Paris, Félix Alcan, 1923. In-12 broché, 250 pp.
Reference : 915
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Broché, 18X12 cm, 1951, 150 pages, collection euterpe, La colombe. Bon exemplaire en grande partie non coupé avec envoi de l'auteur.
PIERRE LAFFITE ET CIE. Mars 1908. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 34 à 47 pages de partitions. Nombreuses photographies en noir et blanc dans le format texte et hors texte. Photographie d'Hector Berlioz vers 1830 en noir et blanc sur le premier plat. Quelques marques de crayon de couleur.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Chronique du mois + Ode à Berlioz + L'influence de Berlioz sur la musique contemporaine + La damnation de Faust + Berlioz, héros romantique + L'oeuvre dramatique de Berlioz + Berlioz symphoniste + Les troyens + Berlioz anecdotique + Berlioz littérateur + Le concours de Ténors organisé par Musica et Comoedia + La réouverture de l'opéra. Classification Dewey : 780.26-Partitions
BERLIOZ (Hector). LETTRE AUTOGRAPHE SIGNÉE ("Hector Berlioz") À SA SŒUR NANCI BERLIOZ. Paris, 13 décembre 1821. 3 p. 1/4, adresse autographe sur la quatrième page. Sous chemise. Nous modifions quelque peu l’orthographe (mais pas intégralement). Déchirure centrale restaurée, quelques manques rétablis entre crochets dans la transcription ci-dessous. Exceptionelle lettre intime et musicale, écrite à dix-huit ans, l’une des toutes premières connues — et la première conservée adressée à un membre de sa famille. Elle contient notamment un saisissant et remarquable récit d’une représentation d’Iphigénie en Tauride de Gluck, d’une importance considérable pour le jeune compositeur. "Correspondance générale", édition de Pierre Citron, tome I, lettre 10, page 34. À propos de cette lettre, l'éditeur précise : "Toutes les lettres antérieures de Berlioz à sa famille ont disparu." Dans la "Correspondance générale", ordonnée chronologiquement, la lettre 1 est du père de Berlioz, la lettre 2 est mentionnée mais décrite comme détruite, et l'existence des lettres 6, 7, 8 et 9 est déduite du texte de notre lettre, mais elles n'ont pas été retrouvées. Dans le volume de suppléments Correspondance générale, VIII (Flammarion, 2003), aucune lettre datée ou datable n’est antérieure au 10 juin 1824. Dans le second volume de suppléments à la correspondance de Berlioz, "Nouvelles lettres de Berlioz, de sa famille, de ses contemporains" (Actes Sud / Palazzetto Bru Zane, 2016), la première lettre de Berlioz est datée du 24 juillet 1823.
H. Welter. 1903. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginé de 400 à 448 - quelques partitions de musique dans le texte et quelques illustrations en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Hector Berlioz (Jules Combarieu) - Documents biographiques sur Hector Berlioz, Une lettre inédite du compositeur à Gasperini (A. Lascoux) - A propos d'Hector Berlioz, quatre lettres inédites - Henriette Smithson, une idylle tragique racontée par les documents - Anecdotes sur Berlioz racontées par Stephen Heller (I) et M. Camille Saint-Saëns (2) - Les idées de Berlioz sur la musique, Sa profession de foi - Berlioz critique et écrivain, à propos de deux publications récentes - Notes bibliographiques sur Berlioz Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Mai 1864 Berlioz, en habitué du festival de Bade [il y avait créé son opéra Béatrice et Bénédict], organisé tous les ans par Edouard Bénazet, annonce à David Hermann Engel, la suppression du rendez-vous musical allemand :...M. Bénazet est venu passer quelques jours à Paris, et la saison de Bade est supprimée. Il m'a dit de suspendre tous mes préparatifs ; il n'y aura pas de festival. J'avais déjà parlé de vous et vous étiez adopté. Si cela se raccommode, je vous le ferai savoir.. Il ajoute, sans espoir ...Mais, ...Bellum ruit... Il nous manquait cela....Dans ses Mémoires, au chapitre 59, Berlioz écrivit : « M. Bénazet, le directeur des jeux, m'a engagé plusieurs fois à venir organiser et diriger le festival annuel de Bade, en mettant à ma disposition pour exécuter mes œuvres, tout ce que je pouvais demander. Sa générosité, en pareil cas, a dépassé de beaucoup ce qu'ont jamais fait pour moi les souverains de l'Europe dont j'ai le plus à me louer », puis dans une lettre à sa sœur Adèle, datée du 11 mars 1858 (Corr. Générale, n° 2283) : « À Bade c'est différent; on y gagne de l'argent, et on y fait de bonne musique, et on y trouve une foule de gens d'esprit, et on y parle français »..BERLIOZ ET LE FESTIVAL DE BADE EN ALLEMAGNE : Bade tient une place de choix dans la longue histoire des rapports entre Berlioz et l'Allemagne : nulle autre ville allemande ne sera visitée avec une telle fréquence. De 1853 à 1863 le compositeur français se rendra à Bade plus d'une dizaine de fois et y retournera chaque année à partir de 1856. Ce qui l'amenait à Bade : les Bénazet : le père Jacques Bénazet (mort en 1848), puis le fils Édouard Bénazet (1801-1867) qui prit la succession de son père à la direction du casino de Bade. Édouard Bénazet, qui a étudié au Conservatoire de Paris, était un homme cultivé qui entretenait de nombreuses connaissances dans le monde des arts. L'ambition de Bénazet était de rehausser la petite ville thermale au rang de centre artistique qui attirerait l'élite de la société européenne.Dans les années 1850, Bénazet s'emploie à réaliser son projet ; il créée de nouvelles salles de jeux, un grand champ de course à Iffezheim; un nouveau théâtre qui ouvre ses portes avec l'opéra de Berlioz « Béatrice et Bénédict » en 1862 (d'après la pièce de Shalespeare "Beaucoup de bruit pour rien"). Mais, Bénazet, se désintéresse peu à peu de Bade. Dans une lettre à Camille Pal, Berlioz livre sa crainte...de perdre 2000 f de rente, par cessation de mon engagement annuel pour Bade, la suppression des jeux est toujours annoncée et dès lors plus de musique. En outre, Bénazet paraît décidé à ne plus donner de festival... David Hermann Engel avait tenu l'harmonium au festival de Bade en 1859.Correspondance générale d'Hector Berlioz (P. Citron - Mac Donald, Flammarion 2001), Vol. VII, N° 2859.