Editions Alcuin Editions Alciun, 2000. In-8 broché de 195 pages. Bon état
Reference : 184009
ISBN : 2907072102
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Editions Alcuin 2000, broché, 196pp; traduction de M. Junker - très bon état
A Paris, chez Saillant et à Bayeux, chez Lepelley, 1772. In-8 de 1 frontispice gravé, (4)-XXIV-342-(2) pp., veau marbré glacé, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française donnée par Junker. Gravure de Ménil d'après Monet en frontispice.Traduit deux fois en français en 1772, d'abord par un pasteur huguenot à Berlin (Abel Burja sous le titre : Phédon ou Dialogues Socratiques sur l'Immortalité de l'Ame), ensuite par G.-A. Junker, un Allemand installé à Paris qui s'était déjà signalé par plusieurs traductions de l'allemand l'anglais, il le fut rapidement aussi en hollandais, italien, suédois, polonais, russe et hongrois. Le 1er juillet 1772, la Correspondance littéraire de Grimm en prit acte : « traduit depuis peu le Phédon, ou Entretiens sur la spiritualité et l'immortalité de l'âme, non de Platon mais de Mosès Mendelshon [sic], juif, à Berlin. M. Mosès jouit d'une grande réputation en Allemagne. C'est un célèbre métaphysicien et son Phédon a fait quelque sensation à Paris, quoique la philosophie dominante ne soit pas dans ce goût-là. M. Mosès s'est permis de mettre dans la bouche de son Socrate beaucoup d'arguments et de raisonnements tirés de la philosophie moderne en faveur du système de l'immortalité de l'âme. Ce Socrate au lieu d'être le maître de Criton et des autres philosophes d'Athènes, n'est qu'un élève de Leibnitz, de Wolff et de Mosès » (P. H. Meyer, Le rayonnement de Moïse Mendelssohn hors d'Allemagne).Très bon exemplaire. Cohen - De Ricci, 386 ; Szajkowski, Franco-Judaïca, 1625.
Par Moses Mendelsohn, traduit de l'allemand sur la sixième édition par L. Haiussmann, 1 vol. in-8 reliure de l'époque pleine basane racinée, fers de prix du Petit Séminaire de Brive au premier plat, Charles Heideloff, Paris, 1830, 332 pp.
Intéressant exemplaire, portant les fers de prix du "Petit Séminaire de Brive", mention "Prix de Dissertation" 1842 au crayon en garde, pour cette nouvelle traduction française de l'une des oeuvres majeures du philosophe juif de l'Aufklärung berlinoise, Moses Mendelsohn (1729-1786). Dans sa Correspondance, Grimm évoquait l'ouvrage en ces termes : "M. Mosès s'est permis de mettre dans la bouche de son Socrate beaucoup d'arguments et de raisonnements tirés de la philosophie moderne en faveur du système de l'immortalité de l'âme. Ce Socrate, au lieu d'être le maître de Criton et des autres philosophes d'Athènes, n'est qu'un élève de Leibniz, de Wolff et de Mosès". Etat très satisfaisant (petits frott. en reliure, petites mouill. et qq. rouss., bon état par ailleurs).
Traduit de l'Allemand par M. Junker, de l'Académie des Belles-Lettres de Gaettingen. Orné d'un frontispice d'après Monet et gravé par Ménil. Paris, chez Saillant, Libraire & Bayeux, chez Lepelley, 1772. In-8 (22,5x14cm) dans une brochure de carton rigide dans l'attente de reliure, restauration au dos et ouvrage non ébarbé. (4)-XXIV-342-2pp.
[Édition originale française ornée d'un beau frontispice d'après Monet, gravé par Ménil. Précédé d'une vie de Socrate, un essai composé en trois dialogues à la manière du «Phédon» de Platon, à partir de la correspondance de Mendels-Son avec son ami Thomas Abbt. Ouvrage à relier et bon état intérieur avec toutes les marges.
"P., Saillant ; et Bayeux, Lepelley ; 1772. In 8 veau marbré de l'époque, frontispice, (4)-XXIV-343 (2) pp. et privilège. "
Première édition française. S'inspirant du dialogue homonyme dans lequel Platon met en scène les derniers instants de Socrate, le Phédon se propose d'accommoder les preuves métaphysiques de Platon au goût du siècle et met dans la bouche de Socrate des arguments qui sont ceux de Descartes ou de Leibnitz. C'est la principale oeuvre philosophique de Moses MENDELSSOHN (1729-1786), le premier philosophe juif de l'ère moderne. Ce livre fut l'un des plus populaires de son époque et fit l'objet de nombreuses rééditions. Beau frontispice gravé par Fessard d'après Monnet, et daté de 1769.