Editions Gallimard Editions Gallimard, 2000. In-8 broché de 108 pages. Avec envoi. Bibliothèque Maryvonne et Jean-Claude Laurend Digot. Bon état
Reference : 162027
ISBN : 2070760405
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DE CIRCOURT, Comte Adolphe ; DE CIRCOURT, Anastasie ; [Anastasie de KLUSTINE, Comtesse de CIRCOURT ]
Reference : 44701
(1834)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane verte, tomaison marquée : "8 - Critique, Beaux-Arts, Archéologie" : Giovanni Bellini et les peintres ses Contemporains. Almanach vénitien pour 1834 [ par Anastasie de Circourt ], Tiré de la Bibliothèque Universelle, Février 1834, 13 pp. ; Recension de : La sculpture à Venise, par M. l'abbé Giovanantonio Moschini, chanoine de Saint-Marc, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Avril 1839, 14 pp. ; Recension de : Histoire de la Peinture en Italie. Storia della pittura italiana par Rosini, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Mai 1839-1844, 8, 17, 15, 12, 33 pp. ; Du Musée Espagnol, s.n., pp. 38-63 ; Recension de : Le Palais Mazarin par le Comte de Laborde, Tiré de la Bibliothèque Universelle, 19 pp. ; Recension de : Notice des Emaux, Bijoux et Objets divers exposés dans le Musée des Galeries du Louvre par le Comte de Laborde, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Mars 1854, Imprimerie Ferd. Ramboz et Cie, 30 pp. ; Recension de : La Toscane et le Midi de l'Italie par F. de Mercey, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 227-238 puis 218-238 ; Recension de : Etudes sur les Beaux-Arts par De Mercey, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 198-244 ; Recension de : Die Gens Langobardorum und ihre Herkunft ; Recension de : Die Etrusker. Les Etrusques par le prof. Ottfried Müller, pp. 108-129 et 249-270 ; Recension de : Phidias, sa vie et ses ouvrages, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 355-368 ; Recension de : Etudes sur le Péloponnèse par Beulé [Etude sur le Péloponèse ], Nouvelles Annales des Voyages, 38 pp. ; Recension de : L'Acropole d'Athènes par Beulé,Nouvelles Annales des Voyages, 1856, 56 pp. ; Recension de : Les Monnaies d'Athènes par Beulé,Nouvelles Annales des Voyages, 1858, Arthus Bertrand, Paris, 36 pp. ; Recension de : L'Architecture au temps de Pisistrate par Beulé,Nouvelles Annales des Voyages, pp. 294-340 ; Recension de : Géographie du Talmud par Adolphe Neubeuer, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 76-99 ; Recension de : Athènes aux Xve, XVIe et XVIIe siècles par le Comte de Laborde, Nouvelles Annales des Voyages, 1855, 29 pp. ; Recension de : Le Mont Olympe et l'Acarnanie par L. Heuzey, Nouvelles Annales des Voyages, 1861 pp. 211-241 ; Recension de : Topographie et plan stratégique de l'Iliade par Nicolaïdès, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 360-367 ; Recension de : Ithaque, le Péloponèse et Troie par Schliemann, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 259-267
Recueil original d'articles (le plus souvent en tirés-à-part originaux) du Comte Adolphe de Circourt et de son épouse la comtesse Anastasie. Le salon d'Anastasie de Circourt et de son mari le Comte Adolphe de Circourt fut l'un des plus célèbres du XIXe siècle. Comme l'écrit Sainte-Beuve, "aucune prévention, aucun préjugé n’arrêtait cette personne, si pieuse d’ailleurs et si ferme dans ses croyances, dès qu’elle sentait qu’elle avait affaire à un esprit de valeur et à un homme de talent". Correspondant de Tocqueville, le Comte collabora à de nombreuses revues (Revue Britannique, Revue Contemporaine, Revue Britannique, etc...). Bon état (ex-libris Bibliothèque des Bruyères) pour cet recueil établi par l'auteur, le Comte de Circourt et provenant de sa bibliothèque des Bruyères, à La Celle-Saint-Cloud.
s.l. (Paris) s.d. [5 ou 12 janvier 1860], 13,6x21cm, deux pages sur un feuillet remplié.
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à l'archéologue Charles-Ernest Beulé. Deux pages rédigées à l'encre noire sur un feuillet remplié. Le destinataire de cette lettre a apposé neuf lignes manuscrites, brouillon de sa future réponse, à la suite de la lettre de Flaubert. Cette lettre a été retranscrite et reproduite sur le site internet du Centre Flaubert de l'Université de Rouen. Le transcripteur de cette missive précise: «Les lignes écrites sous la signature sont-elles de Beulé ou de Flaubert-lui-même ? L'écriture ressemble à la sienne. Stéphanie Dord-Crouslé suggère que Flaubert a pu aller voir Beulé et écrire sous sa dictée ces éléments qui répondent aux questions posées.» Cette hypothèse nous semble peu probable dans la mesure où l'on connaît la réponse de Charles-Ernest Beulé à ce courrierelle-même numérisée par le Centre Flaubert et datée du 10 février 1860. Cette réponse ne nous paraît pas induire une visite de Flaubert chez Beulé. Il nous semble plus vraisemblable que Beulé ait inscrit sous la lettre de Flaubert un brouillon de sa future réponse du 10 février 1860 qui ne sera qu'une reformulation élégante de ses notes. Beau et important témoignage des recherches colossales qu'entreprit Flaubert pour la rédaction deSalammbô. «Commencé en 1857, le roman paraît en 1862, période où l'Antiquité revient à la mode et où Carthage est « au goût du jour » grâce aux fouilles récentes de Charles-Etienne Beulé à Byrsa (1859) et dans les ports puniques.» (Vanessa Padioleau, «Flaubert et Carthage : Salammbô, roman polymorphe» in Revue Flaubert, n° 9, 2009) C'est donc à l'un des spécialistes de la question que Flaubert adresse ses questions, commentant sa récente lecture d'Ammien Marcel: «J'ai appris, dans ce même Ammien, que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte [...] Qu'est-ce que cela veut dire? Ce passage est, je crois, peu connu?» La tâche de Flaubert n'est pas mince: on ne connaît à l'époque rien ou presque sur la période de la Révolte des Mercenaires qui s'étendit sur deux années, de 240 à 238 av. J.-C. Il entame alors un travail de fourmi, appuyant ses recherches sur les textes des grands historiens de l'Antiquité qu'il lit en latin dans le texte. La lettre que nous proposons en montre d'ailleurs sa grande maîtrise : « J'ai appris, dans ce même Ammien que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte, livr[e] xvii, ch. iv. "Hanc inter exordia pandentis se late Carthaginis, improviso excursu duces oppressere Poenorum" [« À l'époque où Carthage commençait sa large expansion, les généraux des Phéniciens vainquirent celle-ci par une attaque à l'improviste »]. » Malgré ces recherches des plus approfondies, la porte de Carthage ne connaîtra qu'une très brève description dans la version finale deSalammbô. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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[Japon, lettre sur feuille de bois] Beulé (?). L.A.S., Kyoto, 22 avril [ca.1880], 2p 1/2 in-8 (14.2*8cm). Etonnante lettre écrite sur du bois, une fine feuille de bois, pliée en 2, et même en 4 anciennement, avec une petite aquarelle à l'angle de la première page. Lettre amicale signée [prénom illisible] Beulé au compositeur Louis Diémer (1843-1919), critiquant ainsi le Japon : « Le pays est vraiment bien curieux et intéressant, le théâtre amusant au possible. On se sent seulement très loin du monde civilisé car il y a beau avoir des chemins de fer et des télégraphes, on est encore en pleine barbarie et on sent une hostilité du blanc qui est quelquefois gênante ». A son retour à Paris, il ira voir Diémer à Saint-Martin i.e. au château de Franconville-aux-Bois à Saint-Martin-du-Tertre. Nous n'avons malheureusement pas identifié qui était ce Beulé. Peut-être a-t-il un lien avec Ernest, l'archéologue. Lettre fendue au second feuillet, au niveau du pli ancien. Rare curiosité. [353-2]
Paris : Firmin Didot. 1864 In-4, 4 pages. Broché.
Jean Alaux, dit « le Romain », né à Bordeaux le 15 janvier 1786 et mort à Paris le 2 mars 1864, est un peintre français.Jean Alaux est le second fils du peintre Pierre-Joseph Alaux et de Marie-Rose Gras-Lasalle. Jean Alaux est admis à l'École des beaux-arts de Bordeaux où il est élève de Pierre Lacour. Il est ensuite admis suite à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Pierre-Narcisse Guérin, où il est condisciple d'Horace Vernet. Après avoir été lauréat du second prix de Rome en 1814, il obtient le premier prix de Rome en 1815 avec Briséis pleurant le corps de Patrocle dans la tente d'Achille. Alaux séjourne comme pensionnaire à Rome à la villa Médicis de 1817 à 1821 où il se lie d'amitié avec Ingres ; en 1818, ce dernier réalisera de lui deux portraits à la mine de plomb, tandis qu'Alaux réalisera quant à lui L'Atelier d'Ingres (Montauban, musée Ingres-Bourdelle)3, une de ses oeuvres les plus connues.Charles-Ernest Beulé, né le 29 juin 1826 à Saumur et mort le 4 avril 1874 à Paris, est un archéologue et homme politique français. Après avoir fait toutes ses études au collège Rollin, Beulé entra à l’École normale en 18451. Sorti en 1848, second agrégé des lettres, il fut envoyé en première, à Moulins, où il ne resta qu’une année, car l’École d’Athènes, récemment fondée, lui ouvrit ses portes.
Oslo 1867 Oslo, 1867. 1 feuillet plié en deux, 3 pages. Papier de deuil, tampon à froid D.I. Lettre autographe signée de Delphine Ingres, née Ramel, dernière femme de Jean-Auguste-Dominique Ingres, adressée au professeur et écrivainCharles Ernest Beulé (1826-1874) qui fut l'auteur en 1867, de L'Éloge de Ingres. Lettre écrite sur papier de deuil, le décès du peintre eut lieu le 14 janvier 1867. " 6 mai 1867, Monsieur, quoique bien indigne de la mission dont vous m'avez chargé, j'ai été assez heureuse pour vous de joindre un défenseur enthousiaste, de la science que vous voulez soutenir ; c'est Mr. Jules Lacroix, traducteur de Perse et Juvénal et autres, qui, outre cela est un Helléniste de fond et de coeur ! C'est donc avec un grand empressement qu'il a accueilli votre proposition en y mettant la juste condition, de voir son nom inscrit parmi ceux des souscripteurs, ce que j'ai cru pouvoir lui assurer. Il m'a promis d'autres souscripteurs et doit m'envoyer leurs noms et leurs adresses. Je suis heureuse, Monsieur, que ma faible intervention ait pu vous être de q.q. utilité, en me donnant aussi l'occasion de faire à de véritable champions de la science. Recevez, Monsieur, l'expression de mes sentiments très affectueux et veuillez, je vous prie, en assurer aussi, Madame Beulé. D.Ingres."
Signé par l'auteur