de camp en 1788, le nouveau roi Louis XVI, le nomme gouverneur de Cherbourg. Ministre des Relations Extérieures puis de la Guerre en mars à juin 1792, il pousse à la guerre contre l’Autriche. Contraint de démissionner, il prend le commandement de l’armée du Nord. Le 20 septembre, il est sans conteste le principal vainqueur de la Bataille de Valmy mais laisse les Autrichiens et Prussiens battre en retraite ce qui attire sur lui les suspicions. La Bataille de Jemmapes livre la Belgique à la République. Dumouriez repart pour Paris fin 1792 pour essayer de sauver Louis XVI mais apprend la rupture diplomatique avec l’Angleterre et la Hollande. La bataille de Neerwinden, où il est vaincu, renverse tous ses projets. Face aux accusations qui l'accablent, il craint d'être appelé à la barre de la Convention, d'être arrêté et traduit au Tribunal Révolutionnaire. Il accepte les propositions qui lui sont faites par le prince de Cobourg de dissoudre la Convention et ainsi rétablir la Constitution. Dumouriez passe alors dans l’autre camp entraînant avec lui son état-major mais ses soldats ne le suivent pas lorsqu’il veut marcher sur Paris pour sauver la patrie. Déclaré « traître » par la Convention, chassé de partout, il mène alors une vie errante à travers l’Europe. Après avoir offert ses services à diverses puissances contre-révolutionnaires, il se fixe au Royaume-Uni et conseille le Ministère de Wellington et les guérilleros espagnols sur les tactiques à adopter contre l'armée Napoléonienne. A la Restauration, Dumouriez n’est pas autorisé par les Bourbons à rentrer en France. Il meurt le 14 mars 1823 dans le Comté de Buckingham dans l'indifférence générale et repose dans l’église de Henley-on-Thames. Malgré un destin tout à fait particulier, le nom de Dumouriez figure parmi les 558 officiers inscrits sur l’Arc de Triomphe, en tant que vainqueur de Valmy. Beaux exemplaires de ces mémoires du général Dumouriez.
L'Harmattan, 2002, in-8 br. (13 x 21,5), 520 p., quelques illustrations photos, cartes, envoi de l'auteur, bon état.
Charles François du Perrier, dit Dumouriez, est né à Cambrai le 25 janvier 1739, à l'apogée du règne de Louis XV. Gentilhomme sans fortune il s'engage dès sa prime jeunesse pour la terrible guerre de Sept Ans. Il en revient gravement blessé. Ce métier des armes qu'il choisit, par goût de l'aventure, va lui donner la possibilité de voyager dans toute l'Europe. Protégé du duc de Choiseul, il est envoyé en mission en Corse contre Paoli ; puis c'est l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la Pologne, la Prusse et la Suède. Louis XV le fait entrer dans son cabinet secret et confie à ce jeune officier une mission. Mais au bout de l'aventure la prison l'attend. Ce sera la Bastille, puis le château de Caen. Remis en liberté par le jeune roi Louis XVI, Dumouriez se marie alors à Pont-Audemer avec sa cousine germaine. Nommé à Cherbourg commandant militaire de la ville, après de nombreuses études pour la construction du port, il y reste onze ans. La Révolution gronde et Dumouriez y voit l'occasion de se faire valoir dans l'entourage immédiat du roi. Nommé par Louis XVI ministre des Affaires étrangères, le roi n'écoute pas les conseils de celui qui a compris que sa faiblesse ne pourrait que l'amener à la mort. Dumouriez est un homme fougueux, ambitieux, d'une grande intelligence, cynique parfois mais courageux jusqu'à l'extrême. Proche des grands, il porte sur eux un jugement d'homme à qui rien ne fait peur. Dumouriez s'engage alors dans une guerre aux frontières pour laquelle il a reçu le commandement de l'Armée du Nord. Ce sont les victoires de Valmy, puis de Jemmapes qui le mènent à la gloire ; mais les Jacobins au pouvoir se méfient de lui et cherchent à l'arrêter pour le guillotiner. Il ne tombera pas dans leur piège, mais choisira le parti d'abandonner son armée et son pays pour parcourir l'Europe en exilé. Voir le sommaire sur photos jointes.
Librairie Hachette & Cie, Paris, 1914. In-8, broché 286 pp. Chapitre Premier : Les débuts. - II. Voyages. - III. En Pologne. - IV. Prison et mariage. - V. La Révolution. - VI. Le ministère. - VII. La guerre. - VIII. L'Argonne. -IX. Valmy. - X. La retraite des Prussiens. ...
Avec un frontispice et 8 planches en hors texte sous serpente. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Dumouriez, Mémoires du Général Dumouriez, écrits par lui-même. Seconde partie, à Londres, 1794 136 pp., 2 feuillets (tables) Exemplaire non-ébarbé Rabaut (le Jeune), membre du Conseil des anciens, à ses combattans (sic), au corps législatif, au... Demi-basane miel, pièce de titre en basane rouge (éraflures)
Paris, Firmin Didot, 1878 in-12, [2]-480 pp., toile Bradel brune, dos lisse, pièce de titre noire (Lavaux).
Il s'agit de la version Firmin-Didot des Mémoires originellement édités dans la collection Baudouin (1822-1823, quatre volumes), et qui parut d'abord en 1848. L'étrangeté du titre provient d'une erreur de l'imprimeur, par contamination avec le titre complémentaire d'ailleurs relié en partie à la suite de notre exemplaire :Suite des Mémoires du général Dumouriez, Mémoires de Louvet, et Mémoires pour servir à l'histoire de la Convention Nationale, par daunou. Avec notice par Fs. Barrière. Paris, Firmin Didot frères, 1863, [2]-207 pp. Comme le texte de Dumouriez était le seul qui semblait intéresser l'amateur à l'origine du volume, il a laissé tomber les Mémoires de Louvet et de Daunou, si bien que manquent les pp. 208-464 de cette continuation.Fierro, 480. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT