Galerie Daniel Templon Editions Galerie Daniel Templon, 2000. In-4 carré relié plein cartonnage éditeur illustré ous étui illustré de 326 pages. Nombreuses reproductions en noir et en couleurs, dans et hors-texte. Petite déchirure sans gravité à l'étui sinon très bon état
Reference : 178182
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[Claude Viallat] - Michel Butor, Christian Miehé (Skimao), Bernard Teulon-Nouailles, Régine Detambel, Roger Laporte, Christian Arthaud, Marcel Séguier, Michel Butor, Henri Pousseur, R. Monticelli / Claude Viallat (illustrateur)
Reference : DMI-1351
(1994)
TIRAGE DE TÊTE DE LA REVUE LE CHAT MESSAGER AVEC UNE GRANDE PEINTURE ORIGINALE DE CLAUDE VIALLAT SUR UNE GRANDE FEUILLE DE VÉLIN D'ARCHES [REVUE] Le chat messager n°9-10, Butor en transit, numéro consacré à Michel Butor, couverture et illustrations originales de Claude Viallat, éditions CMS, Montpellier 1994, 128 p., broché, 21x15cm pour la revue ; 38x27,5cm pour la peinture originale sur feuillet d'arches. Double couverture papier kraft et papier glacé de Claude Viallat réservée aux tirages de tête. Nombreux dessins de Claude Viallat à pleine page, surtout tauromachiques, sauf pour les deux couvertures et la peinture originale qui sont des empreintes. Contributions textuelles de Christian Miehé (Skimao), Bernard Teulon-Nouailles, Régine Detambel, Roger Laporte, Christian Arthaud, Marcel Séguier, Michel Butor, Henri Pousseur, R. Monticelli. Édition originale de cette revue annuelle et bicéphale (Montpellier-Nîmes) de littératures contemporaines publiées par les éditions CMS. Numéro entièrement consacré à l'écrivain Michel Butor. Tirage à 500 exemplaires dont 40 sous jaquette numérotés de 001 à 040 comprenant une oeuvre originale de Claude Viallat, sur vélin d'Arches. EXEMPLAIRE N°019 DE TÊTE SUR VERGÉ IVOIRE COMPRENANT UNE PEINTURE ORIGINALE DE CLAUDE VIALLAT SUR UNE GRANDE FEUILLE DE VÉLIN D'ARCHES 38,5x27,5cm Né en 1936, à Nîmes, Claude Viallat est un peintre contemporain à la renommée internationale, membre fondateur du groupe pictural Supports/Surfaces dans les années 60. Ses empreintes en forme d’éponge, signature depuis 40 ans, ont fait le tour du monde. Au sujet, qu’il place au second plan, l’artiste préfère le motif, la répétition et le procédé, révolutionnant ainsi la peinture et son support traditionnel. Le peintre a réalisé de nombreux livres d'artistes à tirages très limités avec les écrivains qui ont contribué à ce numéro hommage à Butor, notamment chez Rivières, la maison d'édition du petit cousin de Pierre André Benoit : Michel Butor, Bernard Teulon-Nouailles, Christian Skimao, etc. Magnifique exemplaire en parfaite condition, absolument unique, fort désirable. État de fraicheur irréprochable. La peinture de Claude Viallat est sur un feuillet à part Envoi soigné, assuré, avec l'enveloppe d'origine au tampon du Chat Messager. Livraison en main propre possible sous condition.
EXEMPLAIRE UNIQUE DE CE LIVRE PEINT PAR CLAUDE VIALLAT AVEC SIX GRANDES AQUARELLES ORIGINALES FORMAT UNE GRANDE TOILE ENRICHI D’UN GRAND PROFIL DE TAUREAU CRAYONNÉ Bernard Noël, États de la langue, poèmes enluminés de six aquarelles originales de Claude Viallat, Nîmes, Éditions de la Palourde, 2006, première couverture blanche imprimée en gris et bordeaux, à rabats ; deuxième couverture papier fibre végétale moucheté enrichi d’un dessin original au crayon de l’artiste ; 8 double f., en feuilles, 27,5x36,5 cm ; emboîtage couleur crème de l’éditeur, dos titré en noir et bordeaux. Cette édition originale d’États de la langue ornée de peintures de Claude Viallat, a été achevé d’imprimer le 21 juin 2006 à Losne par Thierry Bouchard, pour le compte des Éditions La Palourde, à Nîmes. Il a été tiré 52 exemplaires dont 12 hors commerce. Celui-ci justifié n°24 et signé JYL (Jean-Yves Lacroix) au colophon. L’exemplaire est également signé au crayon par Claude Viallat et Bernard Noël au centre d’une double page muette suivant la page de titre. Exemplaire unique enrichi d’un dessin original au crayon de Claude Viallat sur la 2e couverture, grand profil de taureau, qui fonctionne comme une dédicace concédée à l’ancien propriétaire de l’exemplaire. Ce profil de taureau rappelle celui des empègues, ces petits dessins réalisés au pochoir autour des portes des maisons, dans certains villages du sud du département du Gard où les traditions taurines camarguaises sont très marquées. Ce motif, souvent choisi par Claude Viallat dans le cadre de dédicaces privées rappelle la tradition de la représentation des animaux emblématiques de la Camargue : cheval, taureau, flamant rose ou toute autre représentation de la bouvine. Les six aquarelles originales de Claude Viallat, mises côte à côte, forment une grande toile, l’artiste ayant disposé au sol l’ensemble des feuillets pour les peindre d’un seul tenant avant de reconstituer le livre suivant la logique de l’enchainement des quinze sections numérotées du recueil de poèmes de Bernard Noël. Acteur majeur de la poésie française contemporaine, Bernard Noel (1930-2021) a consacré sa vie et son oeuvre à dénoncer l'oppression, la violence, la censure - mais aussi la "sensure", ce terme qu'il avait forgé pour évoquer la privation de sens. En 2016, l'Académie française avait consacré l'ensemble de son œuvre poétique en lui attribuant son Grand Prix de poésie. Le poème imprimé ici interroge la fonction du langage et le rôle de la poésie en tant qu’acte de création. Extraits : « Longtemps il a fallu des pieds pour faire un vers / aujourd’hui il suffit d’une décision » « si vous dites : ceci est un poème / vous parlez du poème comme vous parlez de votre pied » « que ceci aie l’apparence d’un poème ne prouve en rien que ce soit un poème la lecture peut seule en décider » Superbe exemplaire, infiniment désirable, en magnifique état, unique par la dédicace dessinée qu'il contient. Envoi soigné, assurance comprise, avec remise contre signature.
MAGNIFIQUE EXEMPLAIRE HORS COMMERCE DÉDICACÉ PAR CLAUDE VIALLAT ET RENÉ PONS À UN AMI GALERISTE René Pons, Filets dérivants, prose mythologique, avec des sérigraphies sur papiers recyclés d’empreintes de filets de Claude Viallat, Nîmes, Éditions Art Vivant, 2010, couverture papier rose recyclé fibres naturelles, 3 double f. + 12 double f., en feuilles, 14,5x14,5 cm, dans un emboîtage en carton fermé par une cordelette ou filet avec nom de l'auteur et de l'artiste tamponné en noir. L’édition originale de Filets dérivants a été imprimé sur papier recyclé par l’atelier Trëma, fabrique artisanale dans une économie solidaire, à Nîmes, en 2010, aux Éditions Art Vivant de Jean-Claude Seine. Maquette et mise en page de Charles-Henry Rolland. Texte typographié sur papier artisanal de deux couleurs, saumon et beige. Tirage à 60 exemplaire numérotés et signés. 15 exemplaires hors commerce. Celui-ci l’exemplaire H. C. 3, unique, portant en plus, un envoi autographe signé de l’auteur et de l’artiste au galeriste Philippe Panetier : « Pour Philippe / une autre collaboration amicale / Claude » « A Philippe Panetier / cette dérive gréco-homérique / ah ah ! / René Pons » Pris dans les filets de Claude Viallat, « me voilà pris dans les rets de Viallat », le poète René Pons file la métaphore du filet en convoquant les figures mythologiques du Minotaure, de Thésée, d’Ariane et son fil, Alexandre et le noeud gordien, ou encore quelques « vieux pêcheurs sous le soleil grec » et leurs « modestes filets » : Quant à moi pris aux mailles de mon vieux rêve hellène je marche le long de la plage dans l’espoir de voir apparaître à l’horizon les voiles d’Ulysse le rusé dont le piège mortel se refermera bientôt sur la vantardise des prétendants avant que la paix revenue et Pénélope ayant dénoue définitivement les noeuds de sa tapisserie et celui de sa ceinture l’amant de Circé sur son lit d’olivier resserre un noeud conjugal depuis trop longtemps détendu. Les filets et les cordes à nœuds de Viallat participent, depuis 1968, de sa volonté de déconstruction de la toile et de sa réflexion sur les éléments constitutifs de la peinture. Créée pour être exposée en plein air, l'œuvre est constituée du fil qui, tissé, forme la toile du peintre. Ce fil est considérablement grossi, jusqu'à devenir filet. Les vides du quadrillage rappellent évidemment l'empreinte en forme d'éponge qui est la signature internationalement connue de Claude Viallat. Bel exemplaire, peu courant, en magnifique état, unique par la double dédicace qu'il contient. Envoi soigné, assurance comprise, avec remise contre signature.
RARISSIME LIVRE D'ARTISTE TIRÉ À 12 EXEMPLAIRES AVEC 5 PEINTURES ORIGINALES DE CLAUDE VIALLAT Christian Skimao, L'Origine des Arts, poème enluminé de cinq empreintes peintes originales à l'acrylique de Claude Viallat, Rivières — Nîmes — Poulx, mars 2007, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 17,5x18cm, papier cristal. XII exemplaires. Exemplaire n°IX/XII justifié et signé au crayon gris par l’auteur et l’artiste au colophon. Édition originale. Il s'agit du 585e livre édité par les Éditions de Rivières initiées par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, en 2002, dans la continuité des éditions PAB, et le 7e sur les 13 réalisés par l'artiste nîmois Claude Viallat pour Rivières sur des textes de Pierre André Benoit, Michel Butor, Claude Minière, Gaston Puel, Christian Skimao et Bernard Teulon-Nouailles, entre 2005 et 2011 ; et le 29e de Christian Skimao sur la quarantaine de livres qu'il a réalisés pour les Rivières. Comme le laisse entrevoir son titre aux accents de livre de critique et/ou d'histoire de l'art, le poème de Christian Skimao, éminent spécialiste dans ces domaines et docteur ès lettres, nous fait pénétrer dans l'esprit des peuples primitifs et comprendre à travers quelques images poétiques ce qui a pu les amener à considérer les images peintes comme une force à employer, un acte magique, tout en dressant sur la paroi caverneuse de la page blanche du livre un véritable bestiaire préhistorique : "Au départ les foudres terribles La mort en partage Le souffle des peurs Irise la pensée naissante Tigres Ensuite les eaux montantes La furie en héritage Le souffle des craintes Ponctue l'adresse malhabile Rapaces Après les secousses formidables Le trait d'une pierre La puissance d'un geste Configure l'éternité Loups Enfin les guerres tribales Le sexe et le sacré Totem et tabou Prédispose la reconduction Singes Puis les glaciations brûlantes Le tracé d'une paroi L'ombre d'un concept Propose l'humanité Aurochs" Claude Viallat a enluminé le poème de quatre empreintes originales sur un double feuillet à pleine page et une empreinte centrale sur un feuillet, "puissance d'un geste" répété, "tracé d'une paroi" sur la page blanche où "l'ombre d'un concept" se donne à voir. Comme il s'agit ici de peintures originales, — Claude Viallat dispose toutes les pages des exemplaires d'un livre qu'il doit illustrer au sol et les peint d'un même geste, dans une même temporalité où il répète le motif pour composer une grande oeuvre dispersée ensuite dans les différents exemplaires — chaque exemplaire du livre (12 au total) est unique. Un oeil attentif saura admirer les variations du motif répété d'un exemplaire à l'autre. Né en 1936, à Nîmes, Claude Viallat est un peintre contemporain à la renommée internationale, membre fondateur du groupe pictural Supports/Surfaces dans les années 60. Ses empreintes en forme d’éponge, signature depuis 40 ans, ont fait le tour du monde. Au sujet, qu’il place au second plan, l’artiste préfère le motif, la répétition et le procédé, révolutionnant ainsi la peinture et son support traditionnel. Le peintre a réalisé de nombreux livres d'artistes à tirages très limités dans lesquels il explore ces variations du motif répété, mais aussi des empègues tauromachiques ou des filets. Tirage d'une très grande rareté car un nombre infime d'exemplaires a circulé. Ouvrage en parfait état de conservation.
[Claude Viallat] - Francesca Caruana / Claude Viallat
Reference : DMI-1332
(2010)
Francesca Caruana, L’Homme de Lola, poème en prose enluminé de trois peintures originales de Claude Viallat, Rivières — Nîmes — Saleilles, 2010, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 21x15cm + emboîtage éditeur vert. XII exemplaires. Exemplaire n°VIII/XII justifié et signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Édition originale. Il s'agit du 996e livre édité par les Éditions de Rivières initiées par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, en 2002, dans la continuité des éditions PAB, et le 11e sur les 13 réalisés par l'artiste nîmois Claude Viallat pour Rivières sur des textes de Pierre André Benoit, Michel Butor, Claude Minière, Gaston Puel, Christian Skimao et Bernard Teulon-Nouailles, entre 2005 et 2011 ; et le 5e et dernier de Francesca Caruana après quatre autres contributions pour Rivières en tant qu'illustratrice pour des textes de PAB, Butor, Teulon-Nouailles et Skimao. Le poème en prose décrit une scène de corrida dans les arènes de Nîmes, comme une réponse au fameux poème Meurs de Pierre André Benoit illustré à trois reprises par Picasso (éditions P.A.B.), Claude Viallat et Lucien Clergue (éditions de Rivières): "Éclairée par un spot de feu, chargée d’ombre en découpes tranchantes et de faisceaux aveuglants, l’arène fait silence. Un crissement de sable vient mettre en musique l’apnée du matador. Ses pieds se hissent, son corps se tend. Arc strident et implacable, son bras s’élève, menace et perce de son épée le cou de la bête. Choc, cible, brûlure, ton mot comme une blessure mortelle, le trou du sang, la vie liquide s’écoule. L’habit de lumière miroite. Par le sexe dru, fumant le toro pisse sa peur, poitrail et tête en bouclier, il creuse sa liberté de paille, un instant, fou de croyance. Rose, fuchsia, or, émaillent la plaque sourde tournante qui fond lentement dans le callejon. Toro tu apparais, mort on te voit, piqué par un moustique. Mon arène. L’anse de tes bras, forte et résistante ou fragile à la moindre ruade. Une talanquère d’été, sans futur et sans descendance, une palissade neuve où moisit la tendresse. Ici gît violence. Combats, dérisions. Pas de gouvernail, la puissance de l’épée et la piqûre de la corne, faible joute d’un tournoi archaïque où il manque la chair molle du médiateur, de l’alliance, le beurre de la blessure. Dans le pain de cuir, mangé à même la mort, chaud, ruisselant de sang, la torera crève la chair de ses dents, venge sa faim, s’inonde de sang à son tour, réduit la bête en son flanc, farcit son corps d’un peu de l’autre pour voler sa puissance, brandit l’oreille au bout de son festin. L’oeil placide froid du lâche complaisant. Le meurtre est là. Accompli, consommé. L’odeur est enivrante, chargée de crasse, de suint, de sexe et de rouge à lèvres. Le toro ne meurt pas, il répand son absence qui prend toute la place." Artiste-plasticienne d’origine maltaise Francesca Caruana se forme aux Beaux-Arts à l’esthétique de Supports/Surfaces, période durant laquelle elle développe un goût durable pour la gestualité et divers supports. D’autres artistes ou groupes tels que Hantaï, Pollock, l’Arte Povera représentent les sources d’une poésie plastique qu’on retrouve dans ses créations. L’artiste a également réalisé de nombreux livres d’artiste. Elle est également familière de l’écriture taurine et tauromachique puisqu’elle a publié une dizaine de recueils de nouvelles et poèmes sur le sujet : Textes d’arènes (éd. Vent de la mer, 2003) ; Rouge esclave (Céret, 2004) ; L'os de Lola (Céret, 2005) ; Trois bouches de sang (Céret, 2006) ; Taureau de mer (Voix éd., 2006) ; Le taureau chaos. Petit récit amoureux d'une esthétique taurine (Perpignan, 2007), L’homme de Lola ; Despeños de los sueños (Céret, 2014) et Corridas, suivi d'un doute (éd. Paraules, 2020). Claude Viallat a enluminé le poème de trois compositions originales : deux taureaux gris au pochoir et un profil de taureau à l'aquarelle en jaune, à la manière des empègues ces petits dessins réalisés au pochoir autour des portes des maisons, dans certains villages du sud du département du Gard où les traditions taurines camarguaises sont très marquées. L'étymologie du mot est occitane : empeguar signifie coller. La racine du mot est pègue qui désigne la résine ou la poix utilisée comme colle. Ces dessins sont réalisés par les jeunes du village, les Abats, dans le cadre des aubades qui sont une tradition des fêtes votives des pays de la Petite Camargue, des Costières et de la Vaunage. Au début du XXème siècle, il s’agissait de fêter le départ pour le service national des jeunes hommes qui venaient d’avoir 18 ans. C’étaient les conscrits de « la classe » d’âge. La tradition des aubades se perpétue aujourd'hui encore, bien que la conscription n’existe plus. Ces pochoirs sont plus ou moins directement liés à la culture taurine et à la course camarguaise. Le dessin est généralement accompagné des lettres VLJ et de l'année de la classe d'âge. VLJ signifie Vive La Jeunesse ou encore « Viù Lo Joven » en occitan. Les motifs choisis par Claude Viallat, ici, reprennent la tradition de la représentation des animaux emblématiques de la Camargue : cheval, taureau, flamant rose ou toute autre représentation de la bouvine. Tirage d'une très grande rareté car un nombre infime d'exemplaires a circulé. Ouvrage en parfait état de conservation.