Muséum National d'Histoire Naturelle Muséum National d'Histoire Naturelle, 1959. In-8 broché de 461 pages illustrées. Collection Les grands naturalistes français Très bon état
Reference : 175461
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Paris, Librairie de H. Fournier, 1835. 2 tomes en 1 vol. in-8, 434-[1] pp. + 417 pp. 1 pl., demi-basane maroquinée aubergine de Rivage, filet doré sur les plats, dos lisse orné de filets, arabesques et fleurons dorés, tranches marbrées (petites épidermures, rousseurs).
Deuxième édition des échanges épistolaires de Victor Jacquemont, dont l'originale a paru deux ans auparavant. Jacquemont était un explorateur et naturaliste français, fondateur de la Société Naturaliste de Paris, avec Adrien de Jussieu et Adolphe Brongniart. Il part pour l'Inde en 1829 où il reste un total de trois ans. Il y décède mais est néanmoins parvenu à faire envoyer au Muséum d'Histoire naturelle de Paris de nombreuses caisses contenant des spécimens de végétaux, minéraux et animaux collectés sur place. Complet de la grande carte dépliante reliée in fine. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
pendant son voyage dans l’Inde 1828-1832 précédée d’une étude sur JACQUEMONT par CUVILLIER-FLEURY, nouvelle édition augmentée de lettres et fragments inédits et Correspondance inédite de V JACQUEMONT avec sa famille 1824-1832 précédé d’une notice biographique par V JACQUEMONT neveu et d’une introduction par Prosper MERIMEE. 2 tomes en 2 volumes in 12 demi-cuir vert,titre,filets dorés;faux-titre,pas de page de titre,XXXV,455pages,faux-titre,tire,364 pages,Calmann Levy 1885,des rousseurs.On joint Correspondance inédite de V JACQUEMONT avec sa famille 1824-1832 précédé d’une notice biographique par V JACQUEMONT neveu et d’une introduction par Prosper MERIMEE. volume 1 seul in 12 reliure identique faux-titre,titre, XVI 390 pages,Calmann Levy 1885.rousseurs."Jacquemont(1801-1832)était médecin;chargé par le Muséum d'histoire naturelle d'une mission, il visita le nord de l'Inde (Bénarès, Dehli, Agra,le Pendjab,le Cachemire)et mourut à Bombay de maladie en 1832.Cette correspondance eut un énorme succès, y compris en Angleterre;on a là une des premières descriptions modernes et réalistes de l'Inde." Sans la carte annoncé.Les trois volumes
Paris, Garnier, 1861 ; 2 vol. in-12 ; 432pp. - 442pp. - 1 carte dépliante hors-texte. Demi-basane blond, dos lisse, filets à froid et dorés, pièces de titre noires et de tomaison blondes. Nombreuses rousseurs.
Jacquemont (Victor), voyageur né à Paris le 8 août 1801, mort à Bombay le 7 décembre 1832. Fils de Frédéric-François-Wenceslas Jacquemont de Moreau (1757-1836), qui renonça à son titre de noblesse après la nuit du 4 août, qui fit partie du Tribunat en l'an VIII, devint directeur général de l'instruction publique et encourut la disgrâce de Napoléon pour sa participation au complot du général Mallet. Victor fit de fortes études littéraires, suivit les cours de chimie de Thénard et se consacra à la botanique et à l'histoire naturelle. Il avait débuté brillamment dans le monde, s'était lié avec La Fayette, Mérimée, Stendhal. Une passion malheureuse le jeta dans un profond désespoir. Pour l'en tirer, son frère le poussa vivement à voyager. Jacquemont en 1826 s'embarqua pour l'Amérique, visita Haïti et revint bientôt en France pour s'occuper des préparatifs d'une mission scientifique en Inde que les administrateurs du Jardin du Roi lui avaient confiée. Parti en août 1828, avec une subvention insuffisante, il attendit vainement à Calcutta durant sept mois un supplément de subsides qu'il avait sollicité du gouvernement français. Il gagna l'amitié du vice-roi, lord William Bentink et, grâce à son appui, put continuer son voyage. Il parcourut l'Inde, explora l'Himalaya, pénétra dans la Tartarie chinoise, passa dans le Pendjab dont le roi Rundjet-Sing l'accueillit admirablement, parcourut le Cachemire et le Tibet et, à peine de retour à Bombay, mourut soit des suites d'une attaque de choléra, soit, selon Bouillet, d'une fièvre contractée en herborisant dans l'île empestée de Salsette. Guizot fit éditer le journal de son Voyage dans l'Inde (Paris, 1836-44, 6 vol. gr. in-4) qui abonde en renseignements géologiques, géographiques, météorologiques, botaniques et zoologiques et donne de curieux détails sur les moeurs, les institutions, les langues, le commerce des pays qu'il a visités. Mais toute sa notoriété lui vient de la publication de sa Correspondance (Paris, 1833, 2 vol. in-8, nombr. éd.) avec sa famille et ses amis. Ses lettres écrites sans apprêt, d'un style vif et gai, révèlent un esprit très fin et très compréhensif, des facultés d'observation tout à fait remarquables. D'une lecture très attachante, elles inspirent pour leur auteur des sentiments de sympathique admiration auxquels sa mort prématurée n'est sans doute point étrangère. (R. S.)."La publication de sa correspondance a été complétée en 1867, avec une préface de Prosper Mérimée. Son volumineux journal de voyage fut partiellement édité par Alfred Martineau sous les titres de « État politique et social de lInde du Nord en 1830 » (1933) et « État politique et social de lInde du Sud en 1832 » (1934). Présenter Victor Jacquemont, c'est faire connaître non pas tant le naturaliste que 1observateur des sociétés et des gens qu'il rencontre dans son très long parcours du sous-continent indien. Curieux des hommes, de leurs murs et de leurs institutions, il s'entretient avec tous, observe, jauge, critique. Ce sont les colonisateurs britanniques, les Musulmans, les Hindous, les Sikhs, hommes et femmes, qui le reçoivent et avec lesquels il s'entretient en Anglais, en Persan, en Hindoustani, selon les besoins il commence même à apprendre le sanskrit et qu'il compare aux Français de ce début du XIXe siècle, lui qui se dit « radicalement parisien » (lettre du 3 septembre 1832 au gouverneur de Pondichéry). Bien de ses observations et formulations charment le lecteur d'aujourd'hui et font écho, chez un indianiste, à sa propre expérience de l'Inde contemporaine. Jacquemont est un observateur irremplaçable de cette Inde d'il y a deux siècles, comparable et opposable en un certain sens à l'ouvrage fameux auquel l'abbé J. A. Dubois a donné son nom, « Murs, institutions et cérémonies des peuples de lInde » (Paris, Imprimerie royale, 1825)". (Extrait d'un article de Olivier Herrenschmidt au 130ème Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, La Rochelle , 2005, Voyages et voyageurs .)
Paris, Calmann-Lévy, 1877 ; 2 vol. in-12 ; 2ff.-XVI-390pp. - 430pp. Demi-basane blond, dos lisse, filets à froid et dorés, pièces de titre noires et de tomaison blondes. Quelques rousseurs.
Mention de 2ème édition (la première en 1867). Cette publuication fait suite à l'édition de la correspondance pendant son voyage en Inde (1833)."Victor Jacquemont était un jeune naturaliste français, botaniste et géologue, envoyé en mission en Inde par « MM. Les professeurs administrateurs du Muséum », pour une longue mission d'étude et de collecte. Arrivé à Calcutta le 6 mai 1829, il mourut, non loin de là, le 7 décembre 1832, sa mission inachevée et après un très long et difficile périple qui le conduisit, entre autres, au Ladakh et aux frontières du Tibet".Avant de partir pour l'Inde, il avait déjà voyagé à Haïti, aux États-Unis et en Angleterre. Il appartenait, en France, à un milieu cultivé et éclairé, intellectuel, celui des Idéologues : il était ami de Stendhal, son aîné, et de Prosper Mérimée, son contemporain. Avec un retard considérable (le courrier arrivant encore par mer, via le cap de Bonne-Espérance), il suit de l'Inde les événements de France. En juillet 1831, il regrette de voir qu'avec la Monarchie de Juillet (1830), ses amis (dont Victor de Tracy, fils d'Antoine) dans le "Parti du mouvement" (avec Odilon Barrot et La Fayette, un allié par son père), aient été rapidement écartés du pouvoir, dès le mois de mars."Présenter Victor Jacquemont, c'est faire connaître non pas tant le naturaliste que 1observateur des sociétés et des gens qu'il rencontre dans son très long parcours du sous-continent indien. Curieux des hommes, de leurs murs et de leurs institutions, il s'entretient avec tous, observe, jauge, critique. Ce sont les colonisateurs britanniques, les Musulmans, les Hindous, les Sikhs, hommes et femmes, qui le reçoivent et avec lesquels il s'entretient en Anglais, en Persan, en Hindoustani, selon les besoins il commence même à apprendre le sanskrit et qu'il compare aux Français de ce début du XIXe siècle, lui qui se dit « radicalement parisien » (lettre du 3 septembre 1832 au gouverneur de Pondichéry). Bien de ses observations et formulations charment le lecteur d'aujourd'hui et font écho, chez un indianiste, à sa propre expérience de l'Inde contemporaine. Jacquemont est un observateur irremplaçable de cette Inde d'il y a deux siècles, comparable et opposable en un certain sens à l'ouvrage fameux auquel l'abbé J. A. Dubois a donné son nom, « Murs, institutions et cérémonies des peuples de lInde » (Paris, Imprimerie royale, 1825)". (Extrait d'un article de Olivier Herrenschmidt au 130ème Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, La Rochelle , 2005, Voyages et voyageurs.)
Paris : Librairie de H. Fournier, 1823. 2 volumes in-8, (2 ff.), 388 pp., 1 carte ; (2 ff.), 374 pp. Demi-veau rouge, dos lisse orné, tranches mouchetées (Capé). (légers frottements sur la reliure).
Édition originale posthume illustrée d'une grande carte dépliante de l'Inde. Cette riche correspondance que Jacquemont adressa à sa famille ainsi qu'à ses amis tels que Prosper Mérimée et Victor de Tracy, rend compte de son ultime voyage scientifique qui le mena, entre autres, à Pondichéry, Calcutta, l'Himalaya, au Cachemire et au Tibet.Il mourut à l'hôpital de Bombay le 7 novembre 1832 à l'âge de 31 ans. Signature Madame Hagerman sur les premières gardes blanches. Bel exemplaire relié par Capé. Dos très légèrement plus clair.Quelques rares griffures. Rousseurs éparses."Jacquemont (1801-1832) était médecin ; chargé par le Muséum d'histoire naturelle d'une mission, il visita le nord de l'Inde (Bénarès, Dehli, Agra, le Pendjab, le Cachemire) et mourut à Bombay de maladie en 1832. Cette correspondance eut un énorme succès, y compris en Angleterre ; on a là une des premières descriptions modernes et réalistes de l'Inde." Photos sur demande.