avec la musique tout au long. Genève. Briquet, Relieur au bas de la Cité. 1780. In-12 (16x8) 644 pages dont 596 de musique notée avec le texte chanté. Plein cuir de Russie bordeaux de l'époque, dos lisse richement orné de triple filets et de lyres dorés, dentelle sur les plats, filets sur les coupes, toutes tranches dorées.
Reference : 13289
Nouvelle édition enrichie des Liturgies & Prières publiques & de particulières sur divers sujets. Manque les 2 derniers feuillets de prières. Bon exemplaire.
Librairie la Devinière
J. Mazoyer - R. Munari
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Bâle, Jean Rodolphe Im-Hof & fils, 1766. In-12 à deux colonnes de 472-180 pp., musique notée, galuchat noir, dos à nerfs et muet entièrement ornés d'un discret décor floral à froid, fermoirs d'argent, tranches dorées (reliure de l’ époque).
Version Valentin Conrart suivie des 54 "Cantiques sacrés" de Bénédict Pictet et des "Liturgies" avec leur propre page de titre titre propre datée 1766. Premier secrétaire perpétuel de l’Académie française Valentin Conrart (1603 – 1675) contribua à la révision du psautier huguenot complétée après sa mort par La Bastide et publiée en 1679 puis de nouveau retouchée par le pasteur genevois Bénédict Pictet jusqu'à son acceptation par 'Église de Genève en 1698. « Dès son origine, le psautier a été recouvert, pour le protéger, avec les matériaux usuels de son époque, c'est-à-dire en parchemin, en basane et en veau comme la plupart des ouvrages. Son originalité tient à ce que le psautier tout comme le missel d’ailleurs, est d’un usage fréquent, qu’on le laisse au temple ou qu’on le conserve sur soi et qu’il a fallu le couvrir d’une reliure solide. Par ailleurs la « décente modestie » des protestants réclamait une grande simplicité et même une certaine austérité. Longtemps, le matériau le plus courant a été le parchemin ou le chagrin qui ont l’avantage de la solidité. (…) Une catégorie aussi caractéristique et connue est celle des reliures dites «huguenotes ». En effet dès 1710, la mode se répand de faire relier les psaumes en plein chagrin noir, d’une manière austère mais particulièrement solide. D’après Jan Storm van Leeuwen, cette peau si particulière et jusqu’ici mal identifiée serait une peau de mammifère. On a parfois pensé à une peau d’animal marin étant donné la solidité de cette texture et donc de galuchat, cette peau de roussette ou de requin qui par son grain très serré était d’une extrême solidité (…) Le chagrin irrégulier ne permet aucune dorure. Aussi, la décoration s’est réfugiée sur les ornements généralement en cuivre ou en argent : bouillons, cornières, tenons, fermoirs » (Yves Jocteur Montrozier, Les habits du psautier - collection de M. Jean-Daniel Candaux, Bibliothèque municipale de Lyon).Rare spécimen de “reliure huguenote” en galuchat noir de l’époque. On a émis l’hypothèse d’un atelier de reliure employant des artisans originaires des Pays-Bas.Traces de frottement sur la reliure.BnF, Bibles imprimées du XVe au XVIIIe conservées à Paris n°2774.
Montbelliard, Chers Jean-Théophile Deckere, Libraire, 1774 ; in-12 (98 x 159 mm), [4]-426-24 pp., reliure plein cuir moucheté (veau), coloris naturel blond moucheté, dos orné de caissons et de fleurons à 5 nerfs, chants dorés, pièces de titre rouge sombre et vert foncé, tranches dorées. Ouvrage de l’Église réformée française (Calvinisme).