3ème édition. P. Lacroix, 1865. 2 volumes in-8 (24/15cm), 475-640 pages. Demi chagrin vieux rouge de l'époque, dos à nerfs ornés de fleurons dorés.
Reference : 15766
Bel exemplaire.
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Exemplaire conservé dans ses reliures de l’époque. Paris, Delaunay, Bossange et Masson, 1818. 3 volumes in-8 de: I/ x pp., 440 pp.; II/ (2) ff., 424 pp. ; III/ (2) ff., 395 pp., (1) f. d’errata, (4) ff. d’annonces. Demi-basane verte, dos lisses ornés du titre doré et de filets dorés figurant les nerfs. Reliure de l’époque. 201 x 126 mm.
Édition originale de cet ouvrage célèbre de Madame de Staël doté d’une grande liberté de penser, qui fit beaucoup de bruit. Vicaire, VII, 654; Bulletin Morgand et Fatout, n°5898; Clouzot, 255; Lonchamp, 117-1; Martin & Walter, 31988; Tourneux, I, 114; En Français dans le texte, 222. L’ouvrage fut publié par le fils et le gendre de Madame de Staël, le baron de Staël et le duc de Broglie, d'après le manuscrit original achevé par Mme de Staël dans les premiers jours de 1816. Un essai qui fit date: à l'origine du premier grand débat intellectuel sur la Révolution française. Germaine de Staël (1766-1817) composa la presque totalité de son œuvre littéraire sur les routes d'exils répétés que lui valut son libéralisme politique et social, en particulier concernant la condition féminine. Napoléon, qu'elle admira d'abord et crut pouvoir conseiller, lui ferma à nouveau les frontières de France, en réponse aux prises de positions politiques et «féministes» de ses œuvres. Femme d'engagement, Madame de Staël, par ses écrits et les salons qu'elle tint successivement à Paris et à Coppet, sur les bords du lac de Genève, exerça une influence intellectuelle considérable non seulement sur la littérature mais aussi sur la société de son temps. Initialement, Madame de Staël entendait faire l'éloge politique de son père, le banquier Jacques Necker (1732-1804) qui avait été ministre des Finances de Louis XVI; mais, débordant son sujet originel, elle étudia la Révolution dans son ensemble, ses causes et ses conséquences - le régime napoléonien - et promut, par comparaison, le système anglais, qu'elle regardait comme le modèle de toute démocratie. Elle clôt ainsi l'ensemble de son œuvre par l'apologie du pays qu'elle admira entre tous. Le public accueillit avec enthousiasme ces Considérations, dont la diffusion excéda 50 000 exemplaires, à l'origine d'un débat très vif et de nombreuses critiques. Madame de Staël est à la mode... L’'impétueuse et turbulente Germaine en eut été, sans doute, ravie. Depuis quelques années, de nombreuses études et des rééditions, attestent ce retour de flamme. Il faut dire que, chez nos voisins de Romandie, comme, dans tous les pays, chez les spécialistes de littérature, et notamment de littérature comparée, les éludes sur Germaine de Staël née Necker, sur son entourage et sur les idées et la pensée de celle-là et de celui-ci ne se sont jamais beaucoup ralenties. Car cet écrit de Madame de Staël est une véritable «somme» — partiale, bien sûr… — de l'histoire de toute la période allant du premier ministère de Necker à l’année qui précède la mort de Germaine en 1817. C'est l'histoire de la Révolution vue au travers des idées, des pensées et de l'action. Non seulement cet écrit présente aussi la somme des espoirs et des ambitions de Madame de Staël, fille de Necker, mais aussi maîtresse de Narbonne, puis après le paroxysme révolutionnaire, celle – en titre – de Benjamin Constant, et celle plus occasionnelle, de Talleyrand: elle ne se résigna que sur le tard, lorsque Bonaparte dédaigna ses avis et que Napoléon la disgracia et la confina sur les bords du Léman, à devoir n’être plus qu’une dispensatrice lointaine de considérations élevées et à se transformer en Cassandre à l’égard de la politique du «tyran» qui incarnait la France. Au total, il faut lire cet ouvrage et le relire. Pour l’historien, il dépasse naturellement en intérêt tous les autres écrits de Madame de Staël. "Ce célèbre ouvrage fixa l'interprétation libérale de la Révolution française en dissociant 1789, pour la première fois crânement réhabilité, de 1793" (Yvert, Politique libérale, n°24). Précieux exemplaire en reliure de l’époque provenant de la «Bibliothèque du Château de Louppy», propriété de la famille de Custine de Wiltz.
Reference : bd-27942d07bb4b4795
"Lenin, V.I. The State and the Revolution. Marxist Teaching about the State and the Tasks of the Proletariat in the Revolution./Lenin, V.I. Gosudarstvo i revolyutsiya. Uchenie marksizma o gosudarstve i zadachi proletariata v revolyutsii. Lenin, V.I. The State and the Revolution. Marxist Teaching about the State and the Tasks of the Proletariat in the Revolution. Moscow; Pg.: Communist, 1919. 150 p. SKUbd-27942d07bb4b4795."
Édition originale rare de cet essai anticlérical illustré de 26 planches. A Paris, l’An Ier de la République Française, 1792. Imprimé l’An II, 1793.In-8 de xxiv pp., 254 pp., 26 estampes en 55 planches (25 en couleurs, 30 en noir) dont 23 en double épreuve, 3 en triple épreuve et 2 sur papier bleu.Maroquin rouge, triple filet doré sur les plats, dos lisse orné, coupes décorées. Reliure du XIXe siècle.219 x 130 mm.
Édition originale rare de cet essai anticlérical illustré de 26 planches.Cohen 111 ; Brunet IV, 1070-1071.Exemplaire du tirage de tête sur papier vélin.« Tome I (seul paru) : XII-254 pp., plus 26 planches dessinées par Bar et gravées par lui en manière de lavis » (Cohen, 111).« C’est le début d’une réduction du grand ouvrage décrit ci-dessus. Rabelli n’est que l’anagramme italianisé de Bar ». (Cohen, qui estime les exemplaires de base de 80 à 100 F OR, ce qui situe cet illustré parmi les livres significatifs du XVIIIe siècle).« Ces planches ont été gravées par Bar en manière de lavis et coloriées par lui à la main.Pendant la Révolution, par mesure de prudence, Bar changea son nom en celui de Rabelli et appela son livre les Mascarades monastiques. Il publia du reste sous ce titre une édition réduite qu’on trouvera décrite ici même. »« Adresse en dédicace a la République Française,Par un Français Républicain.C’est à vous Français régénérés, mes compatriotes, que je fais l’hommage de mon travail : s'il peut vous être utile, et vous délasser de vos occupations, j’aurai atteint le but que je me propose.J’invoque la vérité, en vous faisant passer en revue toutes ces institutions bizarres que la cupidité, dirigée par l’ignorance, a décorées du masque de la piété ; mais les tems des prestiges sont écoulés : vous verrez la chose sans son masque ; elle vous paraîtra dans toute sa difformité.Vous verrez, quelle était la piété qui logeait dans les cloîtres, quand les Français les ont détruits.Vous aurez aussi comment les moines ont et peuvent avoir des mœurs, quand vous aurez bien réfléchi sur la nature de leurs devoirs, et sur les devoirs de la nature.« Il est des momens de faiblesseOù la nature peut tomber ;On court risque de succomber,Quand on est obligé de combattre sans cesse. »Nouveau choix de vers.Vous ne pourrez plus être trompés par ces hommes hypocrites, dont le dehors séduit quand vous ne jugerez les individus que sur leurs actions : c’est-là, la vraie pierre de touche des hommes, comme le fruit est celle des arbres.Surtout n’oubliez pas, qu'il faut bien longtems à une âme vraiment vertueuse, pour prendre la teinture du vice, et que rarement le vice, reprend réellement le lustre de la vertu.Le moine est né pour vivre des abus : Détruisez-les, le moine ne vit plus.La révolution m’a donné la liberté d’écrire la vérité sur une classe qui avait toujours su la chasser loin du vulgaire ; elle me rendra plus sévère à moi-même, que ne le furent jamais les censeurs du despotisme, mais je n’en serai pas pour cela plus esclave des préjugés en découvrant les défauts d'un institut, ou les vices des moines, je ne ferai rien perdre à l'ordre, s'il est estimable.Je ferai connaître également le vice et la vertu : la même main qui déchire le masque à l'hypocrite, lèvera aussi le voile épais dont la modeste vertu se couvre. Nulle passion ne me fera jamais laisser en arrière la vérité, ni l’affubler d’habits lugubres, je ne sais pas la déguiser, et si j'avais quelques ornemens à lui donner, je préférerais à tout autre les attributs de la gaité franche, parce que c'est ordinairement le moyen qui, par l'agréable, conduit à l'utile. L'amitié même, ne me fera pas déguiser la vérité.Amicus plato sed magis amica veritas.L'an premier de la République Française.Rabelli »Cohen ne décrit qu’un seul exemplaire orné de 26 planches en couleurs sans préciser de tirage : « La Bedoyère, aujourd’hui à la B.n.F. ».« Charles Renouvier nous apprend que l'auteur, surpris par la Révolution pendant la composition de son recueil de tous les costumes religieux et militaires, accommoda une partie à l'usage de la Révolution, sous le titre de "Mascarades monastiques et religieuses", 1793. In-8 avec des figures au lavis qu'il a signées Rabelli (anagramme) ».Exemplaire remarquable, non rogné, orné de 55 estampes - 25 coloriées à la main, 30 en noir, dont 3 en triple épreuves, 23 en double épreuve, 2 estampes sont gravées sur papier bleu. Porte le fameux ex-libris bleu, n212, au chiffre LM.
Un recueil témoignant de l’imagination créative de l’artiste, inventeur de talent du néo-classicisme et dont l’influence dans l’art décoratif serait de première importance à la veille de la Révolution. 6 dessins ou aquarelles de format in-folio, sous maries-louises bleues, regroupés dans une boite-étui en demi-maroquin rouge signée Devauchelle. -Projet de fauteuil en cabriolet vu de trois quarts. Aquarelle, plume et encore noire. 245 x 320 mm. Signé en bas à gauche à la plume « J.D. Dugourc. Inv. Del. Paris », vers 1790. Fauteuil en cabriolet au dossier ovale décoré d’une lionne dans un semis de fleurs. Les accotoirs, dégagés du dossier, sont recouverts d’un motif de palmette, comme le coussin. -Projet de fauteuil de profil et de chaise de face. Plume et encre noire sur papier calque collé sur le support en deux morceaux. 197 x 330 mm. Titre « Fauteuil et chaise pour salle à manger », vers 1790. La chaise décorée d’une lionne est assortie au fauteuil et reprend les mêmes motifs. -Projet de feu à griffons. Pierre noire. Titre « Idées de Bronzes ». 190 x 255 mm. Le feu est orné de deux griffons médaillés, séparés par un autel de feu. Sur l’autel, les initiales des prénoms du Comte de Provence, à qui ces feux étaient destinés. -Projet de girandole à cinq branches. Plume et encre noire sur papier calque collé sur le support. Titre « 24, girandolle ». 225 x 145 mm. Girandole à cinq branches portées par deux grotesques dont le corps terminé en volute est posé sur un socle aux pieds en sabre. Ces figures sont reliées entre elles par des pendeloques de cristal. -Projet de lit à la duchesse. Plume et encre noire, rehaussée de lavis brun et de gouache blanche sur papier calque collé sur le support. Titre « Lit à la duchesse ». 510 x 308 mm. Couronnement décoré de plumets et de petits amours. -Projet de trône. Plume, encre noire et lavis gris. Un aigle, ailes étendues figure au-dessus de l’impériale, un brin de laurier au bec et le pied sur la foudre. Deux pans de rideaux retenus par des trophées tombent de chaque côté du trône aux piétements en forme de sabres courbes entrecroisés ; deux hérons buvant dans une coupe décorent le dossier du trône.
Recueil de dessins et aquarelles de projets de mobilier et ornements réalisés par Jean-Démosthène Dugourc, l’un des créateurs du néo-classicisme. Un document passionnant publié par M. Anatole de Montaiglon dans « Nouvelles Archives de l’Art français » (1877, p. 367 à 371) nous révèle la biographie de ce célèbre ornemaniste adulé par les Grands sous Louis XVI. « Dugourc est né à Versailles, en 1749, d'un père qui, depuis plus de vingt ans, était contrôleur ordinaire de la Maison de Mr le Duc d’Orléans, premier prince de sang, et jouissait de beaucoup d'aisance. Il montra dès son enfance des dispositions peu communes. A huit ans il dessinait d’après nature des académies; à dix ans il savoit la géométrie, l’architecture et perspective ; à douze, il commençait sa rhétorique au Collège de Jully, le plus célèbre de ceux des Oratoriens, lorsqu’il fut placé près du duc de Chartres pour partager ses études et ses récréations. Là il apprit la physique de l’abbé Nolet et de Brisson, l’histoire naturelle d’Aubenton, la langue française de Chateaubrun et Foncemagne, tous deux de l’Académie Française, l’histoire et l’éloquence du savant auteur du ‘Jeune Anacharsis’, l’abbé Barthélemy. Avec de tels secours il devint à quinze ans un homme que le Comte de Cani, nommé Ambassadeur extraordinaire à Rome, demanda à son père pour l’y accompagner ; mais à peine y étoit il arrivé que la mort de sa mère le força de retourner en France, ayant seulement entrevu cette ville fameuse et vu quelques moments le célèbre Winckelmann, dont l’enthousiasme lui inspira le goût de l’Antiquité, dont il s’est depuis occupé sans cesse. Revenu dans sa patrie, la fortune de son père s’évanouit par la perte d’un long procès, et, d’amateur qu’il étoit, Dugourc devint artiste. Alors la peinture, la sculpture et la gravure devinrent ses délices pendant quelques années jusqu’à ce que M. de Gribeauval, Inspecteur général de l’Artillerie, l’associât à ses travaux militaires dans son Gouvernement de Valenciennes, servant dans le corps Royal du Génie. Dugourc ne put suivre longtemps cette carrière ; les instances de son père le rengagèrent dans celle des arts. L’Antiquité devint alors le but de toutes ses recherches et, dans un ouvrage publié en 1779, il posa les premiers fondements de la réforme totale des costumes théâtraux. Dans le cours des neuf ou dix années qui précédèrent la Révolution, le premier il donna l’exemple d’employer les genres Arabesque et Etrusque, non seulement dans les décorations d’architecture, mais encore pour les dessins exécutés à Lyon par Pernon, ainsi que tous les bronzes et les bijoux présentés en cette Cour par feu Godon ont été inventés et dirigés par lui. Il peut même assurer que tout ce qui s’est fait à Paris de précieux et de recherché pendant cet espace de temps a été conduit par lui et soumis à son examen. Il partagea toujours avec Belanger, son beau-frère et premier architecte de M. le Comte d’Artois, les soins donnés aux bâtimens du Prince de Paris, Maisons, Saint-Germain et Bagatelle, bâtimens dont la dépense s’élevoit annuellement de trois à quatre millions de livres. Il fit de la même manière pour Laborde, banquier de la Cour, et pour Saint-James, Trésorier de la Marine, les deux plus riches particuliers de France, des maisons de plaisance et des jardins du genre Anglais d’une vaste étendue, et pour Mylord Schelburnn, l’un des membres les plus distingués du Parlement d’Angleterre, les projets d’un Muséum très magnifique. En 1780, il devint Dessinateur du Cabinet de Monsieur, frère du Roi, et dirigea les fêtes et les spectacles donnés à Brunoy pour la Reine et le Roy. En 1781, Dugourc fut chargé par S.M. le Roi de Suède de donner les dessins des décorations et des habits pour monter six opéras pour la salle nouvellement bâtie à Stockholm. En 1782, le Grand-Duc de Russie, depuis Paul Ier, étant à Paris, lui fit les propositions les plus brillantes pour l’emmener ; mais, marié depuis peu, Dugourc n’accepta point les offres de ce prince, pour lequel il fit depuis les dessins d’une grande galerie pour la Palais de Camenoïstrof, comme il fit, pour l’Impératrice Catherine II, les projets d’un palais pour le Général Lanscoy, l’un de ses confidents, dont la mort subite empêcha l’exécution. En 1783, la direction des décorations et des costumes de l’Opéra lui fut confiée. En 1784, il devint Dessinateur du Garde-meuble de la Couronne et Intendant des Bâtimens de Monsieur. Enfin, à l’époque de la Révolution, la place d’Inspecteur général des Manufactures de France lui était offerte, et il balençoit à l’accepter parcequ’il préféroit celle de Directeur particulier des Bâtimens du Roi, Jardins, Arts et Manufactures Royales, que la Reine vouloit créer en sa faveur pour soulager d’une partie du travail du Département Mr d’Angivillier, qui en étoit Ordonnateur Général ». Fondateur du néo-classicisme par ses références constantes à l’Antiquité, Dugourc allait insuffler des idées novatrices aux décorateurs, étendre son champ d’investigation à des domaines très divers en faisant aussi bien des suggestions aux bronziers (son projet de feu à griffons) qu’en proposant des modèles aux ébénistes (ses projets de chaise, fauteuil, lit, trône...) et en créant lui-même des motifs de décoration pure. Son projet de fauteuil illustre le génie de Dugourc qui mêlait ainsi intimement références antiques dans les lignes ou les motifs, aux sujets très nouveaux à thème de feuillage ou animalier puisés dans la nature. Un recueil témoignant de l’imagination créative de l’artiste, inventeur de talent du néo-classicisme et dont l’influence dans l’art décoratif serait de première importance à la veille de la Révolution.
P., Centre de documentation universitaire, 1963, in-4, demi-toile rouge , plats cart., couv. muette, 209 pp. et 280 pp. ronéotées. (SE80C).
Réunion de 4 fascicules : - 1. Ravitaillement et Révolution. (tableau, 8 planches dont plusieurs dépliantes); - 2 et 3. La Question des subsistances dans ses relations avec les principales périodes de la Révolution (carte)À la suite Paris pendant la Révolution (première partie) - tableaux, 2 croquis. Collection Les cours de Sorbonne.