‎Auguste DUPOUY [ARMEL-BEAUFILS]‎
‎GALLUS‎

‎Les persécutions du troisième siècle. (Gallus, Valérien, Aurélien )‎

‎Paul Allard était un historien français du XIXe siècle, spécialisé dans l'étude du christianisme primitif. Il a écrit un ouvrage intitulé "Les dernières persécutions du troisième siècle" dans lequel il examine les persécutions subies par les chrétiens pendant cette période. Les persécutions des chrétiens au troisième siècle étaient principalement liées à leur refus de participer aux cultes et aux rituels de l'Empire romain, ce qui était perçu comme une forme de désobéissance civile et un acte de trahison envers l'État. Trois empereurs romains en particulier ont été impliqués dans ces persécutions : Gallus, Valérien et Aurélien. Gallus : Caius Vibius Trebonianus Gallus était empereur romain de 251 à 253. Pendant son règne, il y a eu des persécutions sporadiques contre les chrétiens, bien que l'ampleur exacte de ces persécutions soit sujette à débat parmi les historiens. Certains rapports indiquent que Gallus aurait ordonné la suppression des assemblées chrétiennes et la confiscation de leurs biens, mais il n'y a pas de preuves solides pour étayer ces allégations. Valérien : Publius Licinius Valerianus, connu sous le nom de Valérien, régna de 253 à 260. Sous son règne, les persécutions contre les chrétiens se sont intensifiées. En 257, Valérien émit un édit ordonnant la suppression des assemblées chrétiennes et exigeant que les dirigeants chrétiens adhèrent aux rites romains traditionnels. Les chrétiens qui refusaient de se conformer étaient soumis à des peines sévères, y compris la confiscation de leurs biens et l'emprisonnement. Les évêques et les prêtres étaient particulièrement ciblés. Valérien fut capturé par les Perses en 260 et mourut en captivité. Aurélien : Lucius Domitius Aurelianus, connu sous le nom d'Aurélien, fut empereur de 270 à 275. Pendant son règne, il y eut des périodes de persécution contre les chrétiens, bien que les détails spécifiques soient moins connus. On pense qu'Aurélien a continué les politiques de ses prédécesseurs, imposant des restrictions et des sanctions aux chrétiens qui refusaient de participer aux cultes impériaux. Dans son ouvrage, Paul Allard a examiné les récits historiques, les témoignages et les documents disponibles pour reconstruire les événements et les conditions des persécutions des chrétiens au troisième siècle. Son travail a contribué à une meilleure compréhension de cette période tumultueuse de l'histoire du christianisme. Tome III, complet en lui même, de Les Chrétiens sous Gallus à les Chrétiens sous les successeurs d'Aurélien vol relié demi chagrin 220x150, 399 pages, frottements, bel état intérieur Paris Victor Lecoffre 1887 ref/156 ‎

‎Victorine Restoration. Essays on Hugh of St Victor, Richard of St Victor, and Thomas Gallus‎

‎, Brepols, 2021 Hardback, 376 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:15 b/w, 2 col., 4 tables b/w., Language: English. ISBN 9782503585130.‎

‎Summary The Victorines were scholars and teachers of philosophy, liberal arts, sacred scripture, music, and contemplation at the Abbey of Saint-Victor in Paris. This collection focuses on the three greatest Victorines: Hugh (d. 1141), who established the direction of the school; Richard (d. 1173), who developed Victorine contemplation; and Thomas Gallus (d. 1246), who culminated Victorine contemplative thought and transmitted it to other schools, especially the Franciscans. They offer an innovative revival of the Christian spiritual and intellectual tradition for their reforming pastoral mission in their urban setting and for the Church. Their contemporaries saw the Victorines as beacons of spiritual love and intellectual richness. Later reformers and thinkers held their writings as touchstones of contemplative love, including, for example, Bonaventure, Thomas Aquinas, Jean Gerson, Thomas Kempis, the Devotio Moderna, and many others. The writings of the Victorines found broad appeal among later medieval readers, as well as praise among early modern reformers, Protestant and Catholic alike. In recent decades, the Victorines have returned to scholarly attention and renewed appreciation. Scholarly studies, critical editions, and translation projects reveal the treasures of Victorine thought and spirituality. This volume showcases the findings of recent research and scholarly advances in Victorine studies, offering new readers a status quaestionis of the field. It also features new research by eminent experts in Victorine thought that points out promising directions for future research, thus offering important new findings for established specialists. TABLE OF CONTENTS Acknowledgements, List of Illustrations, List of Abbreviations Introduction: Regular Canons, Restoration, and Reform - ROBERT J PORWOLL Hugh A Trinitarian Introduction to Hugh of St Victor's Exegesis: Texts, Purpose, Reception- ANDREW BENJAMIN SALZMANN The Sacraments of Christian Faith: A Key Concept within Hugh of St Victor's Doctrine - RAINER BERNDT (TRANSLATED BY JONATHAN S KING) 'In Its Extraordinary Arrangement': Hugh of Saint Victor, the History of Salvation, and the World Map of The Mystic Ark- CONRAD RUDOLPH Hugh's Commentary on the Celestial Hierarchy- DOMINIQUE POIREL (TRANSLATED BY DAVID ALLISON ORSBON) Richard 'After the Manner of a Contemplative, According to the Nature of Contemplation': Richard of Saint-Victor's De contemplatione- INEKE VAN'T SPIJKER Restoration Through Experiential Exegesis: A Study of Richard of Saint-Victor's Benjamin Minor- DAVID ALLISON ORSBON From Triad to Trinity: Richard of St Victor and the Renaissance of Trinitarian Theology in the Twelfth and Twentieth Century- NICO DEN BOK Free and Abundant Love: Constructive Considerations on the Four Degrees of Violent Love- KYLE RADER Thomas Gallus Thomas Gallus: Dionysian Commentator and Spiritual Author- CSABA N METH Thomas Gallus' Explanatio and Dionysian Thought- KATHERINE WRISLEY SHELBY *** Bibliography Index‎

‎Spiritual Formation and Mystical Symbolism. A Selection of Works of Hugh and Richard of St Victor, and of Thomas Gallus‎

‎, Brepols, 2022 Hardback, 625 pages, Size:152 x 229 mm, Illustrations:1 col., Language: English. ISBN 9782503553115.‎

‎Summary Biblical interpretation, writings on the contemplative/mystical life and a continuing deep reflection on the nature and meaning of symbols come together in powerful ways in Victorine writers, particularly Hugh and Richard, as well as the lesser-known writer Thomas Gallus (Thomas of Vercelli), a Victorine canon who became the abbot of a house of regular canons in Vercelli, Italy. This volume contains: (1) Hugh's On the Ark of Noah and A Short Treatise on the Form of the Ark, treatises that unfold Hugh's teaching on stages and fruition of the mystical quest in relation to a complex drawing that incorporates a figure of Christ seated in majesty, embracing a map of the world on which is superimposed a diagram of Noah's Ark, representing the 12 stages of the contemplative quest; (2) Richard's On the Ark of Moses, a work that uses the symbolic (allegorical and tropological) interpretation of the Ark of the Covenant and the figures of the Cherubim that accompany the Ark in the Jerusalem Temple to convey Richard's vivid and compelling teaching on the varieties of contemplative experience as he understood them in twelfth-century Paris; and (3) Thomas Gallus' Commentary on the Song of Songs, which offers a window into a formative period of transition in the western Christian spiritual tradition, with Gallus's commentary on the Song of Songs giving voice to a more ?affective? (versus ?speculative?) understanding of the mystical quest and experience, drawing upon and extending earlier Victorine explorations of the interrelationship of love and knowing in the experience of contemplation. For those interested in the dynamics of the spiritual quest and symbolic understanding in the twelfth and early thirteenth centuries, as well as insights that can inform the modern quest for knowledge and love of God, these are essential works for any library.‎

‎Traduction en prose de Catulle, Tibulle et Gallus par l'auteur des Soirées Helvétiennes et des Tableaux.‎

‎ 1771 veau marbré (reliure assez usagée, coins em., remarques ms. sur les ff. de garde). 2 vol. in-12, (2ff.), XXIV-427pp., (1f.) et 468pp. (3ff.), Amsterdam Paris Delalain 1771,‎

‎Intéressantes remarques du traducteur : " Il faut convenir de 2 choses : l'une, que les gens du monde sçavent très-rarement le Latin ; l'autre que Catulle et Tibulle ne peuvent pas être traduits par un pédant. Des vers échappés au délire de l'Orgie ou de l'Amour…inspirés par l'alcove de Délie seront difficilement sentis et rendus par un professeur des Quatre Nations ". Desprez de Boissy l'attribue à un M. David commissaire-ordonnateur des guerres. ‎

‎Traduction en prose de Catulle, Tibulle et Gallus.‎

‎ A Amsterdam et se trouve à Paris, chez Delalain, 1771. 2 forts vol. au format in-8 (218 x 143 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., xv - 327 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 1 f. n.fol., 1 page de titre gravée n.fol., 365 pp., 1 f. n.fol. et 1 f. bl. Reliures uniformes de l'époque de plein veau glacé fauve, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs ornés de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, semis d'étoiles, de pointillés et de petits fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin crème, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en tête et queue, filet doré sur les coupes, tranches saumon. ‎

‎ Ensemble complet des deux volumes le constituant. Edition originale de la présente traduction. Belle impression sur papier fort. Les exemplaires ont conservés de belles marges. Texte en latin avec traduction française en regard. ''Catulle n'hésite pas dans son oeuvre à étaler sa passion au grand jour, le plus souvent inassouvie et malheureuse : il ne manque ni de courage, ni du sens de la provocation. C'est en ce sens qu'on peut le considérer comme un précurseur du genre élégiaque. Aucun écrivain, avant lui, ne s'était pris pour sujet de son œuvre, surtout pas pour parler de sa passion amoureuse. Les sentiments qu'un homme pouvait nourrir à l'égard d'une femme avaient, chez les Romains, quelque chose de ridicule, de dégradant, voire d'humiliant. La relation homme-femme était le plus souvent conçue dans une perspective de procréation et revêtait souvent un caractère vénal. La passion amoureuse était presque, pour ainsi dire, indigne d'un homme libre et d'un citoyen romain. Qui plus est, Catulle fait état d'un amour pluriel: il aime les femmes comme les hommes. Il se lia d'ailleurs avec les hommes les plus distingués de son temps. En se montrant tel qu'il est dans son œuvre, Catulle se montre ainsi bel et bien novateur''. Graesse II, Trésor de livres rares et précieux, p. 88 - Brunet I, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 1683 - Barbier II, Dictionnaire des ouvrages anonymes, 17910 donne pour traducteur un dénommé David - Rahir, La Bibliothèque de l'amateur, p. 357. Deux coiffes arasées. Petits manques superficiels affectant un des plats. Reliures présentant par ailleurs quelques altérations éparses. Tâches et irisations aux derniers feuillets d'un des volumes ; dont la dernière garde est lacunaire. Première garde su second volume déchirée et en passe de se désolidariser. ‎