‎VELYE, abbé de (17..-18..) ‎
‎Du fluide universel, de son activité et de lutilité de ses modifications par les substances animales dans le traitement des maladies. Aux étudians qui suivent les cours de toutes les parties de la physique. ‎

‎ 1806 Paris, de lImprimerie de Delance, [se trouve à Paris, chez, Am[and] Koenig, quai des Augustins, Renouard, rue St-André-des-Arts, Delance, rue des Mathurins, hôtel Cluny], 1806. Un volume in-8° de [4]+XV+[1bl]+218+[2] pages. Reliure de lépoque en demi-veau vert, dos lisse orné, tranches jaunes.‎

Reference : 9268

‎EDITION ORIGINALE ET TRÈS RARE. Selon les théories de Franz Anton Mesmer (1734-1815), il existe un «fluide universel» qui régle les interactions des humains avec les corps célestes et celle des humains entre eux; dans ce second cas on parle de «magnétisme animal». La maladie est causée par sa mauvaise distribution dans le corps et la guérison sobtient en en restaurant léquilibre perdu, notamment au moyen des fameuses «passes magnétiques» de Mesmer. Dans notre ouvrage, labbé de Vélye dont on ignore tout passe en revue les différents moyens dagir sur le fluide, tels que le galavanisme, les massages, le somnambulisme (on parlerait aujourdhui dhypnose). Louvrage se termine par le journal dune cure spectaculaire par ce dernier moyen. Du même auteur, on connaît encore: «Somnambulisme ou supplément aux journaux dans lesquels il a été question de ces phénomènes physiologiques », Paris, Bréhault, [1813], in-8°, 84 pages (Caillet III, no 11072).(Barbier II, Anonymes, (1874), page 474, c: «... (Par M. labbé de Vély). Paris, Amand Koenig, 1806, in-8°, XV-220 pages. Lauteur a traité pour la première fois ce sujet dans une communication quil adressa au rédacteur du «Citoyen français», depuis «Courrier français». Elle se trouve dans le no 1034 (2 et 3 complémentaires an X» (19-20 septembre 1802; cette indication est tirée de la page 24, note 1, du «Fluide universel»); Caillet III, Bibliographie des sciences psychiques, (1912), no 11071: «[Vélye, Abbé de] ... Paris, Imp. Delance, Koenig et Renouard, 1806, in-8°, 24 pages» (sic!). Très bon ‎