Frontispice représentant André Gide.Seize lithographies en noir hors texte regroupées au milieu du livre.
Reference : 5977
Paris, Les éditions G. Grès et Cie, 1927 - In 8°, 210 pp, broché, couverture rempliée illustrée, imprimée, (tache sur la tranche)Un des ex. ntés sur vélin de Rives.
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Paris, Les éd. G. Crès et Cie, 1927. In-8 broché de [6-]-IV-210-[4] pages. Couverture blanche à rabats. Belle condition.
Illustré de 16 lithos originales et un frontispice. Tiré à 1160 exemplaires. Celui-ci un des 1050 numérotés sur vélin de Rives (327).
1927 LE RECLUS ET LE RETORS. GOURMONT ET GIDE.Avec seize lithographies originales et un frontispice.Crès, 1927, in8 broché, 210pp.Edition numérotée sur velin de Rives.Très bon état.
Crès.1927.E.O.In-8 br,couv.rempliée.16 lithographies originales et un frontispice.210 p.Ex.n° 814.BE.
Paris, Les Editions G. Crès, 1927. In-8, broché, (14 cm x 20,5) ; IV (avant-propos)-210 pp. Couverture imprimée en deux tons rouge et noir, vignette au centre.
Dans ce livre, André Rouveyre, sous couvert de vérité, poussa jusqu'à la caricature les traits les plus marquants de son modèle qu'il qualifia de " retors ", mot qui sous sa plume gardait une valeur laudative.Edition originale. Un des 1050 exemplaires numérotés sur vélin de Rives, seul grand papier après 110 sur papier d'Auvergne. Bel exemplaire en parfait état. Photos sur demande.
Paris Les Éditions G. Crès et Cie 1927 1 vol. broché in-8, broché, couverture rempliée, IV + 210 pp.Édition originale illustrée par l'auteur d'un portrait de Gide en frontispice et d'une belle suite de lithographies hors-texte sous serpentes représentant Remy de Gourmont. Tirage limité à 1160 exemplaires, celui-ci sur numéroté vélin de Rives.Rouveyre tente de mettre en avant l’unité paradoxale de deux écrivains « adversaires » et pourtant « solidaires ». Dans les deux premiers chapitres (« Le sens moral permanent contre l'épidémie romantique » et « Gourmont, Gide, la religion, le symbolisme, Mallarmé »), il file le parallèle entre deux hommes nourris d'un même environnement faisant de l'un « un singulier diable dissolu » et de l'autre un « réfractaire rongeant son frein » (p. 36). Puis l'association quelque peu artificielle se délie pour laisser place à deux portraitures séparées par la suite des lithographies. « Les écrivains impérissables de chaque époque sont, inconsciemment, les représentations de ses tourments ; tandis que les interrogateurs moraux en sont les contemplateurs et les mesureurs. Leur raison retrouve et conserve la norme. André Gide fut l'un et l'autre. » (p. 134).