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GINZBURG Natalia
Je t'écris pour te dire...
Denoël Denoël, 1974. In-8 broché de 191 pages. Bandeau conservé. Très bon état
Reference : 184643
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Lettre signée de Maurice Rheims au journaliste Albert Rèche, date du 21 avril 1960 : "Cher Monsieur, je tiens à vous remercier tout particulièrement du remarquable "papier" que vous avez bien voulu consacrer à mon livre. Je vous écris aussi pour vous dire combien j'ai intéressé par la critique que vous avez faite de la méthode Fourastié, et j'avoue bien volontiers qu'elle vous donne raison par les exemples que vous citez. D'un autre côté, il semble bien que parmi toutes celles employées jusqu'à présent, celle-ci tend à se rapprocher le plus de la réalité. Toute autre méthode basée sur l'or ou les matières premières nous a donné des surprises insolites bien plus grandes encore. Je serais intéressé, étant donné l'intérêt que vous avez bien voulu porter à mon livre et par votre critique à ce que vous y réfléchissiez et que vous me donniez plus précisément votre sentiment sur la possibilité d'être plus précis [ ... ] "
1 lettres lignée tapuscrite, date de Paris, le 21 avril 1960, 1 page sous enveloppe
Intéressante lettre adressée par Maurice Rheims au journaliste bordelais Albert Rèche (1913-2016), à propos de la "Méthode Fourastié", qu'il utilisa et commenta dans plusieurs de ses ouvrages. Elaborée par l'économiste français Jean Fourastié (1907-1990), elle permet de suivre l'évolution des prix en employant une unité valable en tout temps et en tout lieu : le salaire horaire.
[2 lettres autographes signées : ] 1 L.A.S. de 2 pages : "Mon Cher Hauser, Mariéton me communique votre démission de secrétaire général du Félibrige, à mon sujet et à mon profit, ce qui m'ahurit littéralement. J'écris à Mariéton que je ne puis ni ne veux être quoi que ce soit dans le 1er Comité du Félibrige. Je n'en ai pas le temps, avec toutes ces festivités estivales, ni le désir. Mariéton vous communiquera sans doute les raisons profondes que je lui en donne. Ceci dit, je ne m'explique pas que vous vous soyez cru obligé de me céder votre place. Pourquoi grands dieux ! Serait-ce que vous croyiez que votre élection m'a gêné. J'ai voté pour vous comme 2ème secrétaire (Boubet étant le s. général). Soyez sûr que si j'avais eu la moindre pensée je vous eusse combattu ouvertement : c'est ma seule façon [...] Donc n'ayez à mon sujet absolument aucune espèce de scrupule & reprenez votre démission. Je n'aurai accepté, dans le félibrige, que d'être des 7 Conseillers & j'avoue avoir été non blessé, mais peiné, que l'on n'y ait oublié" ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 1 page :"Mon Cher Hauser, Vous venez de donner au Provençal sur Hercule un très émouvant article qui m'a rétrospectivement attristé. Pourquoi ne m'avez-vous pas dit tout cela quand il fut question des bustes de Mariéton ? Je tiens à vous dire que j'ai maintenant le remords d'avoir peut-être fortement affligé cet homme en ne songeant pas à lui & je n'y songeais pas parce que j'ignorais & son talent (que m'affirme puisqu'il est son oeuvre le Paul Arène de Sceaux) & sa misère.
2 L.A.S., s.d. : 1 L.A.S. de 2 pages : "Mon Cher Hauser, Mariéton me communique votre démission de secrétaire général du Félibrige, à mon sujet et à mon profit, ce qui m'ahurit littéralement. J'écris à Mariéton que je ne puis ni ne veux être quoi que ce soit dans le 1er Comité du Félibrige. Je n'en ai pas le temps, avec toutes ces festivités estivales, ni le désir. Mariéton vous communiquera sans doute les raisons profondes que je lui en donne. Ceci dit, je ne m'explique pas que vous vous soyez cru obligé de me céder votre place. Pourquoi grands dieux ! Serait-ce que vous croyiez que votre élection m'a gêné. J'ai voté pour vous comme 2ème secrétaire (Boubet étant le s. général). Soyez sûr que si j'avais eu la moindre pensée je vous eusse combattu ouvertement : c'est ma seule façon [...] Donc n'ayez à mon sujet absolument aucune espèce de scrupule & reprenez votre démission. Je n'aurai accepté, dans le félibrige, que d'être des 7 Conseillers & j'avoue avoir été non blessé, mais peiné, que l'on n'y ait oublié" ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 1 page :"Mon Cher Hauser, Vous venez de donner au Provençal sur Hercule un très émouvant article qui m'a rétrospectivement attristé. Pourquoi ne m'avez-vous pas dit tout cela quand il fut question des bustes de Mariéton ? Je tiens à vous dire que j'ai maintenant le remords d'avoir peut-être fortement affligé cet homme en ne songeant pas à lui & je n'y songeais pas parce que j'ignorais & son talent (que m'affirme puisqu'il est son oeuvre le Paul Arène de Sceaux) & sa misère.
Rédacteur en chef de Comoedia, Gabriel Boissy (1879-1949) fut introduit aux Chorégies d'Orange par Paul Mariéton, qu'il évoque dans chacune de ses deux lettres, adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941).
PARIS MATCH N° 2424 - Sharon Stone : elle les fait tous craquer par Dany Jucaud, Arno Klarsfeld : pour dire mon amour a Carla, j'écris des poèmes par Catherine Schwaab, Gina Lollobrigida : c'est a Subiaco que j'ai appris a aimer par Henry Jean Servat
PARIS MATCH. 9 novembre 1995. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 135 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire :Sharon Stone : elle les fait tous craquer par Dany Jucaud, Arno Klarsfeld : pour dire mon amour a Carla, j'écris des poèmes par Catherine Schwaab, Gina Lollobrigida : c'est a Subiaco que j'ai appris a aimer par Henry Jean Servat, Ils ne sortent plus sans leurs enfants, Mel Gibson, Jean Louis Debré Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
